Projet:Communes de France/Conseils pour la rédaction (version 2021)
Le présent article présente une aide à la rédaction des articles consacrés aux communes de France.
Depuis, deux pages plus récentes ont été éditées : Projet:Communes de France/Conseils pour la rédaction (version 2023) et Projet:Communes de France/Conseils pour la rédaction (version 2024).
- Cet article est issu du plan proposé en 2018 à la suite d'une discussion de fin 2017, lui-même issu du plan défini en 2010 à la suite des discussions de 2006 à 2010.
Le contenu de cet article a été discuté et validé au sein du projet début 2021. La page d'aide à la validation de la forme d'un article de commune de France le complète.
Un bon exemple est l'article consacré à la commune de La Chapelle-Saint-Mesmin qui a été labellisé article de qualité, ce qui signifie « qu'il se rapproche de l'article parfait ».
Plan-type d'un article de commune
[modifier | modifier le code]Le plan-type d'un article de commune de France est le suivant :
- l'introduction constituée de :
- l'{{Infobox Commune de France}} ,
- et du résumé introductif,
- puis les onze sections suivantes :
1. Géographie = Description des éléments naturels caractérisant le territoire
== Géographie == === Localisation === === Géologie et relief === === Hydrographie === === Climat === === Paysages === === Milieux naturels et biodiversité ===
2. Urbanisme = Descriptif de l'action de l'homme sur le territoire
== Urbanisme == === Typologie === === Occupation des sols === === Morphologie urbaine === === Lieux-dits, hameaux et écarts === === Logement === === Planification de l'aménagement === === Projets d'aménagement === === Voies de communication et transports === === Énergie === === Risques naturels et technologiques === === Qualité de l'environnement ===
3. Toponymie = Descriptif des origines du nom de la commune, voire des différents toponymes
== Toponymie ==
4. Histoire = Mise en perspective des événements qui ont marqué la commune
== Histoire == === Préhistoire === === Antiquité === === Moyen Âge === === Temps modernes === === Révolution française et Empire === === Époque contemporaine ===
5. Politique et administration = Description des institutions et des élus gérant ou ayant géré le territoire
== Politique et administration == === Découpage territorial === === Élections municipales et communautaires === === Autres élections === === Instances de démocratie participative === === Finances communales === === Jumelages ===
6. Équipements et services publics = Descriptif de l'action publique et des services offerts aux habitants
== Équipements et services publics == === Eau et déchets === === Espaces publics === === Enseignement === === Postes et télécommunications === === Santé === === Justice, sécurité, secours et défense ===
7. Population et société = Descriptif de la population et des actions menées à son initiative (clubs, associations, etc.)
== Population et société == === Démographie === === Manifestations culturelles et festivités === === Sports et loisirs === === Vie associative === === Cultes === === Médias ===
8. Économie = Indicateurs et descriptif des acteurs économiques locaux
== Économie == === Revenus de la population et fiscalité === === Emploi === === Entreprises et commerces ===
9. Culture locale et patrimoine = Lieux, monuments, culture, traditions, personnalités
== Culture locale et patrimoine == === Lieux et monuments === === Patrimoine culturel === === Personnalités liées à la commune === === Héraldique, logotype et devise ===
10. Références de sources pour en savoir plus
== Voir aussi/Pour approfondir/Annexes == === Bibliographie === === Articles connexes ===<!--Liens vers des pages de l'encyclopédie fr.wikipedia--> === Liens externes ===<!--Liens vers des pages web externes à l'encyclopédie fr.wikipedia-->
11. Notes de bas de pages, et références des sources utilisées
== Notes et références == === Notes === === Références ===
Introduction
[modifier | modifier le code]Ce plan vise à apporter une cohérence et a vocation à constituer une cible pour les articles de communes de France. Selon la taille de la commune, le contenu de chaque section peut être adapté.
Le contexte institutionnel et réglementaire a très fortement évolué ces dernières années. Il est donc important de le prendre en compte et d'avoir un plan cohérent. De même, il y a une explosion de l'open data qui permet la mise à disposition de nombreuses nouvelles données qui n'existaient pas antérieurement.
Les principales évolutions depuis 2010 consistent en la création d'une section « Équipements et services » et le transfert des éléments naturels de la commune dans la section « Géographie ».
Autant, il est important que l'article contienne l'ensemble des sections afin d'inciter les lecteurs à les compléter, autant il ne faut pas imposer de sous-sections sans texte associé, le résultat aboutissant souvent à des sous-sections vides qui perdurent.
Plusieurs outils sont proposés pour aider à la rédaction → Projet:Communes de France/Outils d'assistance à la rédaction. Chaque outil spécifique est cité dans la section correspondante.
Remarques liminaires
[modifier | modifier le code]Conventions et aides
[modifier | modifier le code]Comme pour tout article de l'encyclopédie fr.wikipédia, on prendra en compte les conventions de plan, conventions typographiques, bonnes pratiques en matière d'accessibilité, etc.
La page d'aide relative aux questions de forme rappelle plusieurs points à prendre en compte.
La fr.wikipédia étant une encyclopédie, on n'utilise pas des mots tels que « actuellement » ou « dans 5 ans ». On ne précise pas les adresses de lieux (mairie, école…) ni a fortiori les heures d'ouverture. Pour toutes les informations qui le nécessitent[Note 1], on précise la date à laquelle l'information a été mesurée/connue.
Cas des boîtes déroulantes : la documentation des boîtes déroulantes précise que leur emploi n'est pas autorisé dans les articles de l'encyclopédie, à l'exception du modèle utilisé dans les palettes de bas de page. Il existe par ailleurs un autre moyen très simple pour limiter la longueur de la section « Notes et références » en utilisant la préférence ad hoc (voir ici).
Genre des noms de communes
[modifier | modifier le code]Les noms de villes demeurent féminins dans la langue littéraire mais sont masculins dans le langage courant[1]. Ainsi dans Wikipédia, hormis pour les communes qui historiquement et dans les sources récentes sont de genre féminin, comme Marseille, La Baule-Escoublac, La Rochelle, La Haye, Alger-la-Blanche, La Nouvelle-Orléans, Vaison-la-Romaine, Louvain-la-Neuve, etc, le genre de la commune est masculin. En outre, un nom de ville est toujours masculin quand :
- il est précédé des adjectifs « vieux », « nouveau » ou « grand » pour désigner des quartiers de la ville ou son extension : le vieux Nice, le grand Londres ;
- il est précédé du déterminant « tout » ou « le tout » (signifiant « l’élite de la société de … ») : « Tout Venise s’insurgeait à cette nouvelle », « Le Tout-Paris », expression qui tend malheureusement à disparaître au profit des anglicismes jet-set, show-biz ou people ;
- il est employé par métonymie, pour un événement, une équipe sportive ou, s’il s’agit d’une capitale, le gouvernement du pays : « Marseille a été battu 3 buts à 1 », « Washington se tient prêt à intervenir ».
Observatoires : fiches propres aux communes
[modifier | modifier le code]Divers observatoires permettent d'afficher un ensemble d'indicateurs propres aux communes :
- l'observatoire national des territoires : exemple 2019 du rapport communal pour Aix-les-Bains ;
- l'observatoire des territoires de la Savoie : exemple de la fiche communale d'Aix-les-Bains ;
- l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement : exemple de la fiche communale d'Aix-les-Bains ;
- l'observatoire de la biodiversité de la Nouvelle-Aquitaine : exemple de la fiche communale de La Rochelle ;
- les systèmes d'information liés aux cours d'eau et nappes souterraines : voir la section « Hydrographie » ci-après ;
- le système d'information lié aux risques majeurs : voir la section « Risques majeurs » ci-après - exemple de la fiche communale d' Aix-les-Bains ;
- le système d'information géographique de la politique de la ville : ne donne pas des fiches par commune, mais des fiches par EPCI bénéficiant de « contrats Politique de la ville ». Par exemple, pour le Loiret : carte et exemple de contrat.
Résumé introductif
[modifier | modifier le code]Outil proposé pour aider à la rédaction → Projet:Communes de France/Outils/Résumé/Situation
Résumé des grands axes de l'article avec les éléments d'informations incontournables suivants :
Type de collectivité (commune/commune nouvelle/ancienne commune/déléguée/associée), son statut (rurale/urbaine), les collectivités/circonscriptions de rattachement (département-région).
Le statut de la commune (rurale ou urbaine) conditionne fortement le contenu de l'article, d'où l'intérêt de le préciser ici et dans la section « Urbanisme ». Pour rappel : une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines. Ainsi, si la commune est urbaine, il convient de préciser l'unité urbaine à laquelle elle appartient, information que l'on trouve dans la base des unités urbaines 2020 sur le site de l'Insee.
Contenu d'un article de commune de France
[modifier | modifier le code]Géographie
[modifier | modifier le code]
Géographie physique - Description de l'ensemble des éléments naturels structurant et caractérisant le territoire communal. |
Les voies de communications ne sont pas des éléments naturels. Même si elles structurent le paysage, elles résultent de l'action de l'homme et en particulier de l'urbanisation du territoire. Cette thématique a donc vocation à être dans la section « Urbanisme ».
Localisation
[modifier | modifier le code]Outil proposé pour aider à la rédaction de cette sous-section → Projet:Communes de France/Outils/Géographie/Situation
Contenu : situer la commune dans le département et par rapport aux communes voisines, textuellement puis avec le modèle {{Communes limitrophes}}. Il faut éviter de créer une section spécifique aux communes limitrophes, bien souvent vide de texte. En langage encyclopédique, on rédige des phrases (sujet, verbe, complément). On introduira le tableau des communes limitrophes par une phrase telle Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de XXX communes :
Communes limitrophes : pour présenter les communes limitrophes, on peut utiliser le modèle {{Communes limitrophes}}. Une méthode pour les trouver peut être d'utiliser le Géoportail IGN communes (limites des communes actuelles et noms), et en cas de doute (quadripoints), zoomer. Pour couvrir toute une zone (ex: département) sans en oublier, toujours progresser dans le même sens par commune voisine (par exemple, si on progresse vers l'ouest, la plus au sud-ouest qu'on n'ait pas déjà faite, copier-coller du modèle précédent), puis demi-tour au bout, comme un peintre qui peint un mur. Vérifier les liens (homonymie, orthographe) lors de la prévisualisation (survol souris uniquement pour conserver l'hyperlien en bleu pour s'y retrouver). Référencer avec la carte IGN (ex: Ansignan).
Sources : le site OpenStreetMap permet d'obtenir les distances à pied, en vélo, en voiture entre deux endroits définis par leurs adresses. On utilisera la syntaxe suivante pour référencer la source (ne pas oublier la ligne auteur dont le texte est imposé ici par le projet OpenStreetMap) :
<ref> {{Lien web |url=https://www.openstreetmap.org/directions?engine=fossgis_osrm_car&route=47.9027%2C1.9086%3B48.8567%2C2.3515#map=9/48.3836/2.1039 |titre= Distance par la route entre Orléans et Paris |auteur=© les contributeurs d’OpenStreetMap |site=le site [[OpenStreetMap]] |consulté le=5 janvier 2021 }}.</ref>
Cartographie : il peut être utile de compléter l'article avec une ou des cartes thématiques.
