Appareil pour enregistrer des indications horaires par perforation d'une carte de pointage La présente invention a pour objet un appa reil pour enregistrer des indications horaires par perforation d'une carte de pointage, l'enregis trement sur la carte étant tel qu'il puisse être lu par une machine tabulatrice standard.
Depuis bien des années le besoin s'est fait sentir partout où de la main-d'oeuvre est employée, payée à l'heure ou pour des employés salariés, de trouver une horloge enregistreuse capable de préparer une carte qui permette à une machine tabulatrice de calculer et d'évaluer automatiquement aussi bien le temps écoulé que les montants en argent basés sur le temps écoulé tant pour le prix d'un travail que pour les feuilles de paie. Jusqu'ici, il a toujours été nécessaire d'obtenir de l'appareil enregistreur habituel, l'heure à laquelle l'ouvrier commence et l'heure à laquelle il finit, de calculer le temps écoulé et ensuite de calculer les heures et les minutes résultantes, passées sur une tâche assignée par rapport à un taux horaire pour obtenir la somme en argent.
Ainsi, par exemple, une machine prévoit le poinçonnage à l'endroit approprié d'une carte présentant des divisions imprimées représentant des heures et des minutes, le résultat étant lu par un employé qui doit soustraire l'heure de départ de l'heure d'arrêt et calculer manuellement ou à la machine, les salaires dus pour le temps écoulé.
Il a été proposé d'éliminer les opérations manuelles de soustraction de l'heure initiale ou de départ de l'heure finale ou d'arrêt en poin çonnant de telle manière une carte en fractions et multiples d'heures que la carte poinçonnée puisse être lue directement par la machine tabu latrice; mais cette proposition présente plusieurs inconvénients. Premièrement, la machine doit être remise à zéro au commencement de chaque journée. Deuxièmement, elle n'est exacte que pour les dixièmes d'heure de sorte que seule une approximation est possible pour l'enregistre ment des minutes. De plus, elle comporte un dispositif compliqué pour sélectionner les poin çons corrects à actionner selon le temps réel.
Finalement, elle comporte une disposition compliquée et coûteuse de mécanisme pour un déplacement à partir du poinçonnage entrée- sortie et jusqu'à la période de travail suivante, une telle machine ne convenant par conséquent que pour enregistrer l'heure d'entrée et de sortie pour un travail.
Une difficulté rencontrée en calculant des enregistrements de temps manuellement à partir de l'enregistrement imprimé de l'appareil enre- gistreur est l'usage commun du temps réel enregistré en heures et fractions d'heures, minutes ou en décimales, par exemple 8.30 12.45, faisant un temps écoulé de 4 heures et 15 minutes, ce qui complique les calculs ulté rieurs puisqu'ils doivent être réduits en minutes pour le calcul du temps écoulé.
L'invention vise à remédier à ces inconvé nients et l'appareil qui en fait l'objet est carac térisé en ce qu'il comprend des moyens pour marquer une carte ou élément de pointage analogue à des stations sélectionnées parmi plusieurs stations disposées suivant au moins trois rangées, un dispositif sélecteur agencé de manière à coopérer avec les moyens de mar quage de chaque rangée, des moyens pour actionner le dispositif sélecteur comprenant des organes pour déterminer la position de ce dispo sitif en vue de l'actionnement des moyens de marquage de rangées adjacentes successives correspondant aux minutes, dizaines de minutes et plus loin dans le système décimal jusqu'aux centaines de minutes au moins,
un dispositif palpeur agencé de manière à palper et à s'enga ger dans une perforation de positionnement pratiquée dans la carte en vue de maintenir la carte pendant l'opération de marquage, et un dispositif agencé de manière à poinçonner dans la carte une autre perforation de positionnement lors de l'actionnement des moyens de marquage, à une distance prédéterminée en avant du dispo sitif palpeur. Le dessin annexé représente, à titre d'exem ple, une forme d'exécution de l'appareil faisant l'objet de la présente invention.
La fig. .1 est une vue en perspective de cette forme d'exécution.
La fig. 2 est une vue schématique d'une carte horaire destinée à être utilisée en combi naison avec l'appareil de la fig. 1.
La fig. 3 est une vue frontale de l'appareil de la fig. 1. avec le couvercle enlevé pour montrer la disposition intérieure.
La fig. 4 est une vue en plan de l'appareil représenté à la fig. 3. La fig. 5 est une vue par-dessous de l'appa reil représenté à la fig. 3.
La fig. 6 est une vue en élévation latérale de l'appareil représenté à la fig. 3.
La fig. 7 est une vue en coupe par la ligne 7-7 de la fig. 4.
La fig. 8 est une vue à plus grande échelle d'un détail de la came principale d'actionne- ment en position active.
La fig. 9 est une vue en coupe par la ligne 9-9 de la fig. 8 montrant une autre position des deux parties de came et du levier d'actionne- ment.
La fig. 10 est une vue de détail correspon dant à la fig. 8 avec la came représentée en position d'actionnement, la partie de la came principale étant représentée en position dégagée et la partie de la came libre maintenant encore le levier.
La fig. 11 est une vue en coupe par la ligne 11-11 de la fig. 4.
La fig. 12 est une vue à plus grande échelle d'une série d'assemblages de leviers de sélec- tionnement de poinçons montrant plus en détail la position relative des cames d'action- nement et du mécanisme d'entraînement.
La fig. 13 est une vue latérale du dispositif représenté à la fig. 12 vu suivant la ligne 13-13. La fig. 14 est une vue schématique d'un levier de sélectionnement de poinçons et d'un dispositif de came représenté avec une partie des poinçons pour illustrer la position relative lorsque la came de sélectionnement est en posi tion de sélectionnement d'un poinçon désignant un cinq (5).
La<B>fi-,</B> 15 est une vue schématique correspon dant à la<B>fi-.</B> 14 représentant les positions rela tives des cames de sélectionnement de poinçons et des leviers associés lorsque la came de sélec- tionnement actionne les leviers sélecteurs dans la position où un premier poinçon indiquant un cinq (5) et un second poinçon supplémen taire indiquant une unité (1) est actionné, la lecture du poinçon désiré étant (6). La fig. 16 est une vue fragmentaire en plan de l'électroaimant de commande d'embrayage et de l'embrayage sur l'arbre d'actionnement de poinçon.
La fig. 17 est une vue à plus grande échelle du dispositif d'embrayage de l'arbre d'actionne- ment de poinçon montrant la partie rotative intérieure de l'embrayage libérée.
La fig. 18 est une vue correspondant à la fig. 17 avec le bras d'électroaimant représenté en position active dégageant le cliquet de la partie extérieure de l'embrayage pour qu'il vienne en prise avec la partie intérieure rotative de l'embrayage.
La fig. 19 montre l'ensemble de l'embrayage depuis l'extérieur tel qu'il apparaîtrait en posi tion inactive correspondant à la fig. 17.
La fig. 20 est une autre vue schématique de l'extérieur du dispositif d'embrayage en posi tion d'actionnement correspondant à la fig. 18.
La fig. 21 est une vue schématique à plus grande échelle illustrant plus en détail la posi tion relative de l'électroaimant à tige palpeuse et l'interrupteur associé, ces éléments étant représentés en position active par rapport à une carte.
La fig. 22 est une vue correspondant à la fig. 21 avec l'électroaimant palpeur représenté en position dégagée obligeant la tige à être soulevée hors de contact avec la carte.
La fig. 23 est une vue à plus grande échelle de la tige palpeuse telle qu'elle apparaît lors qu'elle traverse le trou poinçonné dans une carte.
La fig. 24 est une vue à plus grande échelle d'un détail montrant une came de sélectionne- ment de poinçons.
La fig. 25 est une vue à plus grande échelle d'un détail d'une roue dentée à chevilles fonc tionnant à partir du mécanisme compteur con jointement avec la came de sélectionnement de poinçons.
