Industrial History

The 18th century water-powered ironworks at Agoreggi, in the Basque country, was reconstructed based on contemporary historical records and archaeological investigations. In 1994-1999 three campaigns of experiments were carried out with the aim of reproducing the scale and technology of the iron production. This paper is a fully illustrated description of the experiments and, in particular, of the practical problems of the air delivery system and the use of the copper tobera (tuyere). In 1999 six agoas (blooms) were made of varying quality and size, the largest being a 30kg ferritic agoa smelted from 140kg of ore, but this is only about half the scale of the 18th century production.
It subsequently transpired that the mouth of the tobera used for the experiments should have been 170% larger, thus allowing more air to be blown into the furnace, and the making of agoas closer to the 18th century size. See Crew 2013, 'Twenty five years of bloomery experiments...', pages [46-48], for an overview of the experiments and a brief discussion of the tobera problem.

The article argues that moder-nity cannot be analyzed as one single entity. Some theorists and historians reduce modernity to political and scientific efforts that are based on discourses of exception, unbounded intervention and some kind of radical planning. In contrast, the author argues that modernity must be analyzed in terms of a lasting friction between norm, normality and exception, that is different modes of problematizing modern societies. From c.1880 to c.1960 there have been very different approaches of tackling social problems and maintaining social order within. Some of these efforts had a totalitarian bias, some had not. The urging question is how to relate them.

Entre 1912 et 1914, les établissements Schneider publient une série de brochures destinées à faire connaître leurs principales réalisations sociales et industrielles. Ils accordent une place particulière aux constructions navales qui constituent, pour l'entreprise, une source de prospérité mais aussi de fierté comme en atteste cette citation révélatrice : "Si l'on examine dans son ensemble cette oeuvre considérable, on est frappé de ce fait que le développement des constructions navales a presque toujours été la conséquence de progrès métallurgiques réalisés par les usines de MM. Schneider et Cie". Un demi-siècle plus tôt, ce sont les réussites dans les domaines des chemins de fer et des constructions mécaniques que l'entreprise mettait en avant. Ce changement dans la valorisation des fabrications des établissements Schneider et Cie est révélateur d'un double processus. L'entreprise est contrainte, à partir des années 1870, de s'engager dans de nouvelles productions, l'artillerie, les blindages et les machines pour la Marine en particulier, sans pour autant perdre le haut degré d'intégration qui constitue sa spécificité. Une décennie est nécessaire pour aboutir à la réussite de cette nouvelle orientation stratégique, au cours de laquelle l'entreprise entame en parallèle la modification de sa géographie, le site du Creusot devenant, par sa localisation, incapable de recevoir l'ensemble des nouvelles fabrications.

With the availability of the digitised census returns for the years back to 1851 we have an opportunity to explore the records of the vessels ‘at sea’ on the night the census was taken. Research that started off looking at the longevity of barges sent me in a completely different direction and this first article examines the Wood’s of Gravesend Company.

Au début des années 1860, Eugène Schneider prépare un programme de transformation de ses établissements sidérurgiques du Creusot, pour augmenter significativement la production de fonte et de fer ; celle de l'acier ne commence à être envisagée que comme un complément des produits que les usines du Creusot proposent à leur clientèle. Il devient nécessaire d'approvisionner les hauts fourneaux sur une base beaucoup plus élevée que celle retenue quelques années plus tôt. En octobre 1862, un grand programme d'approvisionnement est élaboré. L'essentiel des minerais que l'usine doit consommer est censé provenir de Bourgogne, et en particulier de la mine de Mazenay-Change, située à quelques kilomètres du Creusot. Il est aussi fait mention des minerais riches de l'île d'Elbe et de ceux en cours de reconnaissance en Algérie. Mais il reste une interrogation quant à la capacité de l'usine à se doter des minerais très purs indispensables à l'obtention de fontes aciéreuses. C'est pourquoi, dès 1862, sans que l'entreprise ait pris de quelconques dispositions, la direction du Creusot mentionne la possibilité de disposer de quelque 8 000 tonnes de minerais de fer des Alpes, accompagnée de la mention sibylline : « Nous ne sommes pas encore très exactement fixés à l'égard de ce minerai, mais nous pouvons prévoir qu'il ressortirait à peu près comme l'Espagne ».