Pour créer ce type de carte, on pourra se référer à ce mémo sur la création de cartes avec QGis :
- a minima : carte OSM de type Map_commune_FR_insee_code_52177.png créées en 2012 par Michiel1972. Attention ces cartes sont souvent peu lisibles et surtout périmées s'il y a création de commune nouvelle ;
- Une cartographie dynamique élaborée à partir d'Openstreetmap peut aussi être insérée dans l'article. IL suffit de connaître les coordonnées du centroïde de la commune (à défaut on prendra les coordonnées figurant dans l'Infobox qui sont relatives à la localisation de la mairie), l'identifiant Wikidata de la commune et d'adapter le zoom en fonction de la taille de la commune (en général zoom=12).
Le site de la collection de David Rumsey présente l'ensemble des 182 cartes dressées par les membres de la famille Cassini de 1750 à 1815.
Cas d'une commune simple
[modifier | modifier le code]Noter qu'avec la roulette de la souris, on peut zoomer en avant et en arrière de la carte, sans passer en mode grand écran. Exemple de code pour la commune d'Artenay ː
<mapframe zoom=12 latitude=48.0831 longitude =1.8792 height=300 width=300 align=right text="Localisation de la commune d'Artenay"> { "type": "ExternalData", "service": "geoline", "ids": "Q706912", "properties": { "fill": "#fc3", "stroke": "#ac6600" } } </mapframe>
Le modèle:Carte interactive peut aussi être utilisé, le modèle actuel présente un fond grisé de la commune.
Cas d'une nouvelle commune
[modifier | modifier le code]Si on souhaite représenter les communes dont est issue une nouvelle commune, le même code peut être utilisé. Exemple pour Gommerville (Eure-et-Loir) (zoom=11)
composée de Gommerville (ancienne commune) (id-WD :Q378218) et Orlu (Eure-et-Loir) (id-WD :Q1348745)
</right> <mapframe zoom=11 latitude=48.3461 longitude =1.9456 height=300 width=300 align=right text="Carte de Gommerville et des communes limitrophes" > [{ "type": "ExternalData", "service": "geoline", "ids": "Q378218", "properties": { "fill": "#fc3", "stroke": "#ac6600" }}, { "type": "ExternalData", "service": "geoline", "ids": "Q1348745", "properties": { "fill": "#fc3", "stroke": "#ac6600" }}] </mapframe> </right>
Utilisation de géopolygones dans OpenStreetmap
[modifier | modifier le code]Si un polygone de la commune a été créé sous OpenStreetmap, il peut être utilisé par son identifiant et le modèle:GéoPolygone, sinon, le polygone peut être créé directement dans le modèle avec ses coordonnées GMaps sous la forme lat1,lon1,height1 lat2,lon2,height2 lat3,lon3,height3. Un exemple d'utilisation du modèle, avec un identifiant et une image dudit-polygone, pour la commune de Ludon-Médoc :
{{images |image1=Ludon-Médoc Limite communale.jpg |légende1={{Centrer|{{GéoPolygone|OSM=103231|type=relation}}}} |position=centre |hauteur=250 }}
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Superficie
[modifier | modifier le code]Une phrase introductive peut être :
La superficie de la commune est de {{unité|XXXX|km|2}} ; son altitude varie de {{unité/2|XXX|à=XXX|mètres}}<ref>[[Institut national de l'information géographique et forestière]], ''Répertoire géographique des communes'', {{lire en ligne|lien=https://professionnels.ign.fr/rgc#tab-3}}.</ref>
.
La superficie des communes de France était jusqu'en 2016 accessible dans le référentiel géographique communal (RGC). Ce sont les valeurs (surface, altitudes) de ce RGC (voir le RGC 2014 en cliquant ici) qui ont été utilisées pour remplir les Infobox. Depuis 2016, le RGC a été remplacé par GeoFla.
Nota : les données relatives aux superficies peuvent varier considérablement d'une base à l'autre, suivant que les superficies des surfaces couvertes d'eau (cours d'eau, étangs, lacs) et de glaciers, sont comptabilisées ou non.
Les données de superficie d'une commune peuvent prendre deux formes :
- valeur cadastrale, sur le site de l'Insee ː exemple ici pour Adon (24,7 km2) ;
- valeur géographique, à partir de la base de données Topo, sur le site de gestion de l'eau ː exemple ici pour Adon (24,74 km2) (pour plus de détails voir la section « Hydrographie »).
Paysages
[modifier | modifier le code]Des atlas très riches en informations ont été rédigés par chaque département/région et sont mis en ligne sur les sites propres à chacune de ces entités administratives. On y trouve systématiquement une description des principales unités paysagères/pays avec une description géologique, des reliefs, des types de paysages et de l'activité économique agricole. La description est assez fine pour rédiger le paragraphe concernant chaque commune. Un exemple ici pour l'Oise : attention document de 20 Mo.
On peut retrouver généralement ces documents en effectuant une recherche via un moteur de recherche avec les arguments DREAL "Atlas des paysages" + nom du département ou de la région.
Géologie
[modifier | modifier le code]Cartographie :
- Pour ceux qui souhaitent se lancer dans la cartographie, un tutoriel sur la création de cartes géologiques figure ici - Les données départementales au 1/50 000 ème qu'il convient de télécharger sont disponibles en remplissant un formulaire sur cette page.
- sinon donner dans le texte de l’article, le lien vers la carte géologique du Géoportail, par exemple pour Pelleautier :
{{Géoportail |latitude=44.5177777778 |longitude=6.01722222222 |couches=Geologie-scan }}
ce qui donne « Geologie-scan » sur Géoportail.
Texte :
- commencer par situer la commune dans son contexte géologique (au sud du bassin Parisien, dans le nord-est du Massif armoricain, etc.) et préciser l’âge et les modalités de formation de ce contexte ;
- puis préciser et décrire les couches affleurantes, par ordre chronologique croissant. Pour ce descriptif, on utilisera la notice géologique dans laquelle s’inscrit la commune.
Pour obtenir la notice géologique d'une commune, le mode d'emploi se trouve sur cette page ou bien aller dans la base de données du Bureau de recherches géologiques et minières - saisir le nom de la commune - puis cartes géologiques - puis cliquer dans l'onglet légende : Notice. Attention toutes les notices ne sont pas accessibles via cette manip. Par exemple pour Pelleautier, il faut aller sur la feuille de Gap. Les numérotages des notices s'effectuent de gauche à droite et du nord vers le sud, sur la carte de France.
Hydrogéologie (eaux souterraines)
[modifier | modifier le code]Le volet « Eaux souterraines » fait partie de cette sous-section = descriptif des masses d'eaux souterraines (stratification des aquifères). Cette information est essentielle pour pouvoir (éventuellement) décrire les mesures visant à protéger l'eau. Les usagers d'une commune classée en ZRE (zone de répartition des eaux) ont des autorisations de pomper dans tel ou tel aquifère, jusqu'à telle ou telle profondeur.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Outil proposé pour aider à la rédaction de cette sous-section → Projet:Communes de France/Aide à la rédaction/Section hydrographie.
Contenu
[modifier | modifier le code]Cette section doit présenter les caractéristiques du réseau hydrographique irriguant la commune. Celui-ci comprend l'ensemble des eaux superficielles à savoir cours d'eau, canaux et plans d'eau.
Il s'agit de décrire les caractéristiques physiques de ce réseau : longueur totale, cours d'eau principaux, leur sens d'écoulement et leur longueur sur le territoire de la commune. Des éléments descriptifs de relief pourront compléter ce contenu.
Pour le ou les cours d'eau principaux (de longueur supérieur à 10 km), des éléments complémentaires pourront être apportés sur ces derniers :
- caractéristiques principales ː longueur totale, source, confluence, classement piscicole ;
- s'il s'agit d'une réserve biologique, quelles espèces sont concernées, classement du point de vue de la continuité écologique ;
- si le cours d'eau dispose d'une station hydrométrique sur la commune ou sur une des communes proches (en amont ou aval), des éléments d'hydrologie pourront être donnés.
Sources
[modifier | modifier le code]Systèmes d'information dédiés à l'eau : Divers systèmes d'information de gestion de l'eau donnent accès à des fiches communales avec une thématique hydrographie et masses d'eau. C'est en particulier le cas pour :
Nom SIGES | Exemples | ||
---|---|---|---|
Commune | Lien | Code | |
Bassin Seine-Normandie | Ondreville-sur-Essonne | ici | https://sigessn.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=45233 |
Centre-Val de Loire | Cléry-Saint-André | ici | https://sigescen.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=45098 |
Aquifère rhénan | Colmar | ici | https://sigesar.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=68066 |
Aquitaine | Saint-Aignan | ici | https://sigesaqi.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=33365 |
Bretagne | Brest | ici | https://sigesbre.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=29019 |
Midi-Pyrénées | Toulouse | ici | https://sigesmpy.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=31555 |
Nord-Pas-de-Calais | Lille | ici | https://sigesnpc.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=59350 |
Loire | Nantes | ici | https://sigespal.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=44109 |
Poitou-Charente-Limousin | Poitiers | ici | https://sigespoc.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=86194 |
Rhin-Meuse | Metz | ici | https://sigesrm.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=57463 |
Sandre : le site du Service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) ici fournit toutes les informations utiles, notamment les caractéristiques chiffrées des cours d'eau ici. Pour la syntaxe wiki, on utilise le modèle {{Sandre}}.
Géoportail ː Géoportail peut permettre d'identifier les cours d'eau d'une commune. Par exemple pour Triguères (Loiret), la carte obtenue est celle-ci et le code du lien est ː
https://www.geoportail.gouv.fr/carte?c=2.985749291015625,47.93978324388837&z=15&l0=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.MAPS::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(0.8)&l1=HYDROGRAPHY.HYDROGRAPHY::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(0.5)&l2=ADMINISTRATIVEUNITS.BOUNDARIES::GEOPORTAIL:OGC:WMTS(1)&permalink=yes
Le modèle {{Géoportail}} peut également être utilisé et inséré dans une référence. Ce qui donne ceci : « Carte hydrologique de Triguères » sur Géoportail (consulté le 22 décembre 2018). , le code étant le suivant :
{{Géoportail | longitude = 2.985749 | latitude = 47.939783 | zoom = 7 | couches = Hydro | desc = Carte hydrologique de Triguères | consulté le = 22 décembre 2018 }}
N.B. : la précision de six chiffres après la virgule est très suffisante car elle correspond en latitude comme en longitude à environ un mètre près, voire moins ; en France métropolitaine, une telle précision sur la longitude correspond à environ un demi-mètre.
Autres sources :
- le plan local d'urbanisme de la commune peut apporter des informations descriptives complémentaires intéressantes ;
- le document d'information communal sur les risques majeurs (Dicrim) dans sa section « risque inondation » peut apporter des éléments d'information intéressants sur le réseau hydrographique. Les informations relatives aux inondations seront à mettre plutôt dans la sous-section « Risques naturels et technologiques » de la section « Urbanisme ».
Climat
[modifier | modifier le code]Attention à ce que les graphiques correspondent à des stations météo proches, en tout cas représentatives du climat de la commune. En général le SCOT dont dépend la commune donne une bonne indication de la station de référence.
Si on souhaite représenter le tableau des caractéristiques météo de la station de référence, il est conseillé d'utiliser le modèle {{Relevé météo}} et éventuellement le modèle {{Météo France}}. Des données sur une assez longue période sont données sur le site de l'association Infoclimat, en choisissant la station météo la plus proche de la commune concernée, ou deux stations si on veut affiner.
Pour l'écriture des températures dans le texte, utiliser le modèle {{tmp}} : {{tmp|25 °C}} donne 25 °C.
