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Orsinval

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Orsinval
Orsinval
Église Saint-Nicolas avec campanile.
Blason de Orsinval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Valérie Cochez
2020-2026
Code postal 59530
Code commune 59451
Démographie
Gentilé Orsinvalois
Population
municipale
558 hab. (2021 en évolution de +2,01 % par rapport à 2015)
Densité 167 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 28″ nord, 3° 37′ 53″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 123 m
Superficie 3,34 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Le Quesnoy
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Orsinval
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Orsinval
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Orsinval
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Orsinval
Liens
Site web https://www.orsinval.fr
Calvaire funéraire.

Orsinval est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie

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Communes limitrophes

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Communes limitrophes d’Orsinval
Villers-Pol
Orsinval Frasnoy
Le Quesnoy

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Rhonelle, le ruisseau de l'Ange et un autre petit cours d'eau[1],[Carte 1].

La Rhonelle, d'une longueur de 32 km, prend sa source dans la commune de Locquignol et se jette dans le Vieil Escaut à Valenciennes, après avoir traversé douze communes[2].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Orsinval[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Escaut ». Ce document de planification concerne un territoire de 2 005 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de l'Escaut. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Escaut et Affluents (SyMEA)[3].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Orsinval est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Le Quesnoy[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,4 %), prairies (31,7 %), zones urbanisées (13,9 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

On trouve une première mention de ce village en 1186 lorsque celui-ci s'appelle "Ursina Vallis". Ce village a été donné en 1111 au chapitre de la cathédrale de Cambrai par l'évêque Odon. Au XIIe siècle, il accueillait un petit monastère de femmes dont il ne subsiste plus aucun vestige.

Les armoiries d'Orsinval (trois lions surmontés d'une vierge à l'enfant) ont fait penser que ce blason rappelait, comme beaucoup, l'époque des croisades. Dans l'Album du Prince Charles de Croÿ (2500 gouaches), au tout début du XVIIe siècle, le peintre valenciennois Adrien de Montigny représente le village étalé le long de la Rhonelle que barre un joli moulin.

Avant la Révolution française, Orsinval était le siège d'une seigneurie. Au début du XVIIIe siècle, elle est détenue par Jacques Pédecœur, écuyer, conseiller du roi, auditeur et contrôleur des comptes de Valenciennes, marié à Jeanne Quartier. Leur fille Marie Claire épouse à Valenciennes le , Philippe François Théodore Hannecart ou Hanecart (1697-1751), seigneur de Briffœil, magistrat au Parlement de Flandres[16].

Le territoire de la commune d'Orsinval est traversé par la chaussée menant de Valenciennes aux places-fortes du Quesnoy et de Landrecies, implantée sur le haut du plateau quercitain. Le cœur ancien du village est situé à l'ouest de cette voie, le long du vallon de la Rhonelle. Lorsque le noyau, d'abord constitué d'une rue, s'éloigne du cours de la rivière, il devient triple, avant de rejoindre la chaussée, se densifiant au niveau du carrefour. Le bâti ancien est également composé de quelques grandes fermes sur plateau, ainsi que du secteur du moulin, à l'ouest, en contrebas de la chaussée. Implanté dans une vallée assez profonde, le territoire communal est caractérisé par des pentes marquées, en particulier à l'ouest. Le bâti pavillonnaire s'est implanté de manière linéaire, sur la D73, dans le prolongement de Villers-Pol.

Évolution du nom de la commune

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1111 : Ursenens villa, cartulaire de l'église de Cambrai

1170 : Orsina vallis, cartulaire de l'abbaye de Vicogne

1181 : Orsineval, cartulaire de l'église de Cambrai

1186 : Ursina vallis, cartulaire de Vicogne

1189 : Ursini val, id

1194 : Ursineval, 2e cartulaire de Flandre

domaine d'Ursin. Jacques de Guyse raconte le combat du Roi Ursys contre la reine Ursa. Une Ursa surnommée "Beere". Dans toute l'Europe du nord, ber est le nom de l'ours. Orsinval, la vallée des ours. Et ce, que l'on prenne son étymologie latine ou néerlandaise. Ors a l'étymologie tout aussi claire. Oui, dans le passé, il y avait des ours dans la région.