El propósito del artículo es analizar las consecuencias de la "crisis del mosaico" en el complejo azucarero tucumano (1915 - 1917) y las distintas alternativas que se ensayaron para superarla. Analizaremos además las estrategias implementadas por las empresas azucareras ante esta coyuntura, centrando nuestra atención en la firma "Avellaneda & Terán", una empresa  familiar de capitales tucumanos, a la que pudimos estudiar en detalle a través de sus archivos. De este modo, trataremos de combinar un análisis de tipo sectorial, junto con un enfoque microanalítico focalizado en las empresas  azucareras, con el propósito de formarnos una imagen más acabada sobre el comportamiento empresarial ante esta coyuntura crítica.

2017-ben egy huszonhárom tanulmányt magában foglaló kötet látta meg a napvilágot az Osiris Kiadó gondozásában. A tematikus fejezetekbe rendezett írásokat elsődlegesen a szer-ző személye köti össze: Erdész Ádámé, a Magyar Nemzeti Levéltár Békés Megyei Levéltára igazgatójáé, a kiadvány az ő 1989 és 2015 között megjelent munkáiból áll össze. Ahogy az elrendezés is sejtetni engedi, bár a tanulmányok jórészt egy-egy külön témát járnak körül, azok között erős kohézió van. A kötet elsősorban azokhoz szól, akik a neves gyomai nyomdász dinasztia, a Kner csa-lád múltja iránt érdeklődnek. Fontos jelezni ugyanakkor, hogy számos más téma is terítékre kerül, nem szólva arról, hogy a-könyvben kétségkívül főszerepet játszó-Kner-históriát olvasva sokrétű megközelítéssel találkozik az olvasó: a helytörténettől a művelődéstörténetig számos aspektus bontakozik ki a háttérben.

La Première Guerre mondiale démontre combien les pays européens sont devenus, en l'espace de quelques années, tributaires de leurs approvisionnements en carburants et combustibles liquides. C'est pourquoi, en fonction de ses ressources propres et de ses politiques économiques, chacune des puissances majeures d'Europe tente, au cours des années 1920, de développer des filières agricoles ou industrielles capables de fournir des carburants susceptibles de se substituer à l'essence de pétrole. Pour l'Allemagne et le Royaume-Uni, les importantes ressources charbonnières, de houille voire de lignite, constituent le socle évident sur lequel reposent les recherches en vue de parvenir à une certaine indépendance. Mais il est impossible, pour la France, de suivre la voie dans laquelle s'engagent ces deux pays. Ils disposent de ressources en combustibles minéraux considérables quand la France reste contrainte d'importer une grande partie de ses besoins.

Die Eisenbahnstrecke Madeira-Mamoré, Baubeginn 1907 sollte  von dem Ort Santo Antonio auf dem Rio Madeira bis zu Guajará-Merim am Guaporé führen. Dies entspricht 366 Kilometern. Der Ingenieur Joaquim Catramby gewann den Wettbewerb, verkaufte die Konzession aber bald an den aus den USA stammenden Unternehmer Percival Farquar (York, Pennsylvania, 1864 - New York 1953) der stark im brasilianischen Schienenverkehr engagiert, die Firma  May & Jekyll beauftragt,
die sich mit John Randolph, zusammentut. Es entstand die Firma May Jekyll & Randolph, zur Finanzierung wird von der Madeira - Mamoré Railway Co. eine Aktiengesellschaft nach den Gesetzen  des  US-Bundesstaates  Maine  ins  Leben  gerufen.  Die  Arbeiten  vor  Ort  beginnen 1907. Die Arbeitsbedingungen führten durch Gelbfieber, Malaria und Beriberi zum Tod mehrerer Tausend Arbeiter, die genaue Zahl ist nicht bekannt. Im Jahr 1910 wird ein erstes Teilstück eingeweiht, 1912 die ganze Strecke. Zu diesem Zeitpunkt hatte aber der brasilianische Kautschuk,  der  inzwischen  durch  nach  Malaisia  illegal  ausgeführte  Samen  an  Bedeutung verloren  hat,  keine  Monopolstellung  mehr.  Der  die  Madeira-Mamoré  Company  kontrollierende Percival Farquhar geht 1913 bankrott. 