Paysages
[modifier | modifier le code]Il s'agit ici de paysages naturels. La question peut se poser concernant la localisation des zones de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP) (car dans ZPPAUP, il y a le mot « paysage »), mais les ZPPAUP sont clairement des extensions de protection de zones bâties urbaines. La ZPPAUP (s'il y en a une) doit donc être décrite soit dans « Paysages » soit dans « Culture locale et patrimoine », selon la prédominance des attendus du classement.
Cette sous-section ne doit être créée que si l'on dispose de sources : atlas des paysages départemental ou descriptif du paysage de la commune dans un document d'urbanisme (POS, PLU, ZPPAUP ou AVAP).
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Milieux naturels et biodiversité : On décrit ici l'appartenance à un parc naturel régional, un parc national ou une réserve naturelle, les espaces remarquables (site classé ou inscrit, Natura 2000, arrêtés de biotopes, espaces naturels sensibles), les espaces réglementés ou d'intérêt (ZNIEFF, zones de chasse, etc), la faune et la flore (lorsqu'elles sont spécifiques de la commune, et l'on trouve des informations dans les fiches Natura 2000 et ZNIEFF). Si nécessaire, on peut ajouter les actions en faveur de telle ou telle espèce (micro-exemple : l'installation d'une aire d'observation du balbuzard pêcheur).
la plupart des données sur les sites Natura 2000, ZNIEFF, parc naturel... sont disponibles sur le site de l'INPN. Exemple pour la commune de Planfoy : https://inpn.mnhn.fr/collTerr/commune/choix/42172. Il suffit de remplacer le code INSEE de la commune demandée à la fin de l'URL. D'autres informations sont disponibles sur les sites des DREAL, des parcs naturels régionaux, etc.
On peut écrire la section de la façon suivante :
Le [[réseau Natura 2000]] est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives « [[directive habitats|Habitats]] » et « [[directive oiseaux|Oiseaux]] ». Ce réseau est constitué de [[Zone spéciale de conservation|Zones spéciales de conservation]] (ZSC) et de [[Zone de protection spéciale|Zones de protection spéciale]] (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les [[États membres de l'Union européenne|États membres]] s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés<ref name="MEDDE-Natura1">{{Lien web |url=https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/reseau-europeen-natura-2000-1 |titre= Réseau européen Natura 2000 |auteur= |date = 9 août 2019 |site =le site du ministère de la Transition écologique et solidaire |consulté le= 7 avril 2020}}.</ref>. Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000<ref>
{{Lien web
|url= https://inpn.mnhn.fr/collTerr/commune/41025/tab/natura2000
|titre=Liste des zones Natura 2000 de la commune de Bracieux
|site=le site de l'[[Inventaire national du patrimoine naturel]]
|consulté le=7 avril 2020
}}.</ref> :
la « Sologne », d'une superficie de {{Unité|346184 ha}}<ref>{{Lien web |url=https://inpn.mnhn.fr/site/natura2000/FR2402001 |titre= site Natura 2000 la « Sologne » - fiche descriptive |site =le site de l'inventaire national du patrimoine naturel|consulté le= 7 avril 2020}}.</ref>.
Cartographie
[modifier | modifier le code]Ce tuto permet de créer des cartes des Znieff via le logiciel de SIG QGis et les Données du programme ZNIEFF de l'INPN.
À défaut (ou en complément), un lien vers la carte des zones d'intérêt pourra être ajouté via le modèle Géoportail avec la syntaxe suivante (pour l'exemple d'Aguessac) ZNIEFF :
<ref>{{géoportail|longitude = 3.098221| latitude = 44.155982 | zoom = 7 | couches = Znieff | desc = Zones ZNIEFF d'Aguessac | consulté le = 28 novembre 2020}}.</ref>
Ce qui donne ce lien : [2].
Natura 2000 :
<ref>{{géoportail|longitude = 3.098221| latitude = 44.155982 | zoom = 7 | couches = Natura2000 | desc = Sites Natura 2000 d'Aguessac | consulté le = 28 novembre 2020}}.</ref>
Ce qui donne ce lien : [3]
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Le terme « urbain » est à prendre ici dans le sens originel de urbs, territoire où sont réunis des habitants.
Descriptif de l'action de l'homme sur le territoire. |
Typologie
[modifier | modifier le code]Cette section a vocation à présenter la typologie de la commune : rurale ou urbaine et si elle est littorale ou non.
Noter qu'il existe une nouvelle définition des communes rurales/urbaines depuis novembre 2020. Sont désormais qualifiées de rurales, les communes qui sont peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee, et urbaines celles qui sont denses ou de densité intermédiaire. Il y a donc désormais décorrellation entre notion de commune urbaine (liée à une densité élevée) et d’unité urbaine (liée à une notion d’agglomération), alors qu’auparavant toute commune en unité urbaine était par définition dite urbaine, et toute commune hors unité urbaine était rurale. Cette nouvelle classification s'appuie sur le découpage 2020 avec les populations de 2017 comme référence. Il est probable (mais pas sûr) donc qu'une actualisation annuelle soit nécessaire.
Concernant la troisième typologie, seule l'aspect littoral est retenu, car ce classement a un impact direct sur l'urbanisme et a donc toute sa place dans cette section. Les autres classements (zone montagne, zone défavorisée, etc) peuvent être ajoutés dans les sections adéquates (Économie, principalement).
En principe toutes les communes de France métropolitaine ont été traitées en 2021. Si des oublis sont constatés, ils peuvent être ajoutés à la main, sur le modèle d'autres communes. Si une actualisation annuelle est nécessaire dans les années futures, les modalités en seront définies ultérieurement (a priori via un bot).
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]Il est utile de mettre un paragraphe sur l'occupation du sol et indiquer en particulier les taux de surfaces naturelles, agricoles et urbanisées de la commune. Si on retient « Morphologie », on parlera alors plutôt de « Morphologie urbaine » lorsque la commune est urbanisée en totalité.
Pour obtenir les données d'occupation de sols par postes, on peut utiliser les données Corine Land Cover (lien). La répartition de 2018 en 5 (lien zip) ou 15 postes (lien zip) est suffisante. Ces tables sont au format CSV (données tabulaires).
Les informations fournies par Corine Land Cover peuvent être rédigées de la façon suivante :
L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces forestiers. La répartition détaillée ressortant de la [[base de données]] [[Europe|européenne]] d'occupation [[biophysique]] des sols [[Corine Land Cover]] millésimée 2018 est la suivante : forêts (64,4 %), prairies (19,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (4 %), zones urbanisées (2,8 %)<ref>{{Lien web |titre=CORINE Land Cover {{!}} Données et études statistiques - Répartition des superficies en {{nb|15 postes}} d'occupation des sols (métropole) |url=https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/corine-land-cover-0 |site=le site de l'inventaire biophysique de l’occupation des sols et de son évolution |consulté le=AAAA-MM-JJ}}.</ref>.
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Contenu : attention à ne pas vouloir cibler une exhaustivité de tous les toponymes figurant sur une carte de la commune. Très rapidement on peut aboutir à des tableaux disproportionnés par rapport à l'article. Privilégier les lieux-dits et hameaux habités.
Rappel sur l'orthographe :
- des hameaux et lieux-dits : l'article défini initial (le, la, les) ne prend jamais de majuscule initiale (lire le cas n°9) ;
- des points cardinaux : la règle : minuscule s'il s'agit d'une direction, majuscule s'il s'agit d'une partie du pays. On écrit par exemple : « Metz est une commune située au nord de Nancy dans l'Est de la France ».
Sources :
- le site Géoportail de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) donne les principaux lieux-dits de la commune, en prenant le calque de ses cartes (attention aux sources primaires, donc ne pas en abuser).
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]En cas de commune rurale, privilégier, la terminologie « morphologie des hameaux » ou « morphologie des villages ».
Sources potentielles :
- le plan local d'urbanisme (PLU) de la commune, et plus précisément sa partie appelée rapport de présentation, en général réalisée par un cabinet d'urbanisme conseil. Il est en général chargé d'effectuer le diagnostic urbain de la ville puis d'établir des préconisations pour le PLU. C'est donc le document le plus complet sur le sujet. Il est parfois mis en ligne sur le site de la mairie. Sinon, dans tous les cas, il est consultable en mairie et au siège de la Direction départementale des territoires (DDT) ;
- les études liées à un diagnostic patrimonial d'un territoire dans un contexte de projet d'aire de mise en valeur de l'architecture et du patrimoine (AVAP, ex-ZPPAUP) par exemple ou de parc naturel régional ;
- les brochures de présentation de l'évolution de la ville publiées par les services d'animation du patrimoine ;
- les monographies communales.
Pour accéder aux informations relatives aux communes de la région Île-de-France, il faut se rendre sur le site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Île-de-France, choisir « occupation du sol 2008 » dans le menu de gauche et la commune voulue sur la carte.
On pourra utiliser le tableau suivant :
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 78,80 % | 749,87 |
Espace urbain non construit | 18,50 % | 176,20 |
Espace rural | 2,70 % | 26,13 |
Source : IAURIF[4] |
Dans le cas où le territoire de la commune couvre le bourg (chef-lieu) et plusieurs hameaux et/ou lieux-dits, cette sous-section peut en faire la liste : on fera attention à écrire ces noms en romain et non pas en italique ; attention également à l’article défini initial : minuscule pour les hameaux et majuscule pour les chefs-lieux de commune (voir ici).
La ville, d'hier à aujourd'hui : Histoire du développement urbain. Bien entendu, dans le cas de commune rurale, les sections « Occupation des sols » et « La ville, d'hier à aujourd'hui »" seront fusionnées dans une rubrique « Occupation des sols » dans laquelle figurera éventuellement un volet évolution des zones urbanisées.
Logement
[modifier | modifier le code]Outil proposé pour aider à la rédaction de cette sous-section → Projet:Communes de France/Outils/Urbanisme/Logement
Nb total - proportion habitat principal/secondaire - style architectural - On pourra aussi mentionner le classement de la commune en zone A, B ou C (voir ici ou ici) et dire ce que cela implique (par exemple communes éligibles à la loi Pinel).
Les informations fournies par l'Insee peuvent être rédigées de la façon suivante :
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de {{formatnum:10500}}, alors qu'il était de {{formatnum:10029}} en 1999<ref group="Insee">''LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie''.</ref>.
Parmi ces logements, 95,8 % étaient des résidences principales, 1,3 % des résidences secondaires et 2,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 53,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 45,2 % des appartements<ref group="Insee" name="LOG T2">''LOG T2 - Catégories et types de logements''.</ref>.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 37,4 %, en hausse sensible par rapport à 1999 (29,9 %). La part de logements HLM loués vides était de 33,8 % contre 38,9 %, leur nombre étant constant {{formatnum:6861}} contre {{formatnum:6856}}<ref group="Insee">''LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation''.</ref>.
Un complément sur les styles architecturaux (traditionnels, modernes), leurs caractéristiques et leur importance est appréciable.
Planification de l'aménagement
[modifier | modifier le code]Schéma de cohérence territoriale (SCoT), plan local d'urbanisme (PLU), carte communale (CC) et autres outils de planification (Plan de déplacements urbains (PDU), Programme local de l'habitat (PLH)). Sur le site géoportail de l'urbanisme, on trouve les documents d'urbanisme applicables à la commune (SCoT, PLU et CC).
On peut rédiger la section de la façon suivante :
La [[Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains|loi SRU]] du {{Date-|13 décembre 2000}} a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les parties d'aménagement de l'espace au sein d'un [[schéma de cohérence territoriale]] (SCoT), un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT du Pays de L'autre coté, approuvé le {{date-|10 décembre 2018}} sur un territoire de {{nb|150 communes}}.