La fig. 26 est une vue schématique d'une partie de l'appareil représenté à la fig. 4 le long de la ligne 26-26 représentant plus en détail la position relative des interrupteurs de commande contactés par le passage de la carte.
La fig. 27 est une vue correspondant à la fig. 26 avec la carte représentée en contact avec la tige palpeuse fonctionnant conjointement avec le mécanisme d'actionnement de poinçons.
La fig. 28 est une vue à plus grande échelle d'un détail de la fig. 27 montrant le mouvement de l'interrupteur à pression à double action commandant le mouvement initial du mécanisme de tige palpeuse qui commande le mouvement du mécanisme d'actionnement de poinçons.
La fig. 29 est une vue à plus grande échelle de l'interrupteur final sur lequel passe la carte lorsqu'elle est évacuée de l'appareil avec l'inter rupteur représenté en position active.
La fig. 30 est une vue à plus grande échelle d'un détail montrant le mécanisme pour sou lever les galets d'avancement des cartes à l'entrée de la gouttière de réception de carte. La fig. 31 est une vue correspondant à la fig. 30 avec les galets d'avancement représentés dans la position supérieure ou de déplacement de carte.
La fig. 32 est une coupe par la ligne 32-32 d'un détail de la fig. 4 montrant le montage du levier transmettant le mouvement de l'électro aimant de soulèvement de galets aux galets d'avancement de carte.
La fig. 33 est un schéma -électrique de l'ap pareil avec les éléments principaux placés dans la même position relative que dans la construc tion réelle.
Une- série de cartes agencées destinées à être utilisées en combinaison avec l'appareil d'en registrement sont poinçonnées d'avance avec toutes les informations classées, telles que numéro de l'employé, son occupation, son taux et le numéro d'équipe et toute autre indication relative soit à la feuille de paie soit au travail assigné. Ces cartes forment la base d'une série de cartes maîtresses. Des duplicata de cartes sont faits automa tiquement à partir des cartes maîtresses pour des enregistrements soit quotidiens, soit hebdo madaires et en plus de l'information classée qui est poinçonnée d'avance sur la carte de tabula teur, un trou de repérage est poinçonné de préférence dans la marge supérieure de la carte qui correspond à la réglure sur la carte où le premier enregistrement sera fait.
La fig. 2 montre, à titre d'exemple, une carte type.
Cette carte est réglée pour fournir plusieurs colonnes espacées donnant des temps de départ et d'arrêt de sorte que l'enregistrement horaire des employés peut être indiqué par des trous poinçonnés comme représenté.
Dans une construction préférée, l'appareil de poinçonnage est muni de séries de cinq poinçons adaptées chacune pour poinçonner dans une des cinq positions ou stations dans une colonne verticale de la carte, ces positions pouvant être considérées comme représentant les cinq chiffres impairs, 1, 3, 5, 7, 9. Lorsque l'on désire poinçonner un chiffre pair un second poinçon dans la colonne est actionné pour indi quer une unité (1) à ajouter au chiffre impair poinçonné. Dans ce but, le poinçon neuf (9) est choisi de sorte que si neuf est poinçonné ainsi qu'un autre chiffre impair, tel que trois (3), le résultat est quatre (4) mais si seul le neuf est poinçonné, le résultat est neuf (9). Si aucun endroit n'est poinçonné dans une colonne verti cale le zéro est indiqué.
Pour plus de détails, on se rapportera à la description qui va suivre, intitulée cames de sélectionnement de poin çons .
En conséquence, dans l'exemple de carte représenté le temps de départ indiqué est de 1457 minutes calculé à partir de zéro. Le pre mier temps off (troisième colonne) est repré senté comme étant 1517 minutes ou soixante minutes plus tard que le temps de départ. Le troisième enregistrement montre un total de 1557 minutes ou quarante minutes plus tard que le premier temps off . La différence entre les diverses colonnes sera naturellement le temps écoulé ou pris pour un travail parti culier par un employé.
La rangée inférieure de colonnes et les enregistrements poinçonnés mon- trent les chiffres de travail donnés à l'opération enregistrée ci-dessus, qui sont également enre gistrés par des poinçons supplémentaires réglés d'avance lorsque le temps écoulé est enregistré. Les chiffres de travail représentés en suivant le même système, sont les suivants: Le premier chiffre de travail correspondant au temps de départ est 37, tandis que le second correspondant au premier temps off est 57. Comme on le comprendra le poinçonnage off donne dans ce cas le temps de départ du travail 57 tandis que le temps terminé du travail est représenté par le second poinçonnage off qui donne également le chiffre de travail 32 du travail suivant, etc.
La première rangée de trous indiquée en A sont ceux qui servent à repérer la carte de façon précise dans l'appareil, le premier trou B étant poinçonné d'avance dans ce but et les trous C, D et E étant poinçonnés par l'appareil succes sivement à intervalles corrects. Le repérage du premier trou B est de première importance puisqu'il sert à enregistrer initialement la carte dans la position de poinçonnage par rapport aux colonnes imprimées d'avance sur la carte.
On comprendra que la carte représentée n'est donnée qu'à titre d'exemple et que d'autres cartes pourraient être utilisées présentant des réglures de colonnes différentes.
En se référant en particulier à la fig. 1 du dessin l'appareil comporte une enveloppe ou boîtier 400 muni d'un cadran de montre 402 représentant le temps réel. A l'intérieur du cadran de montre 402, est monté un indicateur de chiffres 404 indiquant le temps écoulé en minutes à partir de la date zéro. La disposition et la construction de ces éléments seront décrits plus en détail par la suite. Fonctionnement <I>lors de l'insertion d'une carte</I> L'enveloppe ou boîtier (fig. 1) est munie d'une fente de réception de carte 10 comportant un plateau d'entrée<B>Il</B> et d'une fente de sortie de carte avec un plateau d'évacuation 13 menant respectivement dans et hors du boîtier.
L'em ployé prend la carte préparée, par exemple celle représentée à la fig. 2, la place sur le plateau d'entrée 11 et l'introduit dans la fente de réception 10.
En se référant à la fig. 11, une plaque de base 147 avec un organe latéral<I>147a</I> définit avec une plaque de support de poinçon infé rieure 145 et une plaque latérale<I>147b</I> un espace de dimension fixe définie qui est vu en bout, en coupe transversale à la fig. 11. La plaque de base 147 s'étend sur toute la longueur de la machine comme représenté à la fig. 26.
Le pla teau d'entrée 11 et la fente de réception 10 (fig. 1) sont placés de telle manière que l'inser tion de la carte dans la fente de réception 10 amène cette carte sur la plaque 147 et entre l'organe latéral 147a et la plaque latérale 147b (fig. 11) qui s'étend également sur toute la lon gueur de la machine. La distance entre l'organe latéral<I>147a</I> et la plaque latérale 147b est fixée exactement de sorte que la carte passe juste entre eux sans possibilité de jeu latéral. Ainsi la carte est disposée dans l'alignement longitu dinal durant son passage à travers la machine sur la plaque de base 147. Ceci est essentiel pour assurer l'exactitude de l'emplacement de poin çonnage requis pour l'usage ultérieur de la carte dans une machine tabulatrice.
La coopération de la plaque de base 147 avec l'organe latéral 147a et la plaque latérale<I>147b</I> constitue les moyens de_ guidage de carte dont il a été ques tion plus haut.
Les galets qui entraînent la carte à travers la machine vont être décrits. On remarquera que la fente de réception 10 ménagée dans le boîtier 400 (fig. 1) est placée de telle manière que la carte est hors d'atteinte (et par là, de commande) de celui qui manipule la carte c'est-à- dire de l'employé, au moment où les premiers galets ont entraîné la carte en avant jusqu'à la position où elle est poinçonnée. La carte est tirée dans la machine par les galets plutôt qu'elle n'est forcée dans celle-ci par un employé. Ceci évite une déformation de la carte. Il est néces saire que la carte ne soit pas déformée car il en résulterait un enregistrement incorrect pen dant l'opération de poinçonnage.
