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Cartouche de chasse On sait que les cartouches de chasse -actuelle- ment connues et dont la douille est en matière plastique ne présentent pas toutes les qualités requises pour être .adoptées par les chasseurs.
C'est ainsi que lorsqu'on tire les douilles de ces cartouches, elles adhèrent ou collent à l'arme ; ces douilles présentent des déchirures, des fissures ou encore des fuites par l'orifice de l'amorce qui se déplace sous des pressions de combustion de la poudre ;
ces accidents sont encore plus fréquents lorsque ces tirs sont effectués à des températures basses, de l'ordre de -20 à -400 ou à des températures élevées de l'ordre de -f- 40 à + 60o.
La présente invention a pour but de remédier au moins partiellement à ces inconvénients et la cartouche qui en fait d'objet est caractérisée en ce qu'elle comprend une douille en matière plastique présentant une partie médiane d'un diamètre extérieur plus réduit que le diamètre extérieur d'une partie élargie entourant la charge de projectiles à son extrémité avant,
cette .partie élargie étant destinée à venir s'appliquer sur la paroi de la chambre de l'arme destinée à tirer da cartouche, tandis que la partie médiane se trouve en retrait par rapport à cette dernière paroi.
Cette forme de la douille présente l'avantage d'interdire tout retour des gaz vers l'arrière au moment du tir, puisque da paroi externe de la partie élargie de la douille s'applique contre la paroi interne de la chambre de l'arme. De plus, l'air contenu entre cette paroi et la partie médiane de la douille empêche toute adhérence entre cette partie médiane de la douille et la paroi de l'arme, ce qui facilite l'extraction de la douille.
On sait d'autre part que des matières plastiques à haute densité présentent l'inconvénient de présen- ter, après moulage, une instabilité dans leurs dimensions et propriétés.
Ce phénomène est dû, particulièrement pour des mélanges de polyéthylènes à basse pression de densités différentes, au fait que ces mélanges sont maintenus par contrainte à un :
taux de cristallinité infé- rieur à celui qui leur est propre, si bien qu'après moulage, et pendant un certain temps, les pièces obtenues et notamment les douilles de cartouches, tendent à reprendre ou à s',approcher de leur taux naturel de cristallinité, ce qui a pour conséquence de faire varier leur forme et leurs propriétés. Ces varia- tions relativement faibles sont,
dans la plupart des cas, sans grande importance, mais il n'en est pas de même lorsqu'il s'agit de douilles de cartouches qui mettent à l'épreuve les propriétés mécaniques et thermiques de la matière @au maximum, ce qui entraîne des risques de fissuration et d'arrachement.
C'est pourquoi on peut utiliser, pour la douille de la cartouche selon l'invention, un mélange de polyéthylènes connus. dans da proportion de 17 à 30 % de haute densité et de 83 à 70 % de densité inférieure, ces proportions dépendant des pressions envisagées pour le tir.
On peut ajouter à .ce mélange -au moins 3 à 7 % en poids d'isobutylène polymérisé. On peut encore ajouter une charge en poids d@au moins 5 à 10 % ou plus de fibres fines ou de poudre d'amiante ou encore 0,
5 à 2 % de graphite avec un pourcentage approximativement égal de noir de pétrole que l'on peut d'ailleurs .associer à l'amiante.
Cette :amiante est destinée à former une armature interne augmentant la résistance mécanique de la douille. L'injection des matières plastiques amian- tées en général et plus particulièrement celle du mé- lange ci-dessus se :
fait avantageusement autour d'un
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orifice central destiné à recevoir l'amorce, de préférence dans la partie la plus rapprochée d'une gorge dans laquelle doit s'engager le bourrelet de cette amorce.
L'arrachement de la carotte d'injection laisse naturellement -une protubérance à chacun des points d'injection autour de cet orifice central destiné à recevoir l'amorce ; .la mise en place de cette dernière refoule ces protubérances qui s'opposent à tout déplacement ultérieur de l'amorce.
Pour amortir le choc brusque provoqué par la combustion de la poudre, on peut utiliser avantageusement une bourre en produit alvéolaire ultra-léger constitué par .une matière plastique expansée, du polystyrène par exemple, dont le traitement alvéolaire peut être complété par des adjonctions de bicarbonate d'ammonium -et, -après volatilisation du solvant, d'une poudre d'amiante,
de mica ou de gra- phite. Cette bourre peut être enserrée entre cieux disques épais, rigides, creux ou hémisphériques, celui disposé sur la poudre présentant sa partie convexe vers celle-ci et celui placé sous la charge de projectiles présentant sa partie concave vers cette charge.