En matière de planification, la commune dispose d'un [[plan local d'urbanisme]] approuvé le 12 mars 2020.
Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]On peut souvent trouver des informations dans les SCOT, les PLU (PADD et Orientation d'aménagement et de programmation (OAP)) ou les sites des intercommunalités ou des communes (projets de Zone d'aménagement concerté (ZAC), de zones d'activités économiques…), et parfois des études d'impact ou des avis de l’État (Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (Dreal), site des préfectures…).
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Nota : les transports n'existent que parce qu'il y a des voies de communication. La construction de ces voies est une action de l'homme sur le territoire, c'est pourquoi les informations relatives aux voies de communication font partie de la section « Urbanisme ». On y adjoint les transports car ils sont très liés aux voies, bien qu'il s'agisse de services rendus aux habitants.
Voies de communication
[modifier | modifier le code]Sources : comme pour la localisation, on trouve déjà quelques informations sur le site Géoportail, en prenant le calque des cartes IGN (attention aux sources primaires, donc ne pas en abuser).
Transports
[modifier | modifier le code]Attention : ne pas utiliser dans les articles les petites icônes développées au sein du projet:Transports (sorties d'autoroute, numéro de ligne de transport, etc), c'est le résultat d'une prise de décision (PDD) en juillet 2008 et de la recommandation rappelée ici en page d'accueil du projet:Transports.
Énergie
[modifier | modifier le code]Section facultative, à développer uniquement si la commune a un potentiel énergétique et si des projets de production existent. On distinguera les thermogènes (géothermie nappe ou sous-sol, biomasse, eaux usées, aquathermie, solaire thermique, déchets, chaleur fatale) ou électrogènes (biomasse, solaire photovoltaïque, éolien, hydrolien, déchets, géothermie très haute énergie).
Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Le risque est la confrontation d’un aléa (phénomène naturel dangereux) et d’une zone géographique où existent des enjeux qui peuvent être humains, économiques ou environnementaux. Les enjeux étant liés à la présence humaine, il est logique que cette sous-section soit dans la section « urbanisme ». Par ailleurs, tout risque naturel ou technologique majeur donne lieu à l'établissement d'un document d'urbanisme spécifique : plan particulier des risques naturels (PPRN) (PPRI pour le risque d'inondation), ou plan particulier des risques technologiques (PPRT) ou un plan de prévention des risques miniers (PPRM), qui s'impose en tant que servitude aux documents d'urbanisme locaux (PLU, cartes communales, etc.). Ainsi, dès lors qu'une commune est couverte par un PPRN (voir la carte des PPRN approuvés en 2009), un PPRT ou un PPRM, ou a fortiori plusieurs cumulés, qu'il(s) soi(en)t approuvé(s) ou simplement prescrit(s), cette section est très fortement recommandée.
Pour connaître la liste des risques majeurs impactant une commune :
- aller sur le site du ministère de la Transition écologique et solidaire dédié aux risques en cliquant sur https://www.georisques.gouv.fr/mes-risques/connaitre-les-risques-pres-de-chez-moi/rapport?codeInsee=45008, en remplaçant 45008 par le code Insee de la commune que l'on souhaite ;
- récupérer le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) où l'on a tous les risques pour chaque commune du département et un descriptif de chaque risque (saisir dans un moteur de recherche : DDRM + nom du département) ;
- récupérer le document d'information communal sur les risques majeurs (Dicrim), mais tous ne sont pas en ligne et souvent sont très pauvres en informations (saisir dans un moteur de recherche : DICRIM + nom de la commune).
Risque inondation
[modifier | modifier le code]Dans cette section, on présente essentiellement les enjeux exposés au risque inondation, les mesures de réduction de la vulnérabilité éventuellement réalisées et le ou les PPRI couvrant la commune (en général, il n'y a qu'un PPRI, mais exceptionnellement comme à Angers, il peut y en avoir deux).
Par enjeux, il convient d'entendre : enjeux bâtis (quartiers, voies de circulation, bâtiments publics, etc.) et enjeux humains (population concernée). Le mécanisme des crues sera quant à lui détaillé dans la section « Hydrographie ».
La plupart de ces informations sont dans le rapport de présentation du PPRI. Pour le récupérer, saisir dans un moteur de recherche : PPRI + nom du département.
Pour toutes les communes traversées par une rivière ou un fleuve et faisant l'objet d'un Plan de prévention du risque inondation (PPRI), il est souhaitable de décrire : les grandes crues historiques, les mécanismes d'inondation, les débits atteints, l'échelle de crue correspondante, les cotes d'alerte. Ces informations sont en général dans le dossier départemental des risques majeurs (DDRM) (saisir dans un moteur de recherche : DDRM + nom du département) ou dans le rapport de présentation du PPRI (pour le récupérer, saisir dans un moteur de recherche : PPRI + nom du département).
La directive 2 007⁄60 /CE du Parlement européen et du Conseil du relative à l’évaluation et à la gestion des risques d’inondation, dite Directive inondation vise à l’élaboration avant 2015 de plans de gestion des risques d’inondation visant à une réduction des conséquences négatives des inondations sur les enjeux humains, économiques, environnementaux et culturels. Cette directive définit la notion de « territoire à risque important » (TRI).
Rechercher si la commune sur laquelle on travaille fait partie d'un TRI ou non. Décrire succinctement l'avancement de la procédure de TRI et le positionnement de la commune dans ce TRI (si elle est concernée ou non par la stratégie d'action). Pour cela récupérer de l'info en saisissant dans un moteur de recherche : directive inondation TRI + nom département.
Les documents sont en général présentés par bassin hydrographique ; la France métropolitaine est découpée en six bassins hydrographiques correspondant aux grands fleuves français : Adour-Garonne, Artois-Picardie, Loire-Bretagne, Rhin-Meuse, Rhône-Méditerranée-Corse et Seine-Normandie. Les quatre bassins des DROM complètent ce dispositif : Martinique, Réunion, Guyane et Guadeloupe. Voir par exemple la carte des TRI du bassin Rhône Méditerranée et leurs descriptifs.
Risque industriel : Ce risque concerne les communes qui accueillent un établissement classé Seveso seuil haut. Les informations du Dicrim et du DDRM peuvent suffire pour décrire le risque. Présenter le(s) PPRT : dates de prescription/approbation/révision.
Risque mouvements de terrains : on distingue deux types d'aléas :
- l'aléa retrait-gonflement argiles : la définition est ici. La cartographie concernant la commune est obtenue avec l'url : https://www.georisques.gouv.fr/dossiers/argiles/carte#/com/45008, , en remplaçant 45008 par le code Insee de la commune que l'on souhaite ;
- l'aléa cavités souterraines : la définition est ici. La cartographie concernant la commune est obtenue avec l'url : https://www.georisques.gouv.fr/risques/cavites-souterraines/carte#/com/45008, en remplaçant 45008 par le code Insee de la commune que l'on souhaite.
Risques sismique, nucléaire, TMD : les informations sont sur le DDRM. Concernant le transport de matières dangereuses (TMD), ce risque peut être routier, ferré, lié à un gazoduc ou un oléoduc (TRAPIL). Pour ces deux derniers aspects (gaz et oléoduc), on peut compléter avec une référence cartographique sur le tracé de ces canalisations, exemple ici pour le Loiret.
Qualité de l'environnement
[modifier | modifier le code]L'occupation humaine a un impact sur l'environnement. Il s'agit de décrire ici succinctement les effets sur l'eau, l'air, les sols ou les nuisances comme le bruit. Ainsi que les mesures prises (concernant la commune).
Toponymie
[modifier | modifier le code]
Éléments descriptifs des origines du nom de la commune, voire des différents toponymes de la commune. |
C'est dans cette section qu'on peut donner des informations complémentaires sur le nom de la commune dans d'autres langues, notamment la langue locale s'il y a lieu.
On peut également citer dans cette section, les utilisations qui ont été faites de ce toponyme pour former un nom scientifique (espèce ou taxon biologique, minéral ...).
Histoire
[modifier | modifier le code]
Mise en perspective des événements qui ont marqué la commune, et non pas une simple chronologie de ces événements. |
Ressources
[modifier | modifier le code]Les médiathèques et bibliothèques ont souvent une bibliographie régionale ou locale.
La carte archéologique nationale est un inventaire national informatisé qui permet d’établir des cartes « prédictives » du patrimoine archéologique. Cet inventaire permet aussi le développement de programmes de recherche aux échelles et thématiques multiples comme on peut le lire dans la « Programmation nationale de la recherche archéologique » régulièrement révisée. En 2013, la carte prend en compte près de 500 000 entités archéologiques reconnues. La carte archéologique nationale est consultable par tous, dans les services régionaux de l'archéologie, au sein des directions régionales des affaires culturelles, mais selon des niveaux de précision d’information conciliant les exigences de la connaissance et celles de la protection du patrimoine (voir ici).
Les données de la carte archéologique nationale sont transférées dans l'atlas des patrimoines, qui affiche de manière cartographiée d'autres éléments du patrimoine. Une recherche par commune permet de visualiser les sites localisés sur la commune (et les fiches d'information correspondantes) - voir la carte ici.
Le document La programmation nationale de la recherche archéologique, publié en 2016, donne des informations intéressantes par période sur les acquis, les axes de recherche ainsi que des bibliographies (présentation – le document), au niveau national certes, et donc loin du niveau communal, mais cela permet de cadrer les choses.
Sectionnement par époque
[modifier | modifier le code]Les sections suivantes reprennent la périodisation historique classique ; elles sont à adapter en fonction du contenu.
Préhistoire
[modifier | modifier le code]Antiquité
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Cette période s'étend du Ve siècle au XVe siècle inclus.
Temps modernes
[modifier | modifier le code]Cette section peut éventuellement être regroupée avec la précédente sous le titre Ancien Régime.
Si une section Renaissance est créée, elle prend place ici, mais le titre XVIe siècle est en général préférable, le terme Renaissance concerne l’histoire culturelle et artistique.
Révolution française et Empire
[modifier | modifier le code]Cette section peut en fait être intégrée dans la période contemporaine. Faire référence à la loi du , qui fixe le cadre territorial actuel des communes (même s'il reprend souvent celui d'une ou plusieurs entités préexistantes depuis sept à neuf siècles, de nature religieuse [paroisse] ou laïque [communauté ou seigneurie]) et des fonctions proches des fonctions actuelles, de manière uniforme pour toute la France (ce dernier aspect en plusieurs étapes pour la période).
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]En histoire politique française, le XIXe siècle va de 1815 (après les Cent-Jours, fin de la période révolutionnaire) à 1914, et le XXe siècle commence en 1914, donc utiliser ce cadre pour les éléments qui relèvent du cadre politique et évènementiel.
Pour l'histoire économique, il est possible de sortir de cette périodisation, voire dans certains cas de créer une section spéciale (l'usine XX [ou le développement économique]).
Ce site recense toutes les communes françaises décorées de la croix de guerre 1939-1945, classées par ordre numérique des départements. L'indication peut figurer dans la section « Histoire », comme dans cet exemple de commune de la Dordogne.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]
Description des institutions (la commune et les collectivités de rattachements) et des élus administrant ou ayant administré le territoire. |
Découpage territorial
[modifier | modifier le code]Outil proposé pour aider à la rédaction → Projet:Communes de France/Outils/Politique/Découpage territorial
Commune et intercommunalités
[modifier | modifier le code]Indiquer un historique de la création de la commune et de l'évolution de son territoire ainsi que de son rattachement à une ou des intercommunalités.