La carte étant entièrement à l'intérieur du boîtier pen dant l'opération de poinçonnage, l'employé ne peut pas distribuer la carte pendant le poinçon- nage ce qui donnerait lieu à un enregistrement incorrect.
Ainsi l'appareil présente le net avantage de prévoir des moyens (décrits ci-après) grâce auxquels la carte une fois insérée dans la fente de réception est avancée automatiquement, arrêtée en position correcte pour le poinçon nage, poinçonnée et éjectée. <I>Mécanisme d'avancement de</I> cafte L'entrée de la carte dans la fente 10 amène le bord d'attaque de la carte en prise avec un levier (fig. 26 et 27) placé sur le parcours de la carte et le pivotement du levier entraîné par la carte actionne un niicro-interrupteur 14.
Ce dernier est connecté à et commande un enroule ment de relais 13 (fig. 33) relié à un électro aimant 16 monté sur la partie inférieure de l'ap pareil (voir la vue en plan par dessous, à la fig. 5). Le plongeur de l'électroaimant 16 est relié de façon pivotante à un levier 18 qui est monté pivotant autour d'un axe 20. L'autre extrémité du levier 18 est reliée pivotante à une barre 22 montée coulissante le long du bord du châssis de l'appareil.
Le mouvement de la barre 22 agit à son tour sur deux paires de leviers 24, 24a, 26, 26a pour soulever ou abaisser des paires espacées de galets 28 et 30 d'engagement de carte, en les rapprochant et en les éloignant de paires correspondantes de galets fixes 32, 34 montés au-dessus des moyens de guidage de carte. En se référant aux fig. 26 et 27, le levier arrière de chaque paire est visible, le levier 24a étant à gauche et le levier<I>26a</I> à droite. En se référant aux fig. 30 et 31, on voit les leviers avant 24. Des galets 28 et 30 sont montés sur des arbres 28a et 30a tourillonnés dans des leviers 24, 24a et 26,<I>26a</I> respectivement.
Dans la construction représentée les leviers 24, 24a, 26, 26a sont disposés suivant des paires espacées adjacentes aux extrémités de l'appareil avec un arbre transversal 24x, 26x s'étendant entre chaque paire de sorte qu'un mouvement de levier frontal 24 ou 26 adjacent à la barre coulissante 22 est transmis à l'autre levier de la paire (24a ou 26a) entre lesquels les galets sont montés. Le levier frontal de chaque paire comporte une extrémité reliée de façon pivo- tante au châssis de l'appareil et chacune est munie d'une rainure de came 24y, 26y dans laquelle s'ajuste une cheville 23 (fig. 30) dont l'une est disposée adjacente à chaque extrémité de la barre 22.
Mécanisme d'entraînement <I>des galets</I> Simultanément à la fermeture du micro- interrupteur 14 et également par l'intermédiaire de l'enroulement du relais 13, un autre circuit est fermé sur le moteur électrique 36. Une vis sans fin 38 (fig. 7) est fixée sur l'arbre du moteur 36 et engrène avec une roue hélicoïdale 40 montée sur un arbre 42 s'étendant obliquement vers le haut à partir de la plaque de base de l'appareil. Un pignon conique 43 est également fixé à l'arbre 42 et engrène avec un engrenage conique 44 monté sur l'extrémité d'un arbre 46 supportant les galets 32.
Un entraînement correspondant est appliqué aux galets 34 par un arbre 67 et des engrenages coniques 43a, 44a. La roue conique 44a est reliée à l'arbre 46a des galets 34. L'entraînement est transmis à partir de l'arbre 42 à l'arbre 67 par un engrenage hélicoïdal engrenant avec une roue dentée héli coïdale 68 de plus grand diamètre. Un autre engrenage hélicoïdal 66 est monté sur l'extré mité de l'arbre 67 et engrène avec l'engrenage 68.
Mécanisme <I>palpeur de carte</I> Lorsque les paires de galets 28 et 30 sont sou levées et les paires de galets 32 et 34 sont entraî nées en rotation par l'actionnement de l'inter rupteur 14, la carte est engagée par les paires de galets 28 et 32 et déplacée en avant dans les moyens de guidage de carte décrits ci-dessus, vers un point où elle vient en contact avec et abaisse un levier à genouillère 50 monté de façon pivotante sur le parcours de la carte d'avancement comme représenté aux fig. 26 et 27.
La dépression du levier 50 agit de manière à fermer un micro-interrupteur 52 disposé au-dessous du levier, en vue de fermer un circuit électrique à un électroaimant 54 monté sur la partie supérieure de la machine (voir fig. 11).
Une armature 56 est montée au-dessus de l'électroaimant 54 et une tige de palpeur de carte 58 est reliée à l'armature 56. Lorsque l'électro- aimant 54 est excité, l'armature 56 est attirée, abaissant la tige 58 en prise avec le bord de la carte. La longueur de la tige 58 est telle que l'armature 56 est empêchée d'être actionnée sur la longueur totale de sa course de sorte qu'une tension magnétique élastique est maintenue. Lorsque les galets 32, 34 continuent à entraîner la carte en avant, l'extrémité de la tige 58 repère la première rangée de trous A représentée sur la carte de la fig. 2. La tension magnétique appli quée à la tige 58 la fait tomber dans le trou pra tiqué dans la carte comme représenté à la fig. 23 permettant à l'armature 56 de compléter sa course.
En se déplaçant de cette façon elle dégage un bras 79 d'un interrupteur 60 (figs. 21, 22 et 33) ouvrant par là le circuit de l'électro aimant (fig. 5) dégageant son armature, de sorte que le levier 18 sous l'influence d'un ressort hélicoïdal 19 déplace la barre 22 dans le sens opposé faisant tomber ainsi les paires de galets 28 et 30 en position normale de sorte que les paires de galets 28 et 32 cessent d'agir pour faire avancer la carte maintenant retenue contre un mouvement d'avancement par la tige 58. La chute des galets suit instantanément le repérage du trou par la tige 58.
Il a été établi que la tige palpeuse est main tenue dans un état de tension magnétique élas tique pendant le temps où elle repère la pre mière rangée de trous A représentée à la fig. 2. Cette tige peut être considérée comme étant sollicitée électriquement de façon élastique. Elle constitue en effet une tige palpeuse actionnée électriquement, montée au-dessus du parcours de la carte et agencée de manière à être sollicitée élastiquement d'un mouvement de rapproche ment et d'éloignement de la carte. La sollicitation électrique donne à la tige sa sensibilité qui est essentielle pour son fonctionnement lors du palpage d'une carte.
Ce type de sollicitation est supérieur à la sollicitation ordinaire par ressort qui tendrait à provoquer la déformation de la circonférence du trou repéré par la tige. Une telle déformation aurait pour résultat un enregistrement inexact pendant l'opération de poinçonnage. La tige palpeuse est réellement sollicitée élastiquement dans le sens de l'éloi gnement de la carte comme il sera décrit plus loin. La sollicitation élastique n'a pour but que de maintenir la tige en haut contre la force de gravité lorsque l'électroaimant 54 n'est pas excité. C'est la sollicitation électromagnétique qui vient d'être décrite qui donne à la tige ses propriétés supérieures pour palper la carte.
Une déformation du trou est en outre évitée par le fait que la tige palpeuse se déplace dans un plan pratiquement perpendiculaire au plan de la carte et par l'extrémité conique de la tige comme représenté aux fig. 22 et 23. L'extrémité conique assure également un centrage correct de la tige dans le trou et par là la position correcte de la carte pour le poinçonnage.
Le dégagement instantané des galets d'entraî nement, lors de la fin de l'opération de palpage, agit de façon à empêcher la déformation du trou ce qui pourrait autrement arriver si la carte était poussée en avant contre l'action de butée de la tige.