Pour exclure toute détérioration ou oxydation des douilles, vides ou chargées, par les rayonnements photochimiques et par le vieillissement, on peut recourir à la couleur noire qui constitue un écran absolu à ces radiations et qui peut être obtenue par l'adjonction de 0,5 à 2 ()/o en poids de pigments et en particulier de noir de pétrole.
Le dessin annexé .représente, à titre d'exemple, une forme d'exécution de l'invention.
La fig. 1 est une vue en coupe axiale d'une douille de cartouche de chasse en matière plastique moulée par injection et comportant encore la carotte d'injection.
La fig. 2 est une vue en coupe axiale de la même douille après arrachement de la carotte d'injection. La fig. 3 est également une vue en coupe de la même douille munie de son amorce.
La fig. 4 est une vue en coupe axiale partielle d'une cartouche comportant la douille représentée sur la fig. 3 après chargement et fermeture.
La fig. 5 est une vue en coupe axiale à échelle réduite de la cartouche représentée en fig. 4 placée dans une arme, cette vue correspondant au moment de la percussion sur l'amorce.
La fig. 6 est une vue en coupe axiale de l'obtu- rateur fermant la cartouche.
La fig. 7 est .une vue en coupe axiale à plus grande échelle de l'extrémité fermée de la cartouche représentée sur la fig. 4 au moment de sa fermeture par sertissage sur l'obturateur représenté en fig. 6.
Les fig. 1, 2 et 3 représentent une douille 1 obtenue par injection sous pression en -trois points formant des protubérances disposées le long du bord de l'orifice 3 de la douille, orifice destiné à recevoir une amorce 6 (Fig. 3).
Sur la fig. 1 on voit la ca- rotte d'injection 4 dont les branches aboutissent au- dessus d'une gorge 5 destinée à recevoir le bourrelet périphérique de l'amorce ; la forme incurvée de ces branches et leur torsion assurent l'orientation cor- recte de la matière en cours d'injection ;
la paroi cylindrique interne de la douille comporte, à une hauteur correspondant à celle de la charge de projectiles et à l'intérieur, de petits redans de retenue 22 sur lesquels on fixe un disque ou élément de poussée 8 agissant sur la charge de projectiles 11 (fig. 4) disposée -au-dessus d'une bourre comprimée 9.
Sur la fig. 2, la carotte 4 de la fig. 1 a été arrachée, soit par une opération manuelle, soit automatiquement par la presse à injecter qui peut comporter classiquement un dispositif d'extraction par harpon ou vérin à effets combinés ;
les -trois protubérances 2 qui subsistent et qui cornespondent aux trois points d'injection de la matière sont situées immédiatement au,dessus de 1a gorge 5 au centre de laquelle débouche l'orifice 3.
La fig. 3 montre la position des protubérances 2 refoulées par l'enfoncement de l'amorce 6 dans l'orifice 3 jusqu'à venue du bourrelet périphérique de l'amorce @en prise avec la gorge 5, cette position des protubérances 2 s'opposant au retrait de l'amorce.
Sur la fig. 4, la douille 1 est représentée après chargement, l'amorce 6 étant verrouillée par les protubérances 2. Sur la charge de poudre 7, on a disposé un premier élément ou disque de poussée hémisphérique dont la partie convexe est dirigée vers la poudre 7 et sur lequel est placée la bourre cylindrique 9 en matière plastique expansée, en polystyrène traité par exemple ; sur cette bourre est disposé le deuxième élément ou disque de poussée 8 retenu par les petits redans 22 et présentant sa concavité vers la charge de projectiles 11 ; sur cette dernière est placé un obturateur dont la partie périphérique 13 est retenue par le bord de la douille replié vers l'intérieur ;
la partie centrale 12 de l'obturateur (fig. 6) est affaiblie tandis que la partie cylindrique externe 14 de la douille a un diamètre externe sensiblement supérieur à celui de la partie médiane qui présente des rainures longitudinales 15 limitées précisément par cette partie externe 14.
La fig. 5 représente la cartouche suivant la fig. 4 placée dans le canon d'une arme 17 et dont l'amorce 6 vient d'être percutée comme l'indique la flèche ; le premier disque 8 est refoulé et aplati de telle sorte qu'il s'oppose au passage des gaz en raison de son expansion horizontale ; il transmet la poussée qu'il reçoit des gaz produits par la combustion de la poudre 7, à la bourre 9 qui s'écrase et amortit le choc ; le deuxième disque de poussée 8 transmet la poussée à la charge de projectiles qui fait éclater la partie centrale 12 de l'obturateur 12 de l'obturateur en libérant ainsi la charge de projectiles.
On remarquera que la partie périphérique renforcée 13 de l'obturateur est retenue un instant au cours du tir par la partie 18 incurvée de la paroi de la chambre de l'arme 17.