Circonscriptions administratives
[modifier | modifier le code]Indiquer les circonscriptions administratives de droit commun [Note 2] dont dépend la commune : la circonscription régionale (également territoire de compétence du conseil régional), la circonscription départementale (également territoire de compétence du conseil départemental) et l’arrondissement, siège de la sous-préfecture. Les autres circonscriptions administratives (éducation, justice, gendarmerie, défense, etc) seront mentionnées dans les sous-sections thématiques correspondantes.
Sources : Métadonnées de la commune pour les circonscriptions et Cassini (EHESS) pour leur histoire.
Cartes : une carte de la localisation de la commune dans l'arrondissement pourra compléter la sous-section.
Circonscriptions électorales
[modifier | modifier le code]Indiquer les circonscriptions électorales suivantes : législative et départementale (canton). On pourra mentionner l'historique de la circonscription législative (avant et après le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010) et du canton (avant la réforme territoriale de 2014 et après).
Élections municipales et communautaires
[modifier | modifier le code]Élections les plus récentes
[modifier | modifier le code]Les informations minimales à mentionner sont les suivantes (outre la date) :
Population de la commune | Type d'élection | Informations à afficher | Exemple (1 tour) |
Exemple (2 tours) |
---|---|---|---|---|
moins de 1000 habitants | scrutins majoritaires | Le nombre de conseillers élus et le nom du maire. | Ambloy | Angé |
de 1 000 à 3 500 habitants | scrutins de liste, pas de nuance pour les listes | le taux de participation global, le nombre de conseillers municipaux élus par liste, le nombre de conseillers communautaires et le nom du maire élu par le conseil municipal. L'utilisation du modèle {{Table}} permet un affichage synthétique clair. | Traïnou | |
plus 3500 habitants | scrutins de liste, une nuance pour chaque liste | id ci-dessus + la nuance de chaque liste. | Ingré |
Les informations complémentaires suivantes pourront être mentionnées : le nom de chaque liste, le taux de participation par liste (pour les élections par liste), la qualité du maire, le nombre d’adjoints, les noms des commissions créées, les groupes constitués (pour les communes de plus de 100 000 habitants) ; les noms des différents conseillers ou adjoints municipaux ou communautaires ne seront pas mentionnés.
Forme :
- le rédacteur privilégiera une mise en forme textuelle ;
- la production de tableau ou d'encadrés est admise (y compris avec des représentations graphiques) dès lors qu’il n’y a pas de disproportion dans l’article ;
- en cas de disproportion, un article détaillé sera créé pour présenter les différents résultats par élection.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Pour la forme, on utilise des modèles spécifiques :
{{ÉluDébut |Titre= Liste des maires successifs|Charte=commune}} {{ÉluDonnées}} {{Élu|Début= 4 juillet 1969|Fin= 25 juin 1995|Identité=Paul Hochon |Parti= |Qualité= }} {{Élu|Début= 25 juin 1995|Fin= 18 mars 2001|Identité=Jean Bon |Parti= |Qualité= }} {{Élu|Début= 18 mars 2001|Fin= 9 mars 2008|Identité=Paul Martin |Parti= |Qualité= }} {{Élu actuel|Début= 9 mars 2008|Date à jour=30 avril 2014|Identité=Pierre Petit |Parti= |Qualité= }} {{ÉluFin}}
Ce qui donne :
- dans l'Infobox, le champ « mandat maire = année1-année2 » est obligatoirement rempli de la façon suivante :
- soit le maire a été élu lors de la première réunion du conseil municipal qui a suivi les élections de . On indique alors 2014, avec lien vers l’article national :
[[Élections municipales françaises de 2014|2014]]
ou celui du département ; le champ « année2 » a la valeur 2020 (sans lien wiki), date prévue des prochaines élections, date normale de fin de mandat ; - soit le maire est élu dans l’intervalle (après décès, démission, révocation) : « année1 » est l’année (sans lien wiki) d’élection du maire par le conseil municipal ; le champ « année2 » a la même valeur que dans le cas 1 et ne change pas.
- soit le maire a été élu lors de la première réunion du conseil municipal qui a suivi les élections de . On indique alors 2014, avec lien vers l’article national :
- dans la liste des maires, le champ « Période » ne correspond pas nécessairement à une période de mandat. On indique le nom du maire actuel en utilisant la syntaxe suivante :
{{Élu actuel|Début= DATE |Date à jour= |Identité= Jean Bon |Parti= XXX |Qualité= YYY }}
où DATE est la date de la première élection de ce maire depuis qu'il est en poste.
Exemple :
signifie que Jean Aymard a succédé en à Jean Bon qui était en poste depuis .
Exemple :
signifie que Paul Hochon a été maire de à puis de à , et que le le maire était Jean Aymard, élu en .
Le champ « Qualité » permet d'indiquer la profession/fonction du maire au moment de son élection et durant son/(ses) mandat(s).
On fera attention :
- à ce que cette liste soit une « Liste des maires successifs » comme le titre l'indique ; il faut ainsi placer les maires dans l'ordre de succession (donc en commençant par le plus ancien) ;
- à ce que cette liste soit une liste de maires, et non pas de mandatures : lorsqu'un maire a fait plusieurs mandatures successives, on indique la date du début de la première et la date de fin de la dernière ;
- à placer le commentaire
{{ÉluDonnées}}
en tête de liste si les informations manquantes sont les plus anciennes (ce commentaire peut ainsi inciter le lecteur à compléter la liste) ; - si on indique avec précision une date (en précisant le jour et le mois), à ne pas indiquer la date de l'élection municipale mais la date à laquelle le nouveau conseil municipal s'est réuni pour son installation et pour élire le maire (c'est-à-dire généralement entre le jeudi et le dimanche qui suivent l'élection des conseillers municipaux) ;
- à ne pas mettre les noms entièrement en majuscules : on met la première lettre seulement en majuscules pour le prénom puis le nom (comme son nom l'indique le « pré »nom se place toujours avant le nom) ;
- à remplir le champ identité avec le prénom puis le nom à l'exclusion de tout titre de courtoisie, de profession, de grade militaire, etc.
- à ne pas mettre de majuscules aux noms des mois : on écrit « Début=mars 2008 » et non pas « Début=Mars 2008 » ;
- à faire précéder, dans la liste comme dans l'infobox, le nom d'une femme maire dont le prénom peut être compris comme masculin ou comme féminin de
{{Mme}}
, ce qui se traduit par Mme ; - à ce que la longueur de cette liste des maires soit cohérente avec la taille de l'article : on créera un article dédié si nécessaire (cf. par exemple la liste des maires de Périgueux). Ceci est conforme à la recommandation WP:SC : « Une telle méthode est acceptable et encouragée comme moyen de rendre les articles plus lisibles et faciles à gérer par les contributeurs. »
Autres élections
[modifier | modifier le code]Il ne s'agit pas de faire une liste exhaustive de résultats électoraux mais de sélectionner ceux qui sont directement liés à la commune, permettant de dégager une tendance. L'utilisation de tableaux parce qu'ils sont le plus souvent inclus dans une boîte déroulante doit être écartée.
Le ministère de l'intérieur publie sur son site web les résultats des différentes élections et référendums pour toutes les communes. Outre les résultats des élections municipales, informations spécifiques de la commune, on peut ajouter — à titre d'information — les résultats des élections présidentielles. Les résultats des autres élections peuvent également être ajoutés mais seulement s'ils apportent une information utile au lecteur (c'est le cas par exemple des élections départementales lorsque la commune correspond exactement au contour d'un canton, ou qu'elle est divisée en plusieurs cantons). On peut utiliser à cette intention le modèle {{Résultats élections communes françaises}}.
Instances de démocratie participative
[modifier | modifier le code]On évoque ici les comités de quartiers, conseils municipaux des jeunes ou des aînés, budget participatif, explicitement datés et référencés par des sources secondaires… Selon l'importance de la commune (et du sujet), cette sous-section pourra sans difficulté être fusionnée dans « Administration municipale »
Finances communales
[modifier | modifier le code]Ce qui est souhaitable :
- des éléments de budget, éventuellement mis en perspective chronologique et présentés correctement (ces données peuvent en effet être variables d’une année sur l’autre) ;
- des éléments d’analyse financière, à condition qu’ils soient référencés par des sources secondaires.
Ce qu’il faut éviter :
- des éléments de budgets partiels ou erronés ;
- le choix de tel ou tel ratio d’analyse financière, sorti du contexte des autres ratios et de celui de la commune et sans source secondaire.
Un exemple : Ploërmel
Commentaires
[modifier | modifier le code]Sur les budgets
S’il y a une section où il faut être précis, c’est bien celui des finances locales. Donc :
- préciser qu’on parle du budget principal, car il y a souvent des budgets annexes ;
- détailler fonctionnement et investissement ;
- préciser si on parle de budget primitif (équilibré) ou de compte administratif ;
- si on fait une série chronologique, privilégier les chiffres du budget et pas celui du ratio budgétaire à la population ;
- éviter les séries anté-chronologiques.
Sur les ratios d’analyse financière
Attention, sujet hautement sensible. Pour y comprendre quelque chose, il y de nombreux docs sur le web, en voici deux relativement simples : ce doc, publié par l’INET et cette fiche faite par la DDTM du Finistère.
En synthèse, il y a 15 ratios d’analyse financière :
- les ratios obligatoires de niveau (6) : les dépenses par habitant, les recettes par habitant, le produit fiscal par habitant, l’enveloppe de dotation globale de fonctionnement par habitant, l’effort d’équipement par habitant, la dette par habitant ;
- les ratios de solvabilité budgétaire (4) : taux d’épargne brute, potentiel fiscal, taux d’endettement, capacité de désendettement
- les ratios de marge de manœuvre (3) : marge d’autofinancement courant, coefficient de mobilisation du potentiel fiscal par habitant, taux d’incompressibilité des dépenses ;
- les autres ratios (2) : le coefficient d’intégration fiscale, l’indice d’autonomie financière.
Souvent utilisés dans les classements pour comparer les collectivités entre elles, trois ratios méritent d’être mentionnés, obligatoires pour toute commune de plus de 3 500 habitants :
- le produit des impositions directes / population ;
- les recettes réelles de fonctionnement / population ;
- le montant de DGF / population
Mais, comme expliqué dans les docs mentionnés, les ratios utilisant la variable de la population sont à manier avec une grande prudence. En tout état de cause, présenter un graphique sur la capacité d’autofinancement, sorti de tout contexte, n’est pas admissible.
Sur le traitement automatique
Dès lors qu’on a des données chiffrées, on peut être tenté de mettre en place un traitement automatique. Cela se fait assez facilement, soit par récupération à la volée des données sur le site Alizé2 (relativement difficile depuis qu’ils sont passés en .ph), soit à partir directement des bases de données mise en ligne (voir ici). Un essai a été fait entre 2012 et 2015 (voir le projet de Thierry46, mais du fait des observations ci-dessus, ce projet n'a pas pu aboutir, sauf à le restreindre aux notions de budget.
Jumelages
[modifier | modifier le code]Se référer au site de la Commission nationale de la coopération décentralisée (CNCD) du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères.
Procédure :
- aller à la page https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/login.html (et créer son compte la première fois) ;
- suivre le chemin Accueil >Atlas >Recherche avancée Atlas français
- dans la grille de saisie, taper le nom de la commune dans le champ « Collectivité territoriale française » ;
- cliquer en bas sur le bouton « Rechercher » ;
- les résultats arrivent rapidement. Pour info : un export xls est proposé.