Le micro-interrupteur 60 est bipolaire et lorsqu'il est actionné, il ouvre simultanément le circuit pour l'électroaimant 16 et ferme égale ment un circuit d'un électroaimant d'em brayage 62 (fig. 16, 21 et 22). <I>Mécanisme d'embrayage</I> Pendant cette période, lorsque l'électro aimant lé est dans une position de non-fonc- tionnement, le moteur 36 (fig. 3 et 4) marche encore et entraîne l'arbre 42. Cet arbre, comme il a été déjà expliqué, entraîne les engrenages 64 et 68 (fig. 7). L'engrenage 68 est monté sur un arbre 70 qui est supporté en rotation entre des paliers montés sur la partie supérieure du châssis.
On remarquera que le moteur 36 continue à entraîner l'arbre 70 pendant tout le temps qu'une carte traverse l'appareil. En se référant particulièrement aux fig. 16 à 20, un mécanisme d'embrayage que l'on va maintenant décrire, est entraîné par l'arbre 70. Une roue à rochet 73 est fixée sur l'arbre 70 de sorte qu'elle tourne continuellement alors que le moteur 36 fonctionne. Le rochet 73 est surmonté d'un cliquet de retenue annulaire 76 qui est monté pivotant en 74a sur une autre partie 74 de l'embrayage. Cette partie 74 est solidaire d'un palier 82 monté sur l'arbre 70 de telle manière qu'il soit normalement fixe lorsque l'arbre tourne.
La partie 74 de l'embrayage comporte une encoche 74b à travers laquelle s'étend une extrémité d'une cheville 76a du cliquet 76. Le pivotement du cliquet 76 autour du point 74a est ainsi limité par le contact réalisé entre l'extrémité susdite de la cheville 76a et les bords de l'encoche 74b. A cette même extrémité de cheville 76a est fixé un ressort hélicoïdal 75 qui s'étend autour du palier 82 et est fixé en 74c. Ainsi le cliquet 76 est constam ment poussé pour pivoter vers le bas autour du point 74a.
L'autre extrémité de la cheville 76a s'étend de l'autre côté du cliquet 76 et est normalement retenue et empêchée de se déplacer vers le bas par le bras 72 formant un prolongement latéral du plongeur 71 de l'électroaimant d'embrayage 62. Lorsque la cheville 76a et le cliquet 76 sont maintenus dans cette position (fig. 17 et 19), le cliquet ne peut pas venir en prise avec le rochet 73. Lorsque le cliquet 76 pivote vers le bas (fig. 18 et 20), il vient en prise avec le rochet 73 et est ensuite entraîné en rotation et fait tourner la partie d'embrayage 74 grâce à sa fixation en<I>74a</I> et au contact de la cheville<I>76a</I> avec le bord inférieur de l'encoche 74b.
Lorsque le circuit de l'électroaimant 62 est fermé par le micro-interrupteur 60, comme décrit ci-dessus, le plongeur 71 et le bras 72 sont retirés dégageant ainsi la cheville 76a. Le cliquet 76 pivote alors vers le bas sous l'influence du ressort 75 comme déjà décrit, vient en prise avec le rochet rotatif 73 et la partie d'embrayage 74 (de même que le cliquet 76) fait une rotation complète.
Pendant la première moitié de la révolution, l'embrayage actionne le mécanisme de poin çonnage de la manière qui sera décrite plus loin. Pendant la seconde moitié de la révolution, l'embrayage réalise diverses fonctions qui seront décrites, dont l'une est d'interrompre le circuit de l'électroaimant 62 permettant ainsi au plon geur 71 et au bras 72 d'être ramenés par le ressort 71a dans leur position d'origine (et normale). Ainsi, lorsque la cheville 76a a tourné jusqu'à sa position primitive, elle est engagée par le bras 72 et maintenue contre tout mouve- ment ultérieur.
La partie d'embrayage 74 poursuit sa rotation jusqu'à ce que les parties soient dans les positions relatives représentées à la fit. 19.A ce moment, le cliquet 76 est soulevé hors de contact avec le rochet 73 et le mouve ment du cliquet 76 et de la partie d'embrayage 74 est limité à une révolution complète.
<I>Mécanisme</I> d'actiohnement <I>de</I> poinçon En se référant en particulier aux fig. 11 et 16, un bras de pression 84 est monté excentriquement sur le palier 82 de telle manière que pendant la première moitié de révolution de la partie d'embrayage 74 ce bras descende et abaisse une plaque de pression 86 qui est montée pour se déplacer d'un mouvement coulissant sollicité élastiquement entre des paires de pieds de sup port verticaux 89 et 91. En s'abaissant la plaque de pression 86 agit sur les poinçons agencés de manière à perforer la carte comme il sera décrit plus en détail ci-après. Pendant la seconde moitié de la révolution, le bras de pression 84 et la plaque 86 remontent à leur position d'ori gine.
<I>Seconde moitié d'une</I> révolution <I>de l'embrayage</I> Comme représenté aux fig. 17 à 22, lorsque la partie d'embrayage 74 tourne avec le cliquet 76 l'extrémité de la cheville 76a qui, normalement vient en prise avec le bras 72, engage un bras de levier 78 monté pivotant en un point désigné en 78a (fig. 22). Ce contact soulève le bras de levier 78 de manière à amener une cheville 83 en contact avec un bras<I>85a</I> d'un interrupteur à action brusque 85 (kick off). L'interrupteur 85 commande un circuit d'un électroaimant 88 disposé au-dessous du levier 50 (voir fig. 27).
Une armature 90 montée sur l'électroaimant 88 est attirée par l'excitation de celui-ci soulevant une saillie 92 en contact avec le bras supérieur d'un verrou 94 à deux bras montés pivotants et associés au levier 50 de manière à déclencher le verrou 94 et à dégager le bras d'actionnement de l'interrupteur 52 de l'épaulement 94a, désexcitant ainsi l'électroaimant 54 (fig. 21, 22). La désexcitation de l'électroaimant 54 dégage l'armature 56 de sorte qu'elle peut se déplacer vers le haut pour soulever la tige palpeuse 58 et l'écarter de la carte.
La tige 58 est sollicitée vers le haut par un ressort 58a et est soulevée mécaniquement par une saillie 78b du levier 78 qui est agencée de manière à venir en prise avec l'armature 56 comme représenté à la fig. 22. Le soulèvement mécanique est nécessaire pour surmonter tout magnétisme résiduel dans la bobine de l'électroaimant 54. Le ressort 58a maintient alors la tige 58 levée contre la force de gravité. Lorsque l'armature est ainsi soulevée dans sa position supérieure, l'interrupteur bipolaire 60 est inversé par le bras 79.
Un prolongement 57 monté au-dessous de l'électroaimant 54 empêche le levier 78 de tom ber trop loin au-dessous de l'armature 76. Le soulèvement de la tige 58 hors de la carte libère celle-ci pour un avancement ultérieur.
L'opération de poinçonnage ayant été main tenant terminée par l'abaissement de la plaque 86 et que la carte se trouvait être libérée pour un déplacement ultérieur, l'inversion susdite de l'interrupteur 60 ferme le circuit de l'électro aimant agissant ainsi de nouveau pour soulever les paires de galets 28 et 30 en position d'enga gement avec la carte. Cette inversion de l'inter rupteur bipolaire 60 interrompt simultanément le circuit de l'électroaimant 62 qui arrête le mouvement de l'embrayage comme déjà décrit. <I>Avancement de carte (second stade)</I> Lorsque la carte est avancée par les paires de galets 28 et 32, elle est amenée en un point où elle est engagée par les secondes paires de galets 30 et 34 avant de quitter les galets 28 et 32.
Sous l'action d'entraînement des galets 30 et 34, la carte est ensuite entraînée hors de la fente de réception. Le bord d'attaque de la carte après avoir passé entre les paires de galets 30 et 34 vient en contact avec et abaisse un levier d'inter rupteur 98 pivotant qui est monté adjacent à un micro-interrupteur 96 qui le commande. En se référant à la fig. 33, l'interrupteur 96 est branché en parallèle avec l'interrupteur de démarrage 14 actionné par l'entrée de la carte et est disposé de manière à faire contact avant que l'interrup teur 14 ne s'ouvre. Alors que la carte continue à avancer, le levier 98 est dégagé actionnant l'interrupteur 96 qui ouvre le circuit de com- mande principal, rétablissant, par là, tous les circuits à l'état normal.