Héraldique

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Les armes de Orsinval se blasonnent ainsi : D'or à trois lions d'azur, au chef de gueules chargé d'une Notre-Dame-de-Grâce à mi-corps, de carnation, vêtue de gueules et d'azur et tenant l'enfant Jésus à senestre.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Élisabeth Debruille devient maire à l'issue des élections municipales de mars 2001.

Élisabeth Debruille fait en 2019 le choix de ne pas se représenter pour un quatrième mandat. Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de deux mois l'élection des maires par les nouveaux conseils municipaux. Valérie Cochez est élue maire le avec quatorze voix et un bulletin nul.

Liste des maires

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Maire de 1802 à 1807 : Nicolas Hottelart[17],[18].

Maire en 1939 : Laurent[19].

Titulaires de la fonction de maire d'OrsinvalVoir et modifier les données sur Wikidata
IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
DébutFin
Maurice Delmarle (d)[20]
( - )
années 1980 divers droite
Élisabeth Debruille (d)[21]
(née le )
19 ans et 2 mois
Valérie Cochez (d)[22]
(née le )
En cours4 ans, 6 mois et 4 jours

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 558 habitants[Note 5], en évolution de +2,01 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
350262361436478503497528526
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
554486495521515503474475420
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
412412380355356363339342346
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
320332336389440457462543545
2021 - - - - - - - -
558--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 272 hommes pour 280 femmes, soit un taux de 50,72 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,5 
4,2 
75-89 ans
6,7 
22,8 
60-74 ans
20,8 
21,0 
45-59 ans
20,0 
22,5 
30-44 ans
20,1 
14,3 
15-29 ans
13,6 
15,2 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Lieux et monuments

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Le village a su garder, en plusieurs endroits, son pittoresque. Deux sites se distinguent d'ailleurs par leur environnement frais et vert : la chute de l'ancien moulin et, non loin de là, l'ancien lavoir dit « Belle Fontaine ».

La grange dite « de Malbrough » (10, route de Valenciennes) rappelle une tradition chère aux Orsinvalois : c'est là que la célèbre chanson aurait été composée, au soir de la Bataille de Malplaquet (1709), alors que les troupes françaises se repliaient sur le Quesnoy et que le bruit courait que le général anglais était mort sur le champ de bataille.

L'église Saint-Nicolas est l'ancienne chapelle d'un couvent, détruit sous Louis XIV. À l'intérieur, on remarque surtout une grande pieta attribuée à un élève de Van Dyck. Mais ce qui fait l'originalité de cette église, c'est son campanile qui, à quelques pas de l'église même, laisse admirer sa cloche et sa charpente.

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Le Quesnoy comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique d'Orsinval » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Fiche communale d'Orsinval », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  2. Sandre, « la Rhonelle »
  3. « SAGE Escaut », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Orsinval et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 du Le Quesnoy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.75 (lire en ligne).
  17. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
  18. « Annuaire statistique du Département du Nord. Année 1807. », p. 144-145..
  19. Annuaire administratif et statistique du département du Nord-Année 1939, p. 100.
  20. E. B., « Orsinval : André Martens et Micheline Huin, dans la course des municipales », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « La vie municipale, il la connaît bien, pour avoir été adjoint au maire de 1983 à 1989, sous Maurice Delmarle. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  21. E. B., « Orsinval : un dernier mandat pour Élisabeth Debruille consacré à la sécurité », La Voix du Nord, Lille,‎ (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne) :

    « Après dix-neuf à la tête de la mairie, Élisabeth Debruille a décidé de ne plus briguer de nouveau mandat. »

    .Voir et modifier les données sur Wikidata
  22. L. C., « Valérie Cochez succède à Élisabeth Debruille », La Voix du Nord, Lille, no 24240,‎ , p. 35 (ISSN 0999-2189 et 2491-3189, BNF 34418428, lire en ligne).Voir et modifier les données sur Wikidata
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Orsinval (59451) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).