Aller au contenu

Jouques

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jouques
Jouques
Blason de Jouques
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Aix-en-Provence
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Eric Garcin
2020-2026
Code postal 13490
Code commune 13048
Démographie
Gentilé Jouquards
Population
municipale
4 404 hab. (2021 en évolution de +0,25 % par rapport à 2015)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 38′ 16″ nord, 5° 38′ 15″ est
Altitude 363 m
Min. 209 m
Max. 782 m
Superficie 80,35 km2
Type Petite ville
Unité urbaine Peyrolles-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trets
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Jouques
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Jouques
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Voir sur la carte topographique des Bouches-du-Rhône
Jouques
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Jouques
Liens
Site web https://www.jouques.fr/
Vue du village.

Jouques (en occitan Jocas) est une commune française située au nord-est du département des Bouches-du-Rhône et dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Jouquards.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire urbaine de Marseille-Aix-en-Provence située en Provence, à 20 km au nord-est d'Aix-en-Provence. Elle fait aussi partie de l'unité urbaine de Peyrolles-en-Provence.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]
Carte de la commune de Jouques et de ses proches communes.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 2,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Peyrolles en Provence », sur la commune de Peyrolles-en-Provence à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 595,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 44,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −14,1 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Statistiques 1991-2020 et records PEYROLLES EN PROVENCE (13) - alt : 217m, lat : 43°39'24"N, lon : 5°36'24"E
Records établis sur la période du 01-06-2005 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,5 0,2 2,9 6 9,3 12,9 15,2 14,5 11,9 8,8 4,5 0,7 7,3
Température moyenne (°C) 5,9 6,4 9,6 13 16,6 21 23,8 23 19,4 15,1 9,9 6 14,1
Température maximale moyenne (°C) 11,3 12,6 16,3 20,1 24 29 32,4 31,6 26,9 21,5 15,4 11,3 21
Record de froid (°C)
date du record
−10,1
17.01.17
−14,1
12.02.12
−7,7
13.03.06
−4,5
03.04.22
−1,2
06.05.19
1,5
01.06.06
6,8
15.07.16
5,6
31.08.10
1,7
27.09.20
−4,1
22.10.07
−8
17.11.07
−11
30.12.05
−14,1
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
20,1
10.01.15
23,3
27.02.19
26,1
30.03.12
29,2
10.04.11
34,3
23.05.07
44,4
28.06.19
38,9
31.07.18
41,5
23.08.23
35,5
04.09.23
32,3
08.10.23
23,8
14.11.23
21,6
30.12.21
44,4
2019
Précipitations (mm) 48,3 37,4 36,9 49 49,3 47,6 22,6 30,4 54,1 81 84,5 54,3 595,4
Source : « Fiche 13074003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
11,3
0,5
48,3
 
 
 
12,6
0,2
37,4
 
 
 
16,3
2,9
36,9
 
 
 
20,1
6
49
 
 
 
24
9,3
49,3
 
 
 
29
12,9
47,6
 
 
 
32,4
15,2
22,6
 
 
 
31,6
14,5
30,4
 
 
 
26,9
11,9
54,1
 
 
 
21,5
8,8
81
 
 
 
15,4
4,5
84,5
 
 
 
11,3
0,7
54,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Jouques est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Peyrolles-en-Provence, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (71,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,5 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,2 %), terres arables (5,8 %), zones urbanisées (4 %), cultures permanentes (2,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,2 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Les plus anciennes traces de présence humaine à Jouques remontent à 11 000 ans avant Jésus-Christ (époque Moustérienne). Véritable trésor archéologique, la grotte de l'Adaouste est située aux confins du lieu-dit de Bèdes. Nichée sur une falaise, elle domine la vallée de la Durance.

De 300 à 100 avant Jésus-Christ, le site accueille un oppidum gallo-romain encore dressé. Non loin des principaux vestiges se trouve la chapelle Notre-Dame-de-Consolation datant du XIIe siècle.

Au premier siècle, l'occupant romain met en chantier un aqueduc qui conduit l'eau de la source de Traconnade, située sur le territoire de la commune, jusqu'à Aix-en-Provence.

Au Moyen Âge, le bourg se construit sur la colline, blotti dans des remparts, protégé par le château d'If (ouvrage défensif aujourd'hui en ruines) et sous la protection de Notre-Dame-de-la-Roque.

Hors les murs, l'église Saint-Pierre (XIe – XIXe siècles), chapelle funéraire du XIe, agrandie au XVIe siècle, devient église paroissiale et cela jusqu'à nos jours.

Du XIIIe au XVIe siècle, la population migre vers le plateau du Piémont situé juste en dessous (le château des seigneurs de Jouques, construit et détruit durant cette période dans cette zone, n'existe plus).

À partir du XVIe siècle, le nouveau village prend forme, les seigneurs cédant bail (vente de terrains), les habitants construisent sur les flancs de la colline (partie dite médiévale) jusqu'au niveau du ruisseau le Riaou (ou Réal).

Le boulevard principal, appelé maintenant boulevard de la République, compte cinq fontaines sur son parcours orné de platanes : du début du village (fontaine du Moulin) jusqu'à la fin (fontaine du Saint-Esprit).

Au milieu du XIXe siècle le village s'agrandit et s'étend vers l'est : quartier des Maisons Neuves.

La fête du village est célébrée à la Saint-Baqui (le 2 octobre), un martyr d'origine syrienne dont le village a longtemps possédé les reliques.

En 2015, la commune est fermée pour cause de travaux.

Après la fin de la guerre d'Algérie, un hameau de forestage est installé en 1963, au lieu-dit le Logis d'Anne, à 8 km de Jouques, faisant partie intégrante de la commune et destiné à d'anciens harkis et leurs familles. Ce camp a existé jusqu'en 1995, avant d'être laissé à l'abandon[14].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Mairie de Jouques.