Puisque soit l'interrup teur 14, soit l'interrupteur 96 était maintenu fermé jusqu'à ce que la carte soit éjectée, le moteur 36 reste en fonctionnement pendant tout ce temps.
Enregistrement <I>horaire et sélection de poinçon</I> L'élément principal de commande de la machine décrite est constitué par un moteur synchrone 100 (fig. 7) qui agit comme un dispo sitif de réglage et qui comprend un arbre d'en traînement 101 qui fait un tour par minute. Une came 102 est montée sur l'arbre 101 et est en contact avec l'extrémité d'un levier 104 monté pivotant comme indiqué en 106, de sorte que lors de chaque révolution de la came 102, le levier 104 soulève une tige-tirette 108 (push-pull) d'un compteur habituel 110 (voir fig. 7 et 12). Le levier 104 est sollicité par un ressort hélicoïdal 105 qui le maintient en contact avec la came 102.
Pour empêcher un choc à la came 102, et à l'arbre 101 par le contact de l'extrémité du levier 104 avec la came 102, celle-ci comprend une partie 103 supplémentaire montée pivotante (fig. 8 à 10), qui s'écarte légèrement derrière la surface de came principale pour prolonger le contact entre la came 102 et le levier 104 empê chant un brusque dégagement tel qu'il appa raîtrait avec la surface de came 102.
Le compteur 110 (fig. 12) est de construction habituelle et un engrenage supplémentaire 112 est relié à chaque roue à chiffres. Dans la cons truction représentée, le compteur 110 utilise quatre (4) chiffres de sorte qu'il y a quatre roues 112 disposées côte à côte.
Pour la clarté du dessin, on n'a toutefois représenté aux fig. 12 à 15 qu'une seule imité, étant bien entendu que les autres unités sont identiques.
En se référant particulièrement aux fig. 12 et 13, chaque roue 112 engrène avec une roue intermédiaire 114. A son tour, chaque roue 114 engrène avec une roue dentée 116. Une came 118 est montée sur un arbre commun à chaque roue 116 et les quatre cames commandent la sélection des poinçons actionnés par l'abaisse ment de la plaque de pression 86. <I>Cames de sélection de poinçon</I> Chaque came 118, dont l'une est représentée en détail à la fig. 24, est destinée à être utilisée conjointement avec une carte telle que représen tée à la fig. 2, et commande la sélection du poin çon particulier de la rangée de poinçons avec laquelle elle est associée.
Lorsque l'interrupteur 14 est fermé par l'in sertion d'une carte, il ferme également un cir cuit commandant un électroaimant 126 placé au-dessous de la machine (voir fig. 5). Lorsque l'électroaimant 126 est actionné, un levier coudé 128 pivotant est mû par le plongeur de l'électroaimant de manière à appliquer une ten sion à des ressorts espacés 130. Chacun des res sorts 130 est relié à l'un des leviers pivotant 132 disposé au-dessous des cames 118 dans le dispo sitif de sélectionnement de poinçons (voir fig. 12 à 15).
Les leviers 132 ainsi mis sous tension sont reliés pivotant à une extrémité à chacun des leviers 134 qui sont montés pivotant dans l'ali gnement des cames<B>118.</B> Un bras de sélectionne- ment de poinçons 136 est articulé à une extrémité de chacun des leviers 134, l'autre extrémité 138 étant façonnée de manière à s'engager dans une des ouvertures de guidage de poinçons 143 sélec tionnée, de la plaque de support supérieure 140, dans la rangée particulière de telles ouvertures de poinçons associée au levier particulier 134 et à l'extrémité 138. Les bras de sélectionnement 136 sont guidés et maintenus en alignement exact pendant leur mouvement en avant et en arrière par une grille 138a (fig. 11).
La grille comporte quatre fentes, une pour loger chaque levier 136. Les leviers 134 et les bras 136 sont sollicités par des ressorts 136a, de sorte que les extrémités 138 sont normalement retirées comme représentées à la fig. 11 et les chevilles 139 sont maintenues hors d'engagement avec les surfaces des cames 118.
Les poinçons 142 sont supportés élastique- ment entre des plaques supérieure et inférieure 140 et 145 dans l'alignement d'ouverture 146 pratiqué dans une plaque de base 147 de sorte que leurs extrémités supérieures s'étendent nor malement dans les ouvertures 143.
La distance parcourue par les bras de sélec- tionnement 136 et la position des ouvertures 143 sélectionnée dépendent de la position relative des cames respectives 118 contactées par des che villes<B>139</B> prévues sur les leviers 134.
Chaque came 118 présente cinq surfaces de cames (fig. 24) qui déterminent la position de son bras de sélectionnement 136 (fig. 14). La surface de came la plus haute est prévue pour les chiffres neuf (9) et zéro (0) et lorsque le contact avec la cheville 139 de son levier coopérant 134 main tient le bras de sélectionnement 136 dans la posi tion rétractée dans laquelle il est sollicité par le ressort 136a entre la plaque de guidage 162 et le pied de support 91 (voir fig. 11).
Dans cette position l'extrémité 138 du bras de sélectionne- ment 136 est hors d'alignement avec un des poinçons 142 et ne sera pas touchée par la descente de la plaque 86 dont la partie centrale est découpée à cette position. Ainsi la surface la plus haute de la came 118 ne permet aucune opération des poinçons 142 associés à cette came. Les quatre autres surfaces de cames commandent la sélection des poinçons 142 comme déjà décrit.
Un autre engrenage de sélectionnement 120 (fig. 12 et 25) engrène avec chaque engrenage 114 et est également entraîné par celui-ci, chaque engrenage 120 étant agencé de manière à agir sur un levier 122 par le contact de chevilles séparées 121 faisant saillie à partir de la surface de l'engrenage. Dans la construction représentée en détail à la fig. 25, il y a cinq (5) chevilles pla cées sur l'engrenage 120 de telle manière qu'elles viennent en prise avec le levier 122 (voir fig. 14) lorsque la came 118 est dans la position corres pondante à 2, 4, 6, 8 et 9. Il n'y a pas de cheville de zéro, 1, 3, 5 ou 7.
Lorsqu'une de ces chevilles est engagée avec son levier coopérant 122, ce dernier pivote et fait avancer une tige 160 qui est supportée dans une plaque de guidage 162 fixée à la plaque 86 (voir<B>fi-.</B> 14 et 15). Lorsqu'une came 118 est dans la position d'un chiffre impair, excepté 9, les chevilles de l'engrenage 120 ne sont pas dans une position pour venir en contact avec le levier 122 (fig. 14) et par conséquent la tige 160 n'est pas avancée pour obliger le poinçon 164 d'agir.
Lorsque l'extrémité d'une tige 160 est avancée par l'intermédiaire d'une des chevilles 121 de l'engrenage 120, elle provoque l'abaisse ment d'un poinçon 164 lorsque la plaque 86 descend. En se référant aux fig. 26 et 27, l'extré mité du bras 84 est reliée de manière pivotante en 84b à un pied 84a en forme de<B>U</B> qui est fixé à la plaque 86. Les extrémités supérieures des poinçons 164 s'étendent dans la cavité à l'inté rieur du pied 84a (fig. 26) avec un jeu suffisant de sorte que lorsque le bras 84, le pied 84a et la plaque 86 descendent, aucun des poinçons 164 n'est abaissé.