Die heute stillgelegte Eisenbahnstrecke an den Flüssen Madeira-Mamoré ist am ehesten noch in Erinnerung als ein Beispiel menschlicher Hybris, die die Natur des brasilianischen Urwalds und die Unüberwindbarkeit der Stromschnellen und Wasserfälle der Amazonaszuflüsse durch die  Technik  in  einer  Landverbindung  zu  umgehen  versucht  hat.  In  diesem  Beitrag  soll  die Episode dargestellt werden, auch als Beitrag zur brasilianisch-deutschen Industriegeschichte und anhand neu bekannt gewordener fotografischer Dokumente deutscher Provenienz zu ihrer
Entstehungsgeschichte.

"Entre los crisoles de Fundidora se demostró que la historia también la escribe el obrero…rescatar la historia es rescatar todo lo que significo: luchas, esfuerzos, sacrificios, que el hombre juega quizás el papel más importante en esta ciudad, es el que construye todo." Sandra Arenal Huerta.

This volume is a collection of empirical and theoretical research papers in the social sciences regarding the Balkans and the Near East written by researchers from several different universities and institutions. The studies include a wide range of topics from economic, financial, political, agricultural, sociological, international relations to historical, cultural, and feminist issues in the region of the Balkan and Near East. The book is aimed at educators, researchers, and students interested in the Balkan and Near Eastern countries.

The Tees (Newport) Bridge officially opened in February 1934 to much fanfare and public celebration, the event receiving extensive local, regional and national media attention. The bridge provided a crucial link across the River Tees to the emerging industrial works on the north bank of the river and beyond, and similarly provided access to the industrial, commercial and retail businesses on the Middlesbrough side of the river. However, delays in the project meant approximately fourteen years had elapsed from initial discussions of a crossing to its fruition in the form of the world’s largest vertical-lift bridge.

Milyen lehetőségeket rejt magában a vaskohászati ipari örökség egy posztindusztrialista és posztszocialista településen? Erre a kérdésre keresem a választ két közép-európai iparváros, a vaskohászat egykori fellegvárainak számító Ostrava és Miskolc stratégiáinak összehasonlító elemzésével. Az ostravai Vítkovicei Vasmű és a miskolci Diósgyőri Vasgyár egyaránt közös történelmi térben helyezkedtek el, ami hasonló lehetőségeket biztosított számukra, mégis eltérő eredményekhez vezetett az 1867–1990 közötti hosszú időszakban. Az 1990-es évek társadalmi, politikai és gazdasági folyamatai a vaskohászat ágazati leépüléshez, vagyis az egykori cégek megszűnéséhez vezetett. A hátramaradó üzemek, berendezések, eszközök, illetve maga a település és a táj, azaz az ipari örökség hasznosítására azonban meglehetősen eltérő válaszokat adtak és adnak Csehországban és Magyarországon.

Extract from WESTERN REGION INDUSTRIAL HERITAGE STUDY
This study has been written by Gary Vines of Melbourne's
Living Museum of the West Inc. with assistance from Andrew
Ward of Andrew Ward and Associates who provided specialist
architectural comment on selected sites.
The study was funded by a grant from the Regional Action
Program of the Ministry for Planning and Environment.
Victoria and was overseen by a steering committee made up of
representatives of the Ministry for Planning and
Environment, Museum of Victoria, National Trust of
Australia, Footscray Institute of Technology, Western Region
Commission and the Royal Historical Society of Victoria.

The Naval Stores Industry as a Catalyst for Urbanity in Florida and Georgia in the Early to Mid Twentieth Century: A Study of Architectural and Material Culture

Mike Walker

MFA Student, Savannah College of Art and Design


ABSTRACT:

The naval stores or turpentine industry was a leading economic force in the South in the early to mid twentieth century and the manufacture of turpentine required labor-intensive harvesting of pine rosin deep in remote forests, but much of the work also was done in urban centers. These same localities grew in size and wealth due to the naval stores industry and the infrastructure required for processing and transshipment of naval stores products, producing some of the first real industrial and urban material culture of cities in northern Florida and southern Georgia. For cities such as Jacksonville, Lake City, Valdosta, and Pensacola, naval stores provided the economic impetus for markers of twentieth century modernity such as skyscrapers and sophisticated ports.