La fig. 6 représente, comme on l'a déjà dit, l'obturateur seul établi en matière plastique et présentant
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une partie centrale très mince et susceptible d'opposer avant sa déchirure une résistance de l'ordre de 20 à 25 kg tandis que sa périphérie épaisse 13 présente une hauteur suffisante pour empêcher tout re- pliage du bord extérieur de la douille à l'intérieur de celle-ci.
On a représenté en fig. 7 un organe 19 servant au sertissage de la douille et dont la partie creuse assurant le rabattement du bord de la douille présente en 10 un cran qui provoque à la fin de l'opération de sertissage une déchirure par écrasement des fibres internes sous tension du bord 21 de la douille replié par dessus la périphérie 13 de l'obturateur dont la partie centrale amincie s'appuie sur la charge de projectiles 11. Cette opération est assurée par une rotation de l'organe 19 à une vitesse de 400 à 700 tours/minute tandis que la pression appliquée audit organe provoque l'écrasement ou le découpage du bord de la douille, ce qui produit la formation du cran 10.
Bien entendu, on peut remplacer les différents constituants de la douille par des produits équivalents et en particulier on peut remplacer les fibres ou la poudre d'amiante formant l'armature mécanique de la matière plastique par d'autres matières pulvérulentes, fibreuses ou stratifiées.
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Hunting cartridges It is known that hunting cartridges - currently known and the case of which is made of plastic material do not have all the qualities required to be adopted by hunters.
It is thus that when the cartridges of these cartridges are pulled, they adhere or stick to the weapon; these bushings exhibit tears, cracks or even leaks through the orifice of the primer which moves under the combustion pressures of the powder;
these accidents are even more frequent when these shots are carried out at low temperatures, of the order of -20 to -400 or at high temperatures of the order of -f- 40 to + 60o.
The object of the present invention is to at least partially remedy these drawbacks and the cartridge which is the subject of it is characterized in that it comprises a plastic sleeve having a middle part of an outer diameter smaller than the diameter. exterior of an enlarged part surrounding the projectile charge at its front end,
this widened .partie being intended to come to rest on the wall of the chamber of the weapon intended to fire da cartridge, while the middle part is set back relative to the latter wall.
This form of the case has the advantage of preventing any return of the gas to the rear when firing, since the outer wall of the enlarged part of the case is applied against the inner wall of the chamber of the weapon. . In addition, the air contained between this wall and the middle part of the case prevents any adhesion between this middle part of the case and the wall of the weapon, which facilitates the extraction of the case.
It is also known that high density plastics have the drawback of having, after molding, instability in their dimensions and properties.
This phenomenon is due, particularly for mixtures of low pressure polyethylenes of different densities, to the fact that these mixtures are held under stress at a:
rate of crystallinity lower than that which is proper to them, so that after molding, and for a certain time, the parts obtained and in particular the cartridge cases, tend to resume or to approach their natural rate of crystallinity, which has the consequence of varying their shape and properties. These relatively small variations are,
in most cases, of no great importance, but this is not the case with cartridge cases which test the mechanical and thermal properties of the material to the maximum, resulting in risks of cracking and tearing.
This is why a mixture of known polyethylenes can be used for the sleeve of the cartridge according to the invention. in a proportion of 17 to 30% high density and 83 to 70% lower density, these proportions depending on the pressures envisaged for firing.
At least 3 to 7% by weight of polymerized isobutylene can be added to this mixture. It is also possible to add a load by weight of at least 5 to 10% or more of fine fibers or of asbestos powder or else 0,
5 to 2% graphite with an approximately equal percentage of petroleum black which can moreover be associated with asbestos.
This: asbestos is intended to form an internal reinforcement increasing the mechanical resistance of the sleeve. The injection of asbestos plastics in general and more particularly that of the above mixture is:
advantageously around a
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central orifice intended to receive the primer, preferably in the part closest to a groove in which the bead of this primer must engage.
Tearing off the injection core naturally leaves a protuberance at each of the injection points around this central orifice intended to receive the primer; .the establishment of the latter repels these protuberances which oppose any subsequent displacement of the primer.
To cushion the sudden shock caused by the combustion of the powder, one can advantageously use a wad of ultralight cellular product consisting of an expanded plastic material, polystyrene for example, the cellular treatment of which can be supplemented by additions of bicarbonate. ammonium -and, -after volatilization of the solvent, an asbestos powder,
of mica or graphite. This wad may be clamped between thick, rigid, hollow or hemispherical discs, the one placed on the powder having its convex part towards the latter and the one placed under the charge of projectiles presenting its concave part towards this load.