Lorsqu'elles sont retirées les extrémités des tiges 160 s'étendent à l'intérieur de la cavité du pied 84a mais ne sont pas suffi- samment étendues pour prendre une position sur les poinçons 164. Si cependant une des tiges 160 est avancée comme décrit ci-dessus, son extrémité prend une position par-dessus le sommet de son poinçon correspondant 164. Lorsque le pied 84a descend et abaisse la pla que 86, le mouvement vers le bas de cette plaque est imparti à toutes les tiges 160 mais seules celles dont les extrémités ont été avancées sur leur poinçon correspondant 164 provoquent l'abaissement de ce poinçon. La fig. 27 montre un des poinçons 164 abaissé de cette manière.
Bien que cela ne soit pas représenté aux fig. 26 et 27 il est désirable d'avoir le côté de la cavité ménagée dans le pied 84a, adjacent à la plaque de guidage 162 sous la forme de quatre fentes verticales disposées chacune dans l'aligne ment avec un des poinçons 164 et la tige corres pondante 160, la hauteur de chaque fente étant telle que toutes les tiges sont abaissées chaque fois que le pied 84a et la plaque 86 sont abaissés. Chaque fente devrait être de préférence de largeur juste suffisante pour loger sa tige correspondante assurant ainsi l'alignement cor rect de chaque tige par rapport à son poinçon correspondant.
Un des poinçons 164 est adapté pour poin çonner un neuf (9) et lorsqu'il est abaissé il perfore la carte. Cette action se fait simultané ment avec l'abaissement des poinçons 142.
La sélection des poinçons 142 par les cames 118 ne se fait que lorsque l'électroaimant 126 exerce une tension sur les ressorts 130 tandis que la sélection des poinçons 164 se fait conti- nuellement. Lorsque l'électroaimant 126 n'est pas actionné, des ressorts 136a maintiennent les chevilles 139 hors d'engagement avec les cames <B>118</B> et maintiennent les extrémités 138 dans la position représentée à la fig. 11.
On va décrire maintenant la sélection de chiffres impairs et pairs en référence aux fig. 14 et 15. A la figure 14 le levier 134 a été pivoté par le levier 132 de sorte que la cheville 139 est en contact avec la came 118. Comme cette came est entraînée en rotation par le mécanisme enregistreur horaire, elle est dans une position correspondante à un chiffre impair, dans ce cas un cinq (5). En conséquence, le bras de sélec- tionnement de poinçon 136 a avancé d'un point par l'intermédiaire du mouvement du levier 134 avec l'extrémité 138 alignée sur l'ouverture de poinçon 143 correspondant à un poinçon de chiffre cinq (5).
Puisque la came<B>118</B> est en position pour un chiffre impair cinq (5), les chevilles de la roue dentée 120 ne sont pas en position pour venir en contact avec le levier 122 et, par conséquent, la tige 160 n'est pas avancée. Lors de l'abaissement de la plaque 86, le poin çon cinq (5) seul sera actionné puisque la tige 160 est écartée du poinçon 164 du neuf (9).
A la fig. 15, la came 118 est dans une posi tion indiquant un chiffre pair, dans ce cas, un (6) de sorte que tandis que le bras de sélec- tionnement 136 est amené dans la même posi tion que celle représentée à la fig. 14, la roue dentée 120 s'est déplacée dans une position où une cheville vient en prise avec le levier 122 de sorte que la tige 160 est en position pour pro voquer le poinçonnage d'un neuf (9). Par conséquent, en se référant à la fig. 2, un (5) est poinçonné et également un (9) est poinçonné dans la carte.
Dans ce cas, comme il a déjà été expliqué, le (9) sert comme une unité (1) de sorte que (5) et (1) sont poinçonnés, donnant la lecture correcte d'un (6).
II est évident de ce qui précède que lors qu'une des cames 118 se trouve dans la position des zéros (0), aucun poinçon n'est actionné et la colonne particulière (fig. 2) en question enre gistre un zéro (0) par le fait qu'elle n'a pas été poinçonnée. <I>Dispositif de</I> poinçonnage <I>supplémentaire</I> Pour assurer l'alignement correct et un espacement correct entre chaque poinçonnage de la carte, il est nécessaire comme expliqué précédemment, de poinçonner un trou supplé mentaire le long de la marge de la carte en avant du trou directeur poinçonné au préalable pour les enregistrements consécutifs.
Ceci est réalisé par un poinçon séparé 144 monté entre les plaques de support de poinçons supérieur et inférieur 140 et 145 avec l'extrémité supérieure faisant saillie dans une position pour venir en contact avec la plaque 86 (voir fig. 15). Ce trou poinçonné dans la marge de la carte par le poinçon 144 sera le trou senti ou palpé par la tige 58 lors de l'insertion suivante de la carte dans l'appareil.
La distance entre le centre du trou pratiqué dans la plaque 147 dans lequel la tige palpeuse 58 passe lors du repérage et du passage à travers un trou de repérage pratiqué dans la carte et le centre du trou dans la plaque 147 dans lequel un poinçon 144 passe lors du poinçonnage d'un trou de repérage suivant, cette distance est par conséquent une distance critique. Il doit égale ment y avoir une tolérance serrée entre la tige palpeuse et son trou dans la plaque de base et le poinçon 144 et son trou dans la plaque de base pour empêcher tout mouvement soit de la tige, soit du poinçon qui pourrait provoquer une variation dans la distance critique entre les trous.
Ce n'est qu'en maintenant exacte ment cette distance que l'on peut maintenir un enregistrement exact des poinçonnages suivants. Toute erreur de ce côté tendrait à s'accumuler si les opérations de poinçonnage étaient répé tées et rendraient la carte inopérante dans une machine tabulatrice.
Toute perforation de repérage doit évi demment être poinçonnée au préalable en aligne ment avec la tige palpeuse destinée à la palper lors de l'insertion suivante de la carte dans l'appareil. Cependant, l'invention se rapporte à plus d'une rangée de tiges palpeuses et de poinçons 144 coopérants et à l'actionnement sélectif de la tige palpeuse ou du poinçon 144 d'une rangée requise. Dans le but de poinçonner des chiffres de travail comme représenté sur la carte de la<B>fi,-.</B> 2, des poinçons amovibles 150,<B>152</B> (fig. 6 et 11) sont placés dans la succession désirée entre la plaque 86 de pression et la plaque de support de poinçon 140 supérieur.
Les extrémités supé rieures des poinçons 150, 152 s'étendent au-des sus de la plaque 86 où elles sont retenues par une plaque 154 maintenue en position relative par rapport à la plaque 86 par une vis à ailette 156 (fig. 6). En desserrant la vis 156, la plaque 154 peut être tournée et les poinçons 150,<B>152</B> placés dans n'importe quelle position désirée (voir fig. 5) pour repérer un travail ou une situation particulière.
Il est également à consi dérer que la sélection de ces poinçons indica teurs de travail soit effectuée automatiquement, par exemple, par une commande par bouton- pression ou par cadran du type téléphone en combinaison avec des éléments de sélectionne- ment de poinçon semblables à ceux décrits dans l'appareil. <I>Disposition générale</I> La montre située derrière le cadran 402 (fi-. 1 et 6) est du type habituel synchrone, reliée à un moteur principal 100 de réglage.
L'enre gistreur 404 montre les chiffres enregistrés des roues du compteur 110 qui est relié à cet enre gistreur par des engrenages appropriés et par un arbre flexible 405 (fig. 6) de sorte que la lecture sur l'enregistreur 404 est en rapport direct avec la position des cames 118. Dans une variante, l'enregistreur peut être disposé comme un compteur électrique associé au bras de levier d'impulsion 104 (voir fig. 7). <I>Circuit électrique</I> Pour que l'ensemble du circuit électrique au moyen duquel les divers éléments sont comman dés soit compris clairement, on se référera en particulier au schéma de la fig. 33.
Une ligne 200 et une ligne 201 sont destinées à être accordées à une source d'énergie appro priée. La ligne 201 est reliée au micro-interrup- teur initial 14 sous la commande du levier 12 sur le parcours de la carte insérée, de sorte que la fermeture de l'interrupteur 14 établit le contact avec l'enroulement de relais 13. Le circuit est alors fermé sur la ligne 200. L'actionnement du relais 13 ferme les contacts 213 et ferme un circuit par la ligne 201 au moteur d'entraîne ment 36 et du contact 213 à la ligne 200. Ce contact de ralais 213 ferme également un circuit sur l'électroaimant 26 du sélecteur de poinçon, par la ligne 201 le contact<B>213</B> et la ligne 200.