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 était de 4 413[15], le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt sept[16],[17]

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1920 mai 1925 Jean-Marie Lacombe[18] SFIO  
Les données manquantes sont à compléter.
1928 1935 Michel Latil[19] SFIO Agriculteur
Conseiller général du canton de Peyrolles-en-Provence (1928 → 1940)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 2001 Georges Honnorat    
mars 2001 2020 Guy Albert PS Retraité de la fonction publique
Vice-président du conseil de territoire du Pays d'Aix (2016 → )
juin 2020 En cours Éric Garcin SE Producteur d'huile d'olive
Les données manquantes sont à compléter.
L'imposition des ménages et des entreprises à Jouques en 2009[20]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 10,69 % 0,00 % 9,19 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 13,20 % 0,00 % 10,85 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 30,83 % 0,00 % 9,80 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 19,00 % 7,08 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[21]).

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 4 404 habitants[Note 4], en évolution de +0,25 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7001 5861 5421 7891 8321 8341 7751 8041 827
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7161 6841 6051 4931 5021 5041 5081 5061 301
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3441 2181 1301 0811 0221 0279341 0031 004
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 8312 0472 0962 2383 0623 2623 9254 0894 267
2018 2021 - - - - - - -
4 4234 404-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

Raid de Jouques, fin mai tous les ans.

La fête de la Musique le tous les ans.

Repas républicain le tous les ans.

La fête de la Saint-Baqui le 1er dimanche d'octobre.

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'abbaye Notre-Dame-de-Fidélité.
L'église Saint-Pierre près du cimetière.
Vestige d'une des anciennes portes d'entrée du village, près de la Tour de l'Horloge.
Le pont de Mirabeau et le défilé de Canteperdrix.
  • La chapelle Notre-Dame-de-Consolation.
  • L'église Saint-Pierre est classée aux Monuments historiques.
  • Le Musée rural d’histoire locale[27].
  • La fontaine Saint-Esprit.
  • Le moulin Saint-Vincent, moulin d'huile d'olive et distillerie de lavandin[28].
  • Le pont de Mirabeau est inscrit aux Monuments historiques, traversant le défilé de Canteperdrix.
  • Le plateau de Bèdes. Des arbres sont sculptés en bordure de la D 11, qui relie Jouques à la Durance[29].
  • Le circuit du Grand Sambuc.
  • Le massif du Concors, point culminant de la commune.
  • L'ancien canal du Verdon.
  • Les vestiges du château des d'Arbaud-Jouques, château resté inachevé dont il subsiste les aménagements des terrasses.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Armes de Jouques

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

De gueules à un coq d'or à dextre et une poule d'argent à senestre affrontés sur une terrasse de sinople et un chef d'or, chargé du mot JOUQUES en caractères de sable.

Une centrale hydroélectrique utilisant les eaux de la Durance (via le barrage de Cadarache) est implantée sur la commune depuis 1959[30].

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Cabanes en pierre sèche

[modifier | modifier le code]

Les cabanes en pierre sèche de la commune ont fait l'objet d'un recensement et d'une étude de 2000 à 2003. Éparpillées sur une bonne partie du territoire, elles renvoient au passé agricole de la commune. Situées en bordure d'anciens champs ou de terrasses, elles servaient de remise à outils, d'entrepôt des récoltes et d’abri pour l’homme, lors des semailles et des moissons. Certaines d’entre elles sont assez grandes pour abriter un mulet, comme l’atteste la présence, à l’intérieur, d’une pierre trouée ou d'un anneau en fer encastré dans la paroi pour attacher l'animal, voire d’une auge en pierre pour le faire boire. Sur la centaine de cabanes recensées, 43 sont de plan circulaire, 50 de plan plus ou moins carré et 7 autres de plans divers. Les voûtes sont construites soit en encorbellement, soit par clavage. De nombreuses toitures sont pourvues d’un tapis végétal souvent planté d’iris qui fleurissent aux mois d’avril et mai, parfois de simples graminées sauvages. Les nombreuses dates gravées semblent toutes corroborer le fait que les cabanes ont été construites au XIXe siècle[31].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Jouques et Peyrolles-en-Provence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Peyrolles en Provence », sur la commune de Peyrolles-en-Provence - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Peyrolles en Provence », sur la commune de Peyrolles-en-Provence - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Peyrolles-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. 2023-09-23 : 45 nouveaux sites ouvrent droits à réparation à la suite du décret n° 2023-890 (mis à jour le 2 octobre 2023).
  15. « Insee − Institut national de la statistique et des études économiques | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  16. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
  17. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  18. Notice LACOMBE Jean-Marie, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
  19. Notice LATIL Michel (LATIL Basile, Michel) par Antoine Olivesi, version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
  20. « Impôts locaux à Jouques », taxes.com.
  21. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Les Chapelles », sur Ville de Jouques (consulté le ).
  27. « Musée rural », Jouques (consulté le ).
  28. « Le Moulin Saint-Vincent », Jouques (consulté le ).
  29. Grand Site Sainte Victoire, « Route et plateau de Bèdes - Sites naturels - Carte interactive - Grand Site Sainte-Victoire », sur grandsitesaintevictoire.com (consulté le ).
  30. Jean-Paul Clébert et Jean-Pierre Rouyer, La Durance, Privat, Toulouse, 1991, dans la collection Rivières et vallées de France, (ISBN 2-7089-9503-0), p 152
  31. Jean Laffitte, Les cabanes en pierre sèche de Jouques (Bouches-du-Rhône), sur le site pierreseche.com, 24 décembre 2007.

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]