This paper examines the architectural, planning, and material culture developments brought about by the naval stores industry in northern Florida and southern Georgia and the relationship of this industry on a socioeconomic level to the cities where it was a catalyst to growth. In the wake of the Civil War, naval stores for relatively isolated Southern communities provided a means of economic recovery, but its benefits were not at all uniform and predictably, were reaped mostly by those at the top. The legacy of naval stores and its relationship with Florida and Georgia communities remains to this day, if hidden beneath the surface.

This book traces the history of the Italian industrial labour disciplination, read as part of a more general phenomenon of disciplining of bodies and minds of individuals that has characterized Western modernity. The book focuses on both the new knowledge of the body and life of workers (such as the new Occupational Medicine, who was born precisely in Italy), and on the theories and practices of regulation and management of the physical workspace between XIXth and XXth centuries. Special attention is devoted to the study of new interactions between body and machine that were introduced by the spread of mechanization. The study of the forms of hybridization of Taylorism and Fordism on the Italian scene of the twentieth century is here deepened, through a variety of written and oral sources. The book concludes with an analysis of the crisis of Taylorfordism (sixties and seventies) and focuses on automatism and other solutions that have regimented the industrial work up to the present time.

Glass bottles were certainly produced in Portugal since the Modern Era but this production was only marginal until the construction of the first glass bottle factory late in the 19th Century in Amora a riverine small village facing Lisbon in the estuary of the Tagus river.
This factory started production with recourse to German glassworkers that came to establish a colony in Amora houses built by the glassmaking company until they were all expelled during WW I when Potugal entered the war on the English side.

No 19. gs. 70. gadiem Mīlgrāvja pagasta teritorijā starp Daugavas atteku Sarkandaugavu un Ķīšezeru pie Mīlgrāvja kanāla veidojās īpaša industriāla nomale –Jaunmīlgrāvis. Sākotnēji tai bija raksturīga tikai industriāla apbūve, kas izcēlās uz apkārt esošās lauku ainavas fona. Rīgas industriālās izaugsmes ietekmē augot rūpniecības apjomiem 19. gs. beigās Jaunmīlgrāvi kā ķīmiskās rūpniecības centru iekļāva Rīgas robežās. Apdzīvotās vietas specifiku – ražotņu kompleksus, koka dzīvojamo ēku apbūvi un daudznacionālu strādnieku un iedzīvotāju sastāvu – šī pilsētas daļa saglabāja arī 20. gs. 20.– 30. gados. Raksts sniedz ieskatu līdz šim akadēmiski nepētītās Rīgas industriālās nomales Jaunmīlgrāvja izveides un izaugsmes vēsturē no 19. gs. 70. gadiem līdz 1940. gada padomju okupācijai.
Atslēgvārdi: Jaunmīlgrāvis, strādnieki, rūpnīcas, Rīga, industriālā vide, daudznacionāla sabiedrība.
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In der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts entwickelte sich Riga schnell zu einer industrialisierten und multinationalen Großstadt. In der Geschichte der Stadt zeichnete sich dieser dynamische Zeitabschnitt – von der zweiten Hälfte des 19. Jahrhunderts bis zum Jahr 1914 – durch wesentliche soziale, territoriale und wirtschaftliche Veränderungen aus. Die Zahl der Stadtbewohner stieg rasch an, die Grenzen der Stadt wurden beträchtlich erweitert, neue Werke und Wohngebäude wurden errichtet, die zu Veränderungen im Stadtbild führten. Dadurch gewann die Stadt eine dem heutigen Stadtbild ähnliche Gestalt. Im letzten Viertel des 19. Jahrhunderts wurde von diesen tiefgreifenden Veränderungen auch derjenige Stadtbezirk Rigas, der heute Jaunmīlgrāvis / Neu-Mühlgraben genannt wird, betroffen. Ziel des vorliegenden Beitrags ist es, die Entstehung des Stadtbezirks Jaunmīlgrāvis als eines industriellen Vorortes und seine Entwicklung bis zum Jahr 1940 zu verfolgen. Als Quellen dienten für diesen Artikel die Unterlagen aus den Beständen des Historischen Staatsarchivs Lettlands des Lettischen Nationalarchivs sowie die Veröffentlichungen in der Presse. Infolge des rasanten industriellen Aufstiegs der Stadt war im ausgehenden 19. Jahrhundert in Riga ein besonderer industrieller Vorort entstanden, der sich am Vorabend des Ersten Weltkriegs zu einem Zentrum der Chemieindustrie entwickelt hatte. Hier gab es sechs Werke, die im Besitz deutscher Industriellen waren und sich mit der Verarbeitung von Ölprodukten befassten, Porzellan, Superphosphat, verschiedene Farbstoffe und Lederwaren produzierten. Die Arbeiter in diesen Werken waren Vertreter unterschiedlicher Nationalitäten: Letten, Russen, Litauer, Polen. Jaunmīlgrāvis / Neu-Mühlgraben war ihr Arbeitsplatz, wohin sie sich täglich aus anderen Stadtvierteln begaben. Mit Recht kann man behaupten, dass sich zu Beginn des 20. Jahrhunderts Jaunmīlgrāvis zu einer besonderen industriellen Stadtzone entwickelte, wo keine weitläufige zivile Bebauung vorgesehen war. Es war geplant, hier Wohnhäuser nur für die Fachleuteder Betriebe zu errichten. Die rasche Entwicklung der Industrie im letzten Dezennium vor dem Ersten Weltkrieg hatte zur Folge, dass in Jaunmīlgrāvis auch Arbeiter-Wohnhäuser gebaut wurden. Im Laufe von etwa 30 Jahren wurde das Dünengelände am Mühlgraben- Kanal, zwischen einem Arm der Düna / Daugava und dem Stintsee / Ķīšezers, zur administrativen Nordgrenze der Stadt. Dieses Gebiet galt als ein Symbol für die sozialen und wirtschaftlichen Änderungen in der Stadt im Allgemeinen. Die Unterlagen zum industriellen Vorort Rigas Jaunmīlgrāvis lassen die Interessen der Unternehmer – der Besitzer der Werke, Arbeitsbedingungen für die Arbeiter, Traditionen, Spezialisierung der Industrie sowie die Bemühungen der Arbeiter unterschiedlicher Nationalitäten – Letten, Litauer, Russen, Polen, den Lebensunterhalt für ihre Familien zu verdienen, erkennen. In der Zwischenkriegszeit nahm ein Teil der Betriebe ihre Produktion in einem kleineren Umfang wieder auf und passte sich erfolgreich an die neue politische Situation und an die Marktschwankungen an. Auch zu dieser Zeit funktionierte Jaunmīlgrāvis als ein industrieller Vorort mit einer multinationalen Bevölkerung.