De plus, la fermeture du contact 213 ferme également un circuit actionnant l'électroaimant 16 de soulèvement de galets par la ligne 201, l'interrupteur 60 commandé par le ressort de contact 79, l'interrupteur 60, l'enroulement de l'électroaimant 16, les contacts de relais 213 et la ligne 200.
Lorsque le moteur d'entraînement 36 est actionné, la carte est entraînée en avant par les galets d'avancement de manière à venir en contact avec le levier 50 fermant l'interrupteur 52, pour fermer le circuit de l'électroaimant 54 palpeur par la ligne 201, l'enroulement de l'élec troaimant 54, et les contacts d'interrupteur 53. Comme décrit précédemment, l'actionnement partiel de l'électroaimant 54 provoque la descente de la tige 58 palpeuse et applique une légère pression sur la marge de la carte. Lorsque la carte est entraînée en avant, la tige 58 vient en regard de la première des perforations ali gnées dans la marge de la carte et traverse cette perforation.
La tige palpeuse descend alors de toute sa longueur par l'action de l'électro aimant 54 de manière à dégager le ressort 79 interrompant le contact de l'interrupteur 60 qui ouvre le circuit commandant l'électro aimant 16. Les galets sont ainsi dégagés empê chant tout mouvement ultérieur de la carte. Lors du parcours entier de la tige 58 et de l'arma ture associée 56 par l'électroaimant 54, le ressort 79 ferme le circuit de l'électroaimant d'embrayage par l'intermédiaire du contact inférieur 61 de l'interrupteur 60, en passant par la ligne 201, le contact 61,'1'enroulement de l'électroaimant 62 et la ligne 200.
Comme déjà décrit lors du fonctionnement de l'électroaimant d'embrayage 62, l'embrayage fait une révolution complète abaissant la plaque de pression de poinçons pour un demi-tour du fait du montage excentrique du bras 84. Pendant le dernier demi-tour la cheville 76a de l'em brayage vient en prise avec le levier 78 au point 78a amenant la cheville 83 en contact avec le contact 85a de l'interrupteur 85 qui ferme momentanément ledit contact. Ceci a pour effet d'actionner l'électroaimant 88 amenant la saillie 92 de l'armature en contact avec le verrou 94 qui dégage le contact d'interrupteur 53, désexcitant ainsi l'électroaimant 54.
Comme déjà décrit, l'armature 56 de l'électroaimant 54 est à ce moment soulevée mécaniquement par le levier 78 dans sa position primitive qui inverse l'interrupteur 60, interrompant le circuit à l'élec troaimant d'embrayage 62 et fermant de nou veau le circuit à l'électroaimant des galets 16 par la ligne 201 au moyen du bras 79 de l'interrupteur 60, par l'électroaimant 16, le contact de relais 213 et le retour à la ligne 200.
Lorsque les galets, sous l'influence de l'élec troaimant 16, poussent de nouveau la carte en avant, le bord d'attaque de celle-ci vient en contact avec le levier 98 commandant l'inter rupteur 96 fermant le contact 96a. Puisque l'interrupteur 96 est branché en parallèle avec l'interrupteur 14 et qu'il est fermé avant que celui-ci ne s'ouvre, le circuit du moteur 36 est maintenu jusqu'à ce que la carte soit éjectée par les galets et dégagée du levier 98. Dès que l'interrupteur 96 est relâché, le circuit du relais 13 est ouvert, ce qui ramène ainsi tous les circuits dans leur position normale.
L'appareil décrit simplifie le calcul des heures et des minutes au moyen du système de périodes d'une minute, ces périodes partant de zéro à un temps prévu d'avance pendant une année de calendrier ou une année fiscale, l'appareil pouvant être agencé pour être remis à zéro chaque jour au départ du temps initial officiel le matin; dans une variante, la pendule peut être disposée de manière à marcher continuellement de minuit le 31 décembre et remise à la fin d'une période d'une année. Ou encore elle peut fonctionner continuellement année après année sans avoir à être réglée à nouveau.
D'autre part, l'appareil décrit permet d'avoir un temps uniforme pour des enregistrements négligeant les différentes zones horaires. Par exemple, le 31 décembre serait l'heure de Greenwich zéro et tous les enregistrements horaires réalisés sur la carte de pointage seraient basés sur l'heure de Greenwich dans n'importe quelle partie des Etats-Unis ou du Canada. Des moyens réglables pourraient être prévus pour représenter l'heure locale dans n'importe quelle zone en plus de l'heure de base de Green wich. L'avantage d'utiliser ce système réside dans la commodité de lecture ou dans l'interpré tation d'enregistrements horaires de n'im porte quel endroit du pays, par exemple, un enregistrement qui est fait simultanément à New- York City et un autre à Vancouver.
L'enregis trement horaire serait identique, c'est-à-dire pour toute période de temps particulière. Bien que l'on ait mentionné l'heure de Greenwich, on comprendra que n'importe quelle autre base horaire peut être utilisée et l'une des deux aiguilles des heures de l'horloge enregistreuse peut être réglée pour s'adapter à la différence horaire selon la localité dans laquelle l'horloge est utilisée.
Apparatus for recording time indications by punching a time card The present invention relates to an apparatus for recording time indications by perforating a time card, the recording on the card being such that it can be recorded. be read by a standard tabulator.
For many years the need has been felt wherever labor is employed, paid by the hour or for salaried employees, to find a clock register capable of preparing a card which enables a tabulator machine. automatically calculate and evaluate both elapsed time and money amounts based on elapsed time for both the price of a job and the payroll. Hitherto it has always been necessary to obtain from the usual recording apparatus the time at which the worker begins and the time at which he finishes, to calculate the elapsed time and then to calculate the hours and times. resulting minutes spent on an assigned task against an hourly rate to get the cash sum.
So, for example, a machine provides for the punching at the appropriate place of a card having printed divisions representing hours and minutes, the result being read by an employee who must subtract the departure time from the hour of departure. 'stop and calculate manually or by machine the wages due for the elapsed time.
It has been proposed to eliminate the manual operations of subtracting the initial time or starting from the final time or stopping by punching a card in fractions and multiples of hours in such a way that the punched card can be read directly by the tabu latrice machine; but this proposal has several drawbacks. First, the machine must be reset at the start of each day. Second, it is only correct for tenths of an hour so that only an approximation is possible for the recording of minutes. In addition, it comprises a complicated device for selecting the correct punches to be actuated according to real time.
Finally, it has a complicated and expensive arrangement of mechanism for movement from the entry-exit punching and to the next shift, such a machine therefore only suitable for recording the time of entry and exit. for a job.
One difficulty encountered in calculating time records manually from the printed record of the recording device is the common use of real time recorded in hours and fractions of hours, minutes or decimals, for example 8.30 12.45 , making an elapsed time of 4 hours and 15 minutes, which complicates subsequent calculations since they must be reduced to minutes for the calculation of the elapsed time.
The invention aims to remedy these drawbacks and the apparatus which is the subject thereof is characterized in that it comprises means for marking a card or pointing element similar to stations selected from among several stations arranged according to the at least three rows, a selector device arranged so as to cooperate with the marking means of each row, means for actuating the selector device comprising members for determining the position of this device with a view to actuating the marking means successive adjacent rows corresponding to minutes, tens of minutes and further in the decimal system up to at least hundreds of minutes,
a feeler device arranged so as to feel and engage in a positioning perforation made in the card in order to hold the card during the marking operation, and a device arranged so as to punch another perforation in the card positioning during actuation of the marking means, at a predetermined distance in front of the feeler device. The accompanying drawing shows, by way of example, an embodiment of the apparatus which is the subject of the present invention.