On pourra utiliser le modèle {{Jumelage}} de la façon suivante :
Au 11 janvier 2021, Antony est [[Jumelage|jumelée]] avec<ref> {{Lien web |url=https://pastel.diplomatie.gouv.fr/cncdext/dyn/public/atlas/rechercheAtlasFrancaisEcran.html |titre= Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures |site= le site du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères |consulté le= 11 janvier 2021 }}.</ref> : * {{jumelage|Arrondissement de Reinickendorf|Allemagne|année= 1966}} ; * {{jumelage|Lexington (Massachusetts)|États-Unis|ville=Lexington|année= 1990}}.
ce qui donne :
Au 8 février 2012, Antony est jumelée avec[5] :
- Arrondissement de Reinickendorf (Allemagne) depuis 1966 ;
- Lexington (États-Unis) depuis 1990.
Attention, le Modèle:Jumelage est « prévu pour être utilisé dans des listes (et non dans des phrases). »
L'atlas du ministère des affaires étrangères n'étant pas toujours à jour, il peut être judicieux de le comparer avec les informations émises par les mairies. On peut même signaler aux mairies les différences d'information, action qui en général aboutit à une mise à jour de l'Atlas.
Équipements et services publics
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Descriptif de l'action publique et des services offerts aux habitants de la commune. |
La définition de service public est donnée succinctement dans l'article Organisation territoriale de la France : en France, le service public désigne, d’une part, « une activité d’intérêt général effectuée sous le contrôle de la puissance publique par un organisme public ou privé », et d’autre part, « l’entité publique gérant cette activité ». Il se fonde sur les trois principes suivants : continuité, adaptabilité, égalité. |
Eau et déchets
[modifier | modifier le code]L'eau (production, traitement, distribution) et l’assainissement (traitement évacuation) sont des services, à savoir des activités dont l'objectif est de satisfaire un besoin d'intérêt général, qui font l'objet de compétences obligatoires définies par la loi et ne sont donc pas des politiques spécifiques de la commune.
En introduction de cette section, préciser si la commune est engagée dans un Agenda21, puis préciser les services : production et distribution d'eau potable / assainissement des eaux / gestion des déchets - Pour chaque thématique, préciser si possible la maîtrise d'ouvrage (commune, syndicat ou intercommunalité) et le mode d'exploitation (régie, affermage ou concession).
Prélèvements en eau et usages
[modifier | modifier le code]Source : la Banque nationale des prélèvements en eau (BNPE)
exemple pour Mardié (Loiret). On constate ainsi qu'en 2017, 403 416 m³ d'eau ont été prélevés sur le territoire de la commune, d'origine à 100 % souterraine, destinée à 53 % à l'alimentation en eau potable et 47 % pour l'irrigation des cultures. - pour une autre commune, remplacer le code insee dans l'url https://bnpe.eaufrance.fr/acces-donnees/codeCommune/45194/annee/2017
Services en production et distribution d'eau potable, assainissement collectif, assainissement non collectif
[modifier | modifier le code]Source = Observatoire national des services d'eau et d'assainissement
exemple pour Mardié (Loiret). On constate ainsi que Orléans Métropole est compétente en matière de gestion de l'eau potable de la commune et a délégué la gestion au SIAEP VALS DE LOIRE. Orléans Métropole gère également l'assainissement collectif et l'assainissement non collectif. - pour une autre commune, remplacer le code insee dans l'url https://www.services.eaufrance.fr/donnees/commune/45194/2018
Tarifs de l'eau
[modifier | modifier le code]Source = Observatoire national des services d'eau et d'assainissement - cf ci-dessus.
Gestion des déchets
[modifier | modifier le code]Source : base Sinoé (descriptif). En entrant dans la fenêtre de recherche le nom de la commune (et le code postal), on accède aux informations suivantes :
- EPCI auxquels la commune adhère ;
- déchèteries les plus proches ;
- installations de traitement situées à proximité de la commune.
Exemple de traitement
[modifier | modifier le code]Ce qui donne in fine pour la commune de Mardié la section Mardié#Gestion de l'eau.
Pour un traitement plus automatique, l'ensemble des données peut être téléchargé ici
Espaces publics
[modifier | modifier le code]Couvre la voirie, les parcs et jardins, les plages publiques. Pour chaque thématique, préciser si possible la maîtrise d'ouvrage (commune, syndicat ou intercommunalité) et le mode d'exploitation (régie, affermage ou concession). Concernant les grandes agglomérations, certains espaces publics sont qualifiés d'intérêt communautaire. Préciser lesquels (info dans les statuts de la CA) et leurs modes d'exploitation respectifs.
Les labels et classifications officiels tels que Villes et Pays d'art et d'histoire, Village étape, Commune touristique, Tourisme et Handicap, Jardin remarquable pourront être mentionnés
Les pseudo-labels non officiels tels que Station verte, Le Pavillon Bleu, Village Patrimoine, Petites Cités de Caractère de France, Les Plus Beaux Villages de France, les Plus Beaux Détours de France, Ville et Métiers d'Art, Concours des villes et villages fleuris, France station nautique… pourront être mentionnés ici si cela apparaît nécessaire.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Primaire / secondaire / supérieur / recherche - Même si aucun établissement n'est sur la commune, préciser les établissements de rattachement (pour cela, il faut se procurer la carte de la sectorisation
Les listes d'établissements scolaires du 1er et du 2d degrés sont disponibles sur les sites des inspections académiques des départements. On pourra également se référer à l'annuaire national tenu à jour par le ministère de l'Éducation nationale.
Ne pas oublier les établissements accueillant des handicapés (exemple : Carte des établissements accueillant des élèves handicapés pour le Loiret).
Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Indiquer la présence ou non d'une poste ou d'une agence postale (et les éventuelles perspectives), l'état de la commune en matière de haut-débit, de téléphonie, etc. L'Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep) dispose de cartes de déploiement de la fibre et de la 4G/5G.
L'adhésion à l'association Ville Internet pourra être mentionnée ici si cela apparaît nécessaire.
Santé
[modifier | modifier le code]La définition générale ci-dessus du terme « service public » (service assuré dans l’intérêt général) permet de comprendre que l’ensemble des informations relatives à la santé entrent dans cette sous-section, que les praticiens soient sous le régime libéral, en individuel ou en association, ou du régime public sous statut ; que ce soit la médecine générale ou spécialisée, pour les personnes âgées ou handicapées.
On peut indiquer l'hôpital le plus proche (voir annuaire de la FHF), la présence de professionnels de santé, d'une pharmacie… On pourra trouver des informations sur le site de la commune.
État de la démographie médicale dans le secteur de la commune. On pourra ajouter un volet concernant les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD - voir annuaire de la CNSA) ou handicapées (type maison d'accueil spécialisée) situées dans la commune, ou à proximité pour les communes rurales.
Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Organisation des institutions dont dépend la commune. Pour "secours" et "défense" ne donner des informations que si un équipement est dans la commune (CIS, CS ou caserne)
Justice
[modifier | modifier le code]Contenu : Différencier l'ordre judiciaire et l'ordre administratif ainsi que les niveaux d'instruction : 1er degré (instance) et 2ème degré (appel)
Sources : annuaires ou cartes publiés par le ministère de la Justice : liste des juridictions - carte judiciaire - carte judiciaire
Exemple : Doulaincourt-Saucourt
Bot : texte automatisable
Sécurité
[modifier | modifier le code]Contenu et Sources : Utiliser ce tableau de compétence territoriale gendarmerie et police nationales, pour définir la brigade de proximité (= brigade de gendarmerie) ou le commissariat dont dépend la commune.
Gendarmeries |
Pour les communes qui disposent d'une gendarmerie sur leur territoire, on pourra compléter avec l'adresse (nom de la rue de la gendarmerie) et le territoire de compétence de la brigade de proximité (liste des communes). Pour les communes qui ne disposent pas d'une gendarmerie sur leur territoire, la brigade dont dépend la commune sera indiquée ainsi que son territoire de compétence. On pourra compléter par le groupement de gendarmerie (au niveau de l'arrondissement). Noter qu'en ce qui concerne les brigades de proximité, elles sont soit autonomes, soit regroupées en communautés de brigades. Pour ajouter ce type d'information, il convient de trouver une source présentant l'organisation départementale. |
Police |
Pour les grandes villes, il y a un commissariat central et des commissariat de secteurs. Pour du détail, il conviendra donc de regarder le site de la DDSP. |
Illustrations : Photos de la gendarmerie (s'il y en a une dans la commune)
Bot : possibilité de réaliser un bot :
- d'aide à la rédaction automatique de la phrase descriptive (hormis pour les villes disposant de plusieurs commissariats (où il faut compléter par une recherche manuelle) ;
- de rédaction automatique de la section sur l'ensemble des communes d'un département.
Secours
[modifier | modifier le code]L'annuaire du service départemental d'incendie et de secours (SDIS) permet de connaitre les centres de secours principaux (CSP), les centres d'intervention et de secours (CIS) ou les centres de secours (CS) du département et s'il y en a un dans la commune.
Source : https://www.pompiercenter.com/annuaire-sdis/sdis-28-groupement-territoriaux.htm pour le 28 (soit ceci) - Remplacer 28 par le numéro du département pour avoir la bonne url.
Illustrations : Photos du centre (s'il y en a un dans la commune).
Bot : Non
Défense
[modifier | modifier le code]Population et société
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Descriptif des éléments caractérisant la population et des différentes actions menées à l'initiative de cette population (clubs, associations, etc). |
Démographie
[modifier | modifier le code]L'Infobox contient généralement le nom des habitants dans le champ « gentilé ».
De façon à référencer la source de cette information, on pourra ici donner les explications correspondantes : références de la source, explications sur l'origine de cette appellation, etc. Pour cela, on peut alors écrire la phrase-type suivante (exemple pour Paris)[Note 3] : Les habitants de la commune sont appelés les ''Parisiens''. ou — si l'on désire faire un hyperlien vers le mot gentilé — Les habitants de la commune [[gentilé|sont appelés]] les ''Parisiens''. ; dans ce dernier cas, on veillera à ne pas faire l'hyperlien avec le mot « habitants » mais avec les mots « sont appelés », puisque l'hyperlien conduit non pas à une explication relative aux « habitants » mais à une explication relative à la façon dont ils « sont appelés ». L'écriture « les habitants » correspond au genre neutre qui est suffisant dans la très grande majorité des cas. Ainsi, il est inutile d'écrire « Les habitants s'appellent les Parisiens et les habitantes s'appellent les Parisiennes » : cette formulation ne sera utilisée que dans les cas où le mot au genre neutre ne permet pas d'en déduire le mot au genre féminin.
Le site commercial habitants.fr en fournit un certain nombre. Attention toutefois car il s’agit d’un site commercial alimenté par les internautes, qui ne sont pas tenus d’indiquer leurs sources d'information. On prendra soin d'indiquer la référence de cette source si on recopie des informations issues de ce site. Le trésor des régions, site tenu par le géographe Roger Brunet, en fournit un certain nombre.
Données officielles publiées par l'Insee
[modifier | modifier le code]Les différentes données de population sont publiées par l'Insee (Références au site de l'Insee). Des études publiées par l'Ined peuvent venir enrichir le texte.
Comment mettre à jour l'article ?