Schlüsselwörter: Riga, Jaunmīlgravis / Neu Mühlgraben, Industrialisierung,Betrieb, Werk, Arbeiter, Betriebsangehörige, Vielvölkerstadt, Bevölkerung.

Nuestro estudio analiza el desarrollo de la industria metalúrgica asociada a la moderna agroindustria azucarera en la provincia de Tucumán (principal epicentro productor de Argentina), indagando la dinámica establecida entre los ingenios y la red de talleres de fundición y acabado de piezas y maquinarias que surgieron motorizados por la actividad principal. Nuestra opción analítica se fundamenta en que la rama de la fundición y mecanizado fue la que incorporó el mayor nivel de tecnología dentro de la metalurgia local, además de representar el sector de mayor vinculación con la actividad azucarera como proveedora de insumos y maquinarias. Esta línea de análisis nos llevará a indagar sobre la participación de las empresas extranjeras como proveedoras de nueva tecnología, y avanzar sobre los procesos de imitación e innovación local en coyunturas adversas para el aprovisionamiento exterior de maquinaria.

This is an extract from a work in progress. It relates to the involvement of my great-grandfather Franz Ginsberg (‘Franz’: 1862-1936 ), an industrialist in King Williams Town (‘King’, in South Africa), in the processes leading up to the unification of South Africa in 1910.