To exclude any deterioration or oxidation of the casings, empty or charged, by photochemical radiations and by aging, one can resort to the black color which constitutes an absolute screen to these radiations and which can be obtained by the addition of 0.5 at 2 () / o by weight of pigments and in particular of petroleum black.
The accompanying drawing represents, by way of example, one embodiment of the invention.
Fig. 1 is an axial sectional view of an injection-molded plastic hunting cartridge case and further comprising the injection core.
Fig. 2 is an axial sectional view of the same bush after the injection core has been cut away. Fig. 3 is also a sectional view of the same socket provided with its primer.
Fig. 4 is a view in partial axial section of a cartridge comprising the sleeve shown in FIG. 3 after loading and closing.
Fig. 5 is a view in axial section on a reduced scale of the cartridge shown in FIG. 4 placed in a weapon, this view corresponding to the moment of percussion on the primer.
Fig. 6 is an axial sectional view of the shutter closing the cartridge.
Fig. 7 is an axial sectional view on a larger scale of the closed end of the cartridge shown in FIG. 4 when it is closed by crimping on the shutter shown in FIG. 6.
Figs. 1, 2 and 3 show a socket 1 obtained by injection under pressure at three points forming protuberances arranged along the edge of the orifice 3 of the socket, the orifice intended to receive a primer 6 (FIG. 3).
In fig. 1 shows the injection casing 4, the branches of which end above a groove 5 intended to receive the peripheral bead of the primer; the curved shape of these branches and their torsion ensure the correct orientation of the material being injected;
the internal cylindrical wall of the case comprises, at a height corresponding to that of the projectile charge and inside, small retaining steps 22 on which a disc or thrust element 8 is fixed, acting on the projectile charge 11 (fig. 4) placed above a compressed wad 9.
In fig. 2, the carrot 4 of FIG. 1 has been torn off, either by a manual operation or automatically by the injection molding machine which may conventionally include an extraction device by harpoon or cylinder with combined effects;
the three protuberances 2 which remain and which cornespondent to the three injection points of the material are located immediately above the groove 5 in the center of which the orifice 3 opens.
Fig. 3 shows the position of the protuberances 2 pushed back by the insertion of the primer 6 into the orifice 3 until the peripheral bead of the primer comes into contact with the groove 5, this position of the protuberances 2 opposing the removal of the primer.
In fig. 4, the sleeve 1 is shown after loading, the primer 6 being locked by the protuberances 2. On the powder charge 7, a first hemispherical thrust element or disc has been placed, the convex part of which is directed towards the powder 7 and on which is placed the cylindrical wad 9 of expanded plastic material, treated polystyrene for example; on this wad is arranged the second element or thrust disc 8 retained by the small steps 22 and having its concavity towards the charge of projectiles 11; on the latter is placed a shutter whose peripheral part 13 is retained by the edge of the sleeve folded inward;
the central part 12 of the shutter (fig. 6) is weakened while the external cylindrical part 14 of the sleeve has an external diameter appreciably greater than that of the middle part which has longitudinal grooves 15 limited precisely by this external part 14 .
Fig. 5 shows the cartridge according to FIG. 4 placed in the barrel of a weapon 17 and the primer 6 of which has just been struck as indicated by the arrow; the first disc 8 is driven back and flattened so that it opposes the passage of gases due to its horizontal expansion; it transmits the thrust which it receives from the gases produced by the combustion of the powder 7, to the wad 9 which crashes and absorbs the shock; the second thrust disc 8 transmits the thrust to the projectile charge which bursts the central part 12 of the shutter 12 of the shutter thereby releasing the projectile charge.
It will be noted that the reinforced peripheral part 13 of the shutter is retained for an instant during firing by the curved part 18 of the wall of the chamber of the weapon 17.
Fig. 6 represents, as has already been said, the shutter alone established in plastic material and having
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a very thin central part capable of opposing, before its tearing, a resistance of the order of 20 to 25 kg while its thick periphery 13 has a sufficient height to prevent any bending of the outer edge of the sleeve inside of it.
There is shown in FIG. 7 a member 19 serving for crimping the sleeve and whose hollow part ensuring the folding of the edge of the sleeve has at 10 a notch which causes at the end of the crimping operation a tear by crushing the internal fibers under tension of the edge 21 of the sleeve folded over the periphery 13 of the shutter, the thinned central part of which rests on the charge of projectiles 11. This operation is ensured by a rotation of the member 19 at a speed of 400 to 700 revolutions / minute while the pressure applied to said member causes the crushing or cutting of the edge of the sleeve, which produces the formation of the notch 10.
Of course, the different constituents of the sleeve can be replaced by equivalent products and in particular the asbestos fibers or powder forming the mechanical reinforcement of the plastic can be replaced by other pulverulent, fibrous or laminated materials.