[modifier | modifier le code]Le système d'information territorial du projet Communes de France a pour vocation à automatiser l'affichage dans les articles des différentes divisions françaises (communes, cantons, intercommunalités, arrondissements, départements, régions) de données les caractérisant. Il permet d'avoir des informations à jour à une date donnée et d'éviter des actualisations manuelles fastidieuses et en tout état de cause sources elles-mêmes d'erreurs. Ainsi si avant 2012 les actualisations de populations étaient faites à la main, depuis cette date elles sont automatisées. Ce système ne concerne que les tableaux de populations, les graphiques et certaines phrases introductrices.
Le texte des articles des communes (ou autres divisions de France) peut être enrichi d'autres informations issues d'analyses thématiques publiées par l'Insee, l'Ined ou la presse locale.
Cas des nouvelles communes
[modifier | modifier le code]Ce texte est valable à la fois pour une nouvelle commune qui prend le statut administratif de commune nouvelle née à partir de la fusion de communes qui prennent le statut administratif de commune déléguée que dans les autres cas de nouvelle commune. Deux cas :
- la nouvelle commune porte un nom différent des communes la composant : un module démographique spécifique est créé pour la nouvelle commune ;
- la nouvelle commune porte un nom identique à celui d'une des communes la composant : par principe de moindre surprise, l'article de la commune fusionnée est maintenu et devient celui de la nouvelle commune. L'information est précisée dans le RI. Dans la sous-section « Démographie », deux sous-sous-sections sont alors créées : avant (commune historique) et après la fusion (nouvelle commune). Exemple avec la commune de Ploërmel.
Cas des données antérieures à 1793
[modifier | modifier le code]Pour les données antérieures à 1793, les populations étaient généralement exprimées en feux ; ces données peuvent être ajoutées en s’inspirant de ce qui a été fait pour la commune de Pouancé, considérée en 2012 comme un bon exemple.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Sports : Descriptif des équipements publics (en mentionnant les maîtres d'ouvrages : commune/interco/département/Etat) puis vie sportive par discipline.
Loisirs : Pourront être mentionnés ici les sentiers de randonnées (PR, GR, du PDIPR ou pas) (alors qu'ils sont souvent dans voies de communication), les centres de loisirs, les activités diverses de loisirs de plein air (nautisme, parachutisme, rafting, etc).
Le site IGNRando pourra indiquer des circuits de randonnées sur ou aux abords de la commune (ex : https://ignrando.fr/fr/randonnee-avezac-prat-lahitte/ ).
Pour les communes rurales, ajouter pêche et chasse.
Vie associative
[modifier | modifier le code]Descriptif du « non sportif » et « non cultuel ».
Cultes
[modifier | modifier le code]Pour rédiger ce chapitre, on trouve des informations sur les lieux de culte :
- catholique dans les sites des diocèses (tous les diocèses ont un article WP) ;
- israélite sur le site du consistoire central : Consistoire ;
- musulman sur le guide musulman ;
- protestant sur le site de l'Église réformée de France.
Médias
[modifier | modifier le code]On cite les médias qui relatent les informations de la commune : presse régionale, chaîne de télévision et radio locales, etc.
Économie
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Descriptif des acteurs économiques locaux et des principaux indicateurs caractérisant la commune et sa population. |
Entreprises et commerces : on pourra segmenter en secteurs primaire/secondaire/tertiaire ou selon la terminologie de l'Insee : Agriculture/industrie /construction/commerces/Services
Agriculture : Préciser la petite région agricole dont fait partie la commune (les données à l'échelle communale sont ici), les types d'exploitations agricoles (végétales/culturales/animales; les données dans le PLU ou le diagnostic agricole quand il existe) et les aires d'appellation AOC, IGP, Label rouge (les données sont délivrées par l'INAO (lien data.gouv.fr))
Tourisme : Le classement en commune touristique peut être intéressant (généralités, communes touristiques, stations) - Noter au passage que Liste des communes touristiques en France est obsolète puisque le dernier classement date de 2017 ! Attention cependant : les arrêtés indiquant qu'une commune est touristique sont valables seulement 5 ans. Les capacités hôtelières, des campings et hébergements collectifs sont disponibles dans le dossier complet communal de l'INSEE (Tourisme en 2020).
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Revenu fiscal médian
[modifier | modifier le code]Une phrase simple comme dans Monts ou Lescar. Sources :
- Revenus et pauvreté des ménages en 2016 - Dispositif Fichier localisé social et fiscal (Filosofi) : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4190004
- Répartition des ménages, leurs revenus et niveaux de vie moyen et médian en 2017 - Enquête Revenus fiscaux et sociaux (ERFS) - Insee Résultats : https://www.insee.fr/fr/statistiques/4261081?sommaire=4261132
Comparatif d'indicateurs
[modifier | modifier le code]Un tableau comparatif commune/département peut être fait à l'instar de l'article sur Ploërmel. Sources :
- Commune : https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=COM-56165#chiffre-cle-12 (pour toute autre commune, remplacer 56165 par le code Insee de la commune)
- Département : https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=DEP-56#chiffre-cle-12 (pour tout autre département, remplacer 56 par le code Insee du département)
Ruralité
[modifier | modifier le code]- Zone de revitalisation rurale : Pour savoir si la commune est en zone de revitalisation rurale, récupérer le fichier à cette adresse : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/zones-de-revitalisation-rurale-zrr/
- Contrats de ruralité : Le bilan des 487 contrats de ruralités (définition) signés sur la période 2016-2020 peut être lu ici
- Pôle d'excellence rurale : la commune peut être concernée par un projet relevant d'un PER (définition).
Emploi
[modifier | modifier le code]Les informations fournies par l'Insee peuvent être rédigées de la façon suivante :
En 2009, la population âgée de 15 à {{nb|64 ans}} s'élevait à {{nb|17056 personnes}}, parmi lesquelles on comptait 73,5 % d'actifs dont 68,0 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs<ref group="Insee">''EMP T1 - Population de {{nb|15 à 64 ans}} par type d'activité''.</ref>.
On comptait {{nb|6567 emplois}} dans la zone d'emploi, contre {{formatnum:6462}} en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de {{formatnum:11679}}, l'[[indicateur de concentration d'emploi]] est de 56,2 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu plus d'un emploi pour deux habitants actifs<ref group="Insee">''EMP T5 - Emploi et activité''.</ref>.
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Les informations fournies par l'Insee peuvent être résumées de la façon suivante :
Au {{date-|31 décembre 2010}}, Sucy-en-Brie comptait {{nb|1578 établissements}} : 7 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 58 dans l'industrie, 175 dans la construction, {{formatnum:1097}} dans le commerce-transports-services divers et 241 étaient relatifs au secteur administratif<ref group="Insee" name="CEN T1">''CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au {{date-|31 décembre 2010}}''.</ref>.
En 2011, {{nb|207 entreprises}} ont été créées à Sucy-en-Brie<ref group="Insee">''DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011''.</ref>, dont 133 par des [[autoentrepreneur]]s<ref group="Insee">''DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011''.</ref>.
Ce type de texte présente l'avantage d'être facilement actualisé, mais il donne une vision figée à une date donnée et non une évolution sur le dynamisme global de la commune ou de tel ou tel secteur d'activités.
Deux autres sources intéressantes :
- le site verif.com (ici pour Boulazac Isle Manoire) donne un classement des plus grosses entreprises selon leur chiffre d'affaires ;
- le site du Figaro économie (ici pour Boulazac Isle Manoire). On y voit l'évolution du nombre d'entreprises sur les 7 dernières années (ici 40 % ce qui est beaucoup), les secteurs d'activité les plus représentés, les créations et fermetures d'entreprises, les secteurs d'activité dans lesquels se créent ou se ferment le plus d'entreprises, les entreprises qui génèrent le plus de chiffre d'affaires, celles qui déclarent les plus gros résultats ou celles qui emploient le plus d'effectifs. Cela permet de voir immédiatement le dynamisme de la commune et les secteurs d'activités en progression. En tout cas, bien plus qu'un classement sec.
- la base de l'ACOSS (lien), base de données de l'URSSAF, où l'on trouve les effectifs salariés, la masse salariale et le nombre d'établissements du secteur privé par commune.
Selon les informations disponibles, on peut développer en utilisant les sous-sous-sections suivantes :
Secteur primaire ou Agriculture
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
Dans Géoportail, la couche Agriculture permet de distinguer les types de cultures dans une commune (afficher aussi les limites de communes), entre bois, vignes, céréales, prairies, vergers, ... La légende est accessible en cliquant sur le "i" de la couche dans "Ma sélection de données".
Secteur secondaire ou Industrie ou Artisanat et industrie
[modifier | modifier le code]Les entreprises de BTP se trouvent dans ce secteur, dans une petite commune il peut être plus adapté de préciser l’intitulé de la sous-section.
Secteur tertiaire ou activités de service
[modifier | modifier le code]Activités touristiques et hébergements associés (hôtels, campings, etc). L'ajout de l'information sur le classement de la commune peut être envisagé. Il y a deux types de classements :
- Commune touristique : label attribué par arrêté préfectoral pour 5 ans (1300 en janvier 2019) ;
- Station classée de tourisme, label attribué par décret pour 12 ans (400 en juin 2019).
Source : page dédiée du Ministère des Finances. Des exports par territoire peuvent être faits.
Activités de services (institutions hébergées par la communes, services de proximité, commerces, etc).
Culture locale et patrimoine
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Lieux, monuments, culture, traditions, personnalités. |
Lieux et monuments : on pourra segmenter en « Patrimoine civil/religieux » ou bien en « sites archéologiques/ sites inscrits ou classés/ autres sites » ou un mix des deux. - pour les recherches archéologiques récentes, on pourra utiliser l'outil de l'Inrap
Patrimoine culturel : descriptif des équipements culturels sur la commune (en mentionnant les maîtres d'ouvrages) puis vie culturelle par domaine.
Gastronomie : préciser les spécialités gastronomiques locales (s'il y a lieu).
La commune dans les arts : notoriété de la ville dans les arts (littérature, cinéma, télévision, chansons, etc)
Personnalités liées à la commune : Se limiter à une vingtaine. Renvoyer dans un article détaillé si on dépasse. Préciser ce qui la relie à la commune (naissance/métier/action spécifique)
Héraldique : on regroupe les informations relatives au blason, au logotype, à la devise.
En introduction, il pourra être précisé si la commune a obtenu le label officiel Villes et Pays d'art et d'histoire, ou fait partie d'un pays labellisé. Les pseudo-labels non officiels tels que Village Patrimoine, Petites Cités de caractère de France, Les Plus Beaux Villages de France, les Plus Beaux Détours de France… pourront être mentionnés ici si cela apparaît nécessaire.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Dans cette sous-section, on pourra se référer aux 17 bases de données du ministère de la Culture, notamment les bases :
- base Joconde (catalogue collectif des collections des musées de France) ;
- base Mémoire (collections d'images du service des archives photographiques (SAP), des services régionaux de l'Inventaire (IVR), des conservations régionales des monuments historiques (CRMH), des services régionaux de l'archéologie (ARCHEO), des services départementaux de l'architecture et du patrimoine (SDAP) ;
- base Mérimée (patrimoine architectural) ;
- base Palissy (patrimoine mobilier), dont la base des objets volés
Pour cela on utilise les modèles définis à cette attention : par exemple
- {{Base Joconde}} : <ref>{{Base Joconde|07840001197|Cardinal de Richelieu (Paris, 1585 - 1642)}}</ref>, ce qui donne :
- « Cardinal de Richelieu (Paris, 1585 - 1642) », notice no 07840001197, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture
- {{Base Mémoire}} : <ref>{{Base Mémoire|AP1930T001987|L'écluse, canal Saint-Denis, Paris, 1977 ; [Inondation]}}</ref>, ce qui donne :
- « L'écluse, canal Saint-Denis, Paris, 1977 ; [Inondation] », notice no AP1930T001987, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture
- {{Base Mérimée}} : <ref>{{Base Mérimée|IA00008440|Chapelle de la-Trinité}}</ref>, ce qui donne :
- « Chapelle de la-Trinité », notice no IA00008440, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- {{Base Palissy}} : <ref>{{Base Palissy|IM56002850|Croix d'autel et 3 chandeliers}}</ref>, ce qui donne :
- « Croix d'autel et 3 chandeliers », notice no IM56002850, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
Pour indiquer tous les lieux, monuments et objets répertoriés, on peut utiliser le texte suivant :
Nanterre compte 2 monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[6] et 76 lieux et monuments répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[7]. Par ailleurs, elle compte 9 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[8] et 38 objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[9].