L’articolo presenta la migrazione dei vetrai di Altare in Argentina nel secondo dopoguerra come l’ultima tappa di una storia millenaria di migrazioni, a iniziare da quelle in Italia e in Europa tra il XV e il XIX secolo, di cui vengono esaminate le caratteristiche principali, come per esempio: la presenza di fattori di spinta dall’interno e di attrazione dall’esterno e di motivazioni al miglioramento, il forte legame con la comunità di origine, le differenze rispetto alle migrazioni dei muranesi, le tensioni generate, il conflitto tra monsù e paisan, la vocazione al nomadismo. Viene poi illustrata una prima mappa generale delle migrazioni dei vetrai in America del Sud, tra il XIX e il XX secolo, in tre fasi: i pionieri nella prima metà dell’800, i fondatori delle grandi vetrerie tra fine ‘800 e inizi ‘900, il Gruppo TOVA dopo la seconda guerra mondiale. Per le prime due fasi, vengono presentati brevi cenni sulle vetrerie Brondi a Lima, “São Roque” a Rio de Janeiro, Bordoni a Buenos Aires, Lavagna a Rosario, Negri a Montevideo, e su quelle dei fratelli Scarrone a Rio e dei fratelli Gercar a Montevideo. Segue il racconto più dettagliato della storia del Gruppo TOVA, emigrato da Altare nel 1947 verso la provincia di Santa Fe in Argentina. Tra il 1947 e il 1954 gli altaresi realizzarono quattro vetrerie nelle cittadine di San Jorge e di San Carlos Centro, a un centinaio di chilometri di distanza tra di loro (SAICA, San Carlos, La Liguria, Altar) e una a Recife in Brasile (Zatto). L’attività vetraria si sviluppò e si espanse nella provincia di Santa Fe, dopo l’arrivo degli altaresi, le cui tecniche di lavorazione vennero a contatto con quelle boeme e con quelle muranesi. Viene fatto cenno alle caratteristiche di queste migrazioni, in confronto con quelle delle migrazioni precedenti, e viene sottolineato come il contatto tra le tecniche di lavorazione dei tre principali centri vetrari della storia europea abbia generato nuove tecniche e nuove espressioni artistiche.

El artículo presenta la migración de los vidrieros de Altare a la Argentina durante el segundo posguerra como la última etapa de una historia milenaria, que comenzó con las migraciones hacia Italia y Europa entre el siglo XV y el siglo XIX. De estas migraciones son examinadas las características principales, como por ejemplo: los factores que empujan a migrar desde el interior y los factores que atraen desde el exterior, las motivaciones a mejorar su propia condición, el fuerte lazo con la comunidad de origen, las diferencias con respecto a las migraciones de los muraneses, las tensiones surgidas, el conflicto entre monsù y paisan, la vocación al nomadismo. Luego el autor ilustra un primer mapa general de las migraciones hacia América del Sur, entre el siglo XIX y el siglo XX, divididas en tres fases: los pioneros en la primera mitad del siglo XIX, los fundadores de grandes vidrierías entre los finales del siglo XIX y los comienzos del siglo XX, el grupo TOVA después de la segunda guerra mundial. Con respecto a las primeras dos fases son presentadas en síntesis las vidrerías Brondi en Lima, “São Roque” en Rio de Janeiro, Bordoni en Buenos Aires, Lavagna en Rosario, Negri en Montevideo, y las de los hermanos Scarrone en Rio y de los hermanos Gercar en Montevideo. El ensayo sigue con la descripción más detallada de la historia del Grupo TOVA, emigrado de Altare en 1947 a la Provincia de Santa Fe en Argentina. Entre 1947 y 1954 los altareses fundaron y pusieron en marcha cuatro vidrerías en las ciudades de San Jorge y de San Carlos Centro, ubicadas aproximadamente a una distancia de 100 kilómetros entre ellas (SAICA, San Carlos, La Liguria, Altar) y úna en Recife en Brasil (Zatto). La producción de vidrio se desarrolló y se difundió en la Provincia de Santa Fe después de la llegada de los altareses, cuyas técnicas de trabajo entraron en contacto con las de los bohemios y de los muraneses. Se hace una breve referencia a las características de estas migraciones, comparadas con las anteriores, y se subraya que el contacto entre las técnicas de trabajo de los tres principales centros vidrieros de la historia europea generó nuevas técnicas y nuevas expresiones artísticas.