Le Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS) donne en accès libre ici ses publications de plus de trois ans. On y trouve les actes d'un colloque sur les fortifications, qui donnent un point de vue récent et renouvelé sur les fortifications.
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Cette sous-section, parfois nommée « Équipements culturels », développe ce qui fait le patrimoine culturel de la commune, notamment les liens avec les arts : littérature, musique, peinture, photo, danse, sculpture, tournages de films ou téléfilms…
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Dans cette sous-sous-section, on liste les personnalités liées à la commune dont la notoriété est reconnue par l'existence d'un article dans la fr.wikipédia. On peut toutefois exceptionnellement y ajouter des personnalités dont les articles n'ont pas encore été rédigés à la condition que leur notoriété soit établie par des références à des sources secondaires. On veillera à préciser le lien entre la personnalité et la commune.
Dans le cas où vous possédez des informations sur une personne dont l’action a un lien avec la commune, mais qui est peu connue, vous pouvez signaler cette action dans la partie la plus adaptée : Histoire, Économie, Arts, etc.
Lorsque la liste est longue (plus de 10 à 15 noms), on pourra créer un article détaillé, et ne conserver dans l'article principal que les personnalités les plus marquantes de la commune.
La syntaxe généralement utilisée est la suivante : prénom, nom, années de naissance et de mort, puis on reprend la première phrase de l'intro de l'article concerné, en précisant le lien avec la commune (avec éventuellement des informations complémentaires).
Par exemple (extrait de l'article labellisé BA, consacré à la commune de Saintes) :
- Fernand Chapsal (1862-1939), homme politique, maire de Saintes en 1919, puis sénateur et membre du gouvernement. Le jardin public et une rue de la ville perpétuent sa mémoire.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Dans ce chapitre, on utilisera le modèle {{Blason commune}}. On peut se référer à l'armorial du département.
Il s'agit bien du blason de la commune, pas de celui de la famille ou d'un individu marquant de cette commune.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Cette section est constituée systématiquement de quatre parties, par ordre de présentation :
- le Modèle:Autres projets qui contient les liens Internet vers des pages d'autres projets Wikimédia ;
- la sous-section Bibliographie ;
- la sous-section « Articles connexes » qui contient une liste de wikiliens vers des articles de l'encyclopédie fr.wikipédia ;
- la sous-section « Liens externes » qui contient des liens Internet vers des pages externes à l'encyclopédie fr.wikipédia, à l'exception des liens vers les autres projets Wikimédia.
Nota : l'appellation donnée à cette section n'est pas imposée : Le titre de cette section peut être « Voir aussi », ou « Pour approfondir », ou « Annexes », ou autre (cf. discussion ici).
Nota (voir la recommandation) : les titres « Notes et références », « Articles connexes » et « Liens externes » sont invariables et conservent le pluriel générique, même si la section n'est constituée que d'une ligne, voire même vide ; leurs contenus étant appelés à être rédigés dans le temps.
Le Modèle:Autres projets est placé au début de la section « Voir aussi », comme cela est indiqué dans la documentation et pratiqué sur l'ensemble des articles. Syntaxe :
{{Autres projets| commons= Category:NomCommune| wiktionary= NomCommune }}
Bibliographie
[modifier | modifier le code]Pour mettre en forme la bibliographie utiliser le modèle Ouvrage : {{ouvrage | prénom1 = Louis | nom1 = Trenard | directeur1 = Trenard | prénom2 = Michel | nom2 = Rouche | lien auteur2 = Michel Rouche | préface = [[Jacques Legendre]] | titre = Histoire de Cambrai| | collection = Histoire des villes du Nord / Pas-de-Calais | éditeur = Presses Universitaires de Lille | année = 1982 | année première édition = 1982 | tome = 2 | pages totales = 314 | format = 24cm | isbn = 2-85939-202-7 | issn = }} ce qui donne ceci :
- Louis Trenard (dir.) et Michel Rouche (préf. Jacques Legendre), Histoire de Cambrai, t. 2, Presses Universitaires de Lille, coll. « Histoire des villes du Nord / Pas-de-Calais », (1re éd. 1982), 314 p., 24cm (ISBN 2-85939-202-7[à vérifier : ISBN invalide])
Pour mettre en forme les références bibliographiques, si elles sont nombreuses, deux méthodes possibles:
- utiliser le modèle {{harvsp}}. Exemple faisant référence à l'ouvrage cité ci-dessus :
L’ancienne église n’ayant pas été totalement détruite, il était possible d’en réutiliser une partie pour assurer la continuité du culte<ref>{{harvsp|Trenard|Rouche|1982|p=78}}</ref>.
Ce qui donne : L’ancienne église n’ayant pas été totalement détruite, il était possible d’en réutiliser une partie pour assurer la continuité du culte[10].
- les séparer des autres références et les regrouper par titres (préférable en cas de références multiples au même ouvrage) en utilisant la syntaxe <ref group="Insee">p.123</ref>. Exemple faisant référence à l'ouvrage cité ci-dessus :
Si le porche avait été reconstruit dans la tradition carolingienne du Saint-Empire, les bâtisseurs se donnèrent davantage de liberté pour l’édification de la nef[Insee 1]. Du reste l’évêque Nicolas de Chièvres, contemporain et ami de l’abbé Suger, avait assisté à la consécration du chœur de l’abbaye de Saint-Denis en 1144[Insee 2] : il connaissait donc la nouvelle architecture.
- Louis Trenard (dir.) et Michel Rouche (préf. Jacques Legendre), Histoire de Cambrai, t. 2, Presses Universitaires de Lille, coll. « Histoire des villes du Nord / Pas-de-Calais », (1re éd. 1982), 314 p., 24cm (ISBN 2-85939-202-7[à vérifier : ISBN invalide])
Inclusion de sources audiovisuelles
[modifier | modifier le code]Le modèle ouvrage pourra ici aussi être utilisé ː
{{ouvrage |langue=fr |format={{vid}}, 26 min 44 s|url=https://www.inrap.fr/l-expansion-bantoue-nouvelles-syntheses-9710 |titre= L'expansion bantoue : nouvelles synthèses |auteur=Augustin Holl |éditeur=INRAP |nature ouvrage=Colloque Archéologie des migrations tenu les 12 et 13 novembre 2015 au Musée national de l’histoire de l’immigration |date=4 mars 2016 |partie=6 min. 30 s.}}
ce qui donne :
Augustin Holl, L'expansion bantoue : nouvelles synthèses (Colloque Archéologie des migrations tenu les 12 et 13 novembre 2015 au Musée national de l’histoire de l’immigration), INRAP, , [vidéo], 26 min 44 s (lire en ligne), 6 min. 30 s.
Articles connexes
[modifier | modifier le code]On fait ici une liste de wikiliens vers des articles de l'encyclopédie fr.wikipédia dont l'objet traité est connexe à la commune dans sa globalité.
Attention : un article connexe à un sujet évoqué dans l'article doit être indiqué dans la section où ce sujet est évoqué.
Cette liste est en général réduite au lien vers l'article nommé « Liste des communes de/du/des (suivi du nom du département) » car l'encyclopédie ne contient guère d'articles consacrés à une commune hors celui de la commune elle-même.
Liens externes
[modifier | modifier le code]Conformément à la recommandation relative aux liens externes, on notera que la fr.wikipédia n'est pas un annuaire de liens. Les pages web qui sont des sources d'informations doivent être référencées au sein de l'ensemble <ref>[…]</ref>
dans la section concernée : par exemple, le lien vers le site d'un club de football sera indiqué dans la sous-section « Sports » et non pas en bas d'article dans la sous-section « Liens externes ».
Sauf cas particulier, on se limite donc ici au lien vers le site de la commune, vers celui de l'office de tourisme municipal ou intercommunal s'il en existe un et à la mention des différentes bases (qui elles-mêmes renvoient vers des liens externes) :
* {{Autorité}} * {{Dictionnaires}} * {{Bases}} * [https://www… Site de la commune] * [https://www… Site de l'office de tourisme]
Pour le site municipal, on pourra utiliser les formulations suivantes : site de la commune ou site de la mairie, même si cette dernière est plus impropre, car la raison sociale du propriétaire du site n'est pas la mairie, mais la commune, en tant que personne morale. On évitera site officiel, même si de fait il s'agit du site officiel.
Mémoires d'écran
[modifier | modifier le code]En région Centre-Val-de-Loire, le site Les images d'archives en Centre-Val-de-Loire propose plus de 12 000 vidéos d'amateurs et d'archives tournées à partir des années1920. Elles peuvent servir à illustrer la vie des communes. Exemple avec Ouzouer-sur-Trézée. On pourra aussi utiliser le modèle {{Média externe}}.
Notes et références
[modifier | modifier le code]On utilise le modèle {{Références}} sans option particulière, c'est-à-dire en utilisant la valeur par défaut comme indiqué dans la documentation du modèle.
Le format de base est :
== Notes et références == === Notes === {{Références|groupe=Note}} === Références === {{Références}}
Lorsque l'on désire regrouper les références multiples d'une même source (Insee par exemple dans cet exemple), le format devient :
== Notes et références == === Notes === {{Références|groupe=Note}} === Références === ==== Insee ==== * Dossier relatif à la commune, {{lire en ligne|lien=https://www.insee.fr/fr/themes/dossier_complet.asp?codgeo=COM-30086}} {{Références|groupe="Insee"}} ==== Autres sources ==== {{Références}}
- C'est-à-dire les informations vraies à un instant donné mais qui ne le seront peut-être plus dans 10 ans : par exemple, une donnée chiffrée, un jumelage, le classement d'une équipe sportive.
- Une circonscription administrative est une division territoriale de la France dans laquelle un ou plusieurs services déconcentrés de l'État ont leur siège et sont compétents. Il existe trois circonscriptions administratives de droit commun : la région, le département et l'arrondissement.
- Le gentilé est ici en italique par autonymie conformément à la règle de typographie « Mots à faire ressortir du texte », page 121 du Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale, référence des règles de typographie utilisées dans la fr.wikipédia.
- p.432
- p.433
- Sandrine Campese, « Paris est beau ou Paris est belle ? Le genre des noms de villes », sur le site du Projet Voltaire, service en ligne de formation à l'orthographe, (consulté le ).
- « Zones ZNIEFF d'Aguessac » sur Géoportail (consulté le 28 novembre 2020)..
- « Sites Natura 2000 d'Aguessac » sur Géoportail (consulté le 28 novembre 2020)..
- « Fiche communale d'occupation des sols », sur le site de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme de l'Île-de-France, (consulté le ).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- « Liste des monuments historiques de la commune de Nanterre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Nanterre à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Nanterre », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune de Nanterre à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Trenard et Rouche 1982, p. 78