The investigation was carried out in two parts: an article on the company history dealing with the industrial and cultural history of the Rud. Rasmussen furniture factury since its construction in 1875 seen as a reflection of a specific industrial development centering on smaller and more adaptable units of production. The second part (bygningsgennemgang) was done in corporation with Caitlin Madden and investigates  the architectural history of the site. The illustrations stem from the company's own archive and from the archive at the Museum of Copenhagen.

'Modern labour - Cultural and institutional changes of work in the danish textile industry 1895-1940'

During the period in question the textile industry was comprised of relatively large factories, compared to Danish industry in general. The workforce was approx. half male, half female.
More than 80% of the workers had a so called apprenticeship, which consisted of only a few weeks training.

From the turn of the century the more loom systems was introduced, primarily in the cotton weaving plants. In the 20’s 4-loom systems spread rapidly, and 6- and more loom
systems was introduced. This lead to a rising productivity.

Based on evidence from 29 workers autobiographies, an emerging new cultural pattern can be traced in the period. This cultural pattern can be characterized as respectable. The
respectable culture can be seen as a form of seing ones life in a long term perspective, which matches the modern ideal of man as rational and farsighted. Elements of the older, more
undisciplined culture, still lives on, though.

The respectable culture is also connected to organized labour. The Textile Workers Union is formed in 1885. In 1898 the first national collective agreement is signed with The Textile Employers Association. This is the starting point for the textile workers part of the so called Danish model of industrial relations.

In 1905 a major strike settles disputes on the more loom system. The union accepts the system in return for a formal right to negotiation of the terms of its use.

During the interwar period the union seems to loose some of its critical understanding of technology. When 340 workers in Silkeborg goes on strike against the Bedaux rationalization system i 1934, they are expelled and accused of being communists.

The Textile Workers Union was created as a truly modern institution, as a reaction to modern industry. But in the period concerned it evolved from 'proletarian modernism' to
'classless modernism'.

This is the life of an extraordinary Messerschmitt Bf 109 G test pilot of the MGW Győr, Hungary. Ottó Lukács was an extraordinary person, because he flew the first Bf 109 combat sortie of the Royal Hungarian Air Force on 15 October, 1942 over the Estern Front.  He flew 93 combat sorties between 3 August 1942 and 19 July, 1943 over the Eastern Front (the first 25 were flown with Re.2000). From July, 1943 till the end of the war, he was a test pilot of the MWG, passed away in 1999. The paper was published in the 38th issue of Győri Tanulmányok (Győr Studies) in 2017, pp. 113-120. Unfortunately the photos were published separately.

Au début du XXe siècle, l'usine du Creusot n'est plus le principal établissement sidérurgique de France. Sa production de fonte et d'acier a connu une diminution sensible au cours des années 1880, à la suite de l'abandon des produits de base et de la reconversion vers des productions à plus haute valeur ajoutée. Mais au moment où survient la catastrophe de Courrières, Eugène II, le gérant des établissements Schneider et Cie, s'est lancé dans une politique de relance de la production sidérurgique. Il entend profiter de la conjoncture favorable ainsi que des multiples marchés que son entreprise engrange dans le domaine de l'artillerie et des blindages de marine. Ces deux activités impliquent une croissance de la production d'acier. En raison des multiples activités présentes sur le site creusotin, les besoins charbonniers sont en augmentation au début du XXe siècle.

Accounts survive for bloomery that operated in Clun Park, near Llantrisant, Glamorgan in the 1530s.  At the end of the century, a blast furnace was built nearby.  The article considers both ironworks and 19th century and later mentions of them

INTERPRETING THE CULTURAL LANDSCAPE, A series of books about work in Melbourne's West designed to illustrate themes in industry and work, with photographs, engravings and maps. Descriptions of the industrial processes and conditions of work have been taken from contemporary accounts in books and newspapers as well as the oral history recordings of the Living Museum of the West.

Two 11-inch (28cm) muzzleloaders purchased for the defense of Xiamen (Amoy) in 1874 during China’s military standoff with Japan were the largest coastal guns in China at that time and one was dubbed ‘monster gun’ when it arrived in Shanghai. However, the real identity of these guns is shrouded in mystery and it is even not sure whether they were Blakely or Vavasseur guns. The story and technical details of these two guns can provide some insights into both the development of artillery technology in late nineteenth century Britain and the struggle for modernizing coastal defense in China.