Fig. .1 is a perspective view of this embodiment.
Fig. 2 is a schematic view of a time card intended to be used in combination with the apparatus of FIG. 1.
Fig. 3 is a front view of the apparatus of FIG. 1. with the cover removed to show the interior layout.
Fig. 4 is a plan view of the apparatus shown in FIG. 3. Fig. 5 is a view from below of the apparatus shown in FIG. 3.
Fig. 6 is a side elevational view of the apparatus shown in FIG. 3.
Fig. 7 is a sectional view taken along line 7-7 of FIG. 4.
Fig. 8 is a view on a larger scale of a detail of the main actuating cam in the active position.
Fig. 9 is a sectional view taken along line 9-9 of FIG. 8 showing another position of the two cam parts and of the operating lever.
Fig. 10 is a detail view corresponding to FIG. 8 with the cam shown in the actuating position, the part of the main cam being shown in the disengaged position and the part of the free cam still maintaining the lever.
Fig. 11 is a sectional view taken along line 11-11 of FIG. 4.
Fig. 12 is an enlarged view of a series of punch selection lever assemblies showing in more detail the relative position of the actuating cams and the drive mechanism.
Fig. 13 is a side view of the device shown in FIG. 12 seen along line 13-13. Fig. 14 is a schematic view of a punch selection lever and cam device shown with part of the punches to illustrate the relative position when the select cam is in the selection position of a punch designating a five ( 5).
<B> fi-, </B> 15 is a schematic view corresponding to <B> fi-. </B> 14 showing the relative positions of the punch selection cams and associated levers when the punch cam selection actuates the selector levers to the position where a first punch indicating a five (5) and a second additional punch indicating a unit (1) is actuated, the reading of the desired punch being (6). Fig. 16 is a fragmentary plan view of the clutch control electromagnet and clutch on the punch actuator shaft.
Fig. 17 is an enlarged view of the punch actuator shaft clutch device showing the inner rotating part of the clutch released.
Fig. 18 is a view corresponding to FIG. 17 with the electromagnet arm shown in the active position disengaging the pawl from the outer part of the clutch so that it engages the rotating inner part of the clutch.
Fig. 19 shows the entire clutch from the outside as it would appear in the inactive position corresponding to FIG. 17.
Fig. 20 is another schematic view of the exterior of the clutch device in the actuating position corresponding to FIG. 18.
Fig. 21 is a schematic view on a larger scale illustrating in more detail the relative position of the safety rod electromagnet and the associated switch, these elements being shown in the active position with respect to a card.
Fig. 22 is a view corresponding to FIG. 21 with the feeler electromagnet shown in the disengaged position forcing the rod to be lifted out of contact with the card.
Fig. 23 is an enlarged view of the safety edge as it appears as it passes through the punched hole in a card.
Fig. 24 is an enlarged view of a detail showing a punch selection cam.
Fig. 25 is an enlarged view of a detail of a pinned gear wheel operating from the counter mechanism together with the punch selection cam.
Fig. 26 is a schematic view of part of the apparatus shown in FIG. 4 along line 26-26 showing in more detail the relative position of the control switches contacted by the passage of the card.
Fig. 27 is a view corresponding to FIG. 26 with the card shown in contact with the feeler rod operating in conjunction with the punch actuating mechanism.
Fig. 28 is a view on a larger scale of a detail of FIG. 27 showing the movement of the double acting pressure switch controlling the initial movement of the feeler rod mechanism which controls the movement of the punch actuating mechanism.
Fig. 29 is a view on a larger scale of the final switch over which the card passes when it is removed from the device with the switch shown in the active position.
Fig. 30 is an enlarged view of a detail showing the mechanism for lifting the card advancement rollers at the entrance to the card receiving gutter. Fig. 31 is a view corresponding to FIG. 30 with the advancement rollers shown in the upper or map displacement position.
Fig. 32 is a section taken on line 32-32 of a detail of FIG. 4 showing the assembly of the lever transmitting the movement of the roller lifting electromagnet to the card advancement rollers.
Fig. 33 is an electrical diagram of the apparatus with the main elements placed in the same relative position as in the actual construction.
A series of cards arranged for use in combination with the registration device are pre-punched with all classified information, such as employee number, occupation, rate and shift number. and any other indication relating either to the payroll or to the work assigned. These cards form the basis of a series of trump cards. Duplicate cards are automatically made from master cards for either daily or weekly recordings and in addition to the classified information which is pre-punched on the tabulator card, a tracking hole is punched with preferably in the upper margin of the card which corresponds to the rule on the card where the first recording will be made.
Fig. 2 shows, by way of example, a typical card.
This map is set to provide several spaced columns giving start and stop times so that employee hourly records can be indicated by punched holes as shown.
In a preferred construction, the punching apparatus is provided with series of five punches each adapted to punch in one of the five positions or stations in a vertical column of the card, these positions being able to be regarded as representing the five odd digits, 1, 3, 5, 7, 9. When it is desired to punch an even number a second punch in the column is actuated to indicate a unit (1) to be added to the punched odd number. For this purpose, hallmark nine (9) is chosen so that if nine is hallmarked along with another odd number, such as three (3), the result is four (4) but if only the nine is hallmarked, the result is nine (9). If no place is punched in a vertical column the zero is indicated.
For more details, reference will be made to the description which follows, entitled punch selection cams.
Accordingly, in the example card shown the indicated start time is 1457 minutes calculated from zero. The first off time (third column) is represented as 1517 minutes or sixty minutes later than the start time. The third record shows a total of 1557 minutes or forty minutes later than the first off time. The difference between the various columns will of course be the time elapsed or taken for a particular job by an employee.
The lower row of columns and punched records show the work figures given to the operation recorded above, which are also recorded by additional pre-set punches when the elapsed time is recorded. The work figures represented by following the same system are as follows: The first work figure corresponding to the starting time is 37, while the second corresponding to the first off time is 57. As will be understood the punching off gives in this case the starting time of the job 57 while the finished time of the job is represented by the second punching off which also gives the working figure 32 of the next job, etc.
The first row of holes indicated at A are those which serve to locate the card precisely in the device, the first hole B being punched in advance for this purpose and holes C, D and E being punched by the device successively at the correct intervals. The registration of the first hole B is of prime importance since it serves to initially register the card in the punching position with respect to the columns printed in advance on the card.
It will be understood that the card shown is given only by way of example and that other cards could be used having different column rulings.
With particular reference to FIG. 1 of the drawing the apparatus comprises an envelope or case 400 provided with a watch dial 402 representing real time. Inside the watch face 402 is mounted a digit indicator 404 indicating the elapsed time in minutes from date zero. The arrangement and construction of these elements will be described in more detail below. Operation <I> when inserting a card </I> The envelope or case (fig. 1) is provided with a card receiving slot 10 comprising an input tray <B> It </ B> and a card exit slot with an evacuation tray 13 leading respectively into and out of the housing.
The employee takes the prepared card, for example the one shown in FIG. 2, place it on the input plate 11 and insert it into the reception slot 10.
Referring to fig. 11, a base plate 147 with a side member <I> 147a </I> defines with a lower punch support plate 145 and a side plate <I> 147b </I> a space of defined fixed dimension which is seen from the end, in cross section in FIG. 11. The base plate 147 extends the entire length of the machine as shown in fig. 26.
The entry plate 11 and the receiving slot 10 (fig. 1) are placed in such a way that the insertion of the card into the receiving slot 10 brings this card onto the plate 147 and between the side member. 147a and the side plate 147b (fig. 11) which also extends over the entire length of the machine. The distance between the side member <I> 147a </I> and the side plate 147b is set exactly so that the card just passes between them without the possibility of side play. Thus the card is disposed in longitudinal alignment as it passes through the machine on base plate 147. This is essential to ensure the accuracy of the punching location required for subsequent use of the card in the card. a tabulator machine.
The cooperation of the base plate 147 with the side member 147a and the side plate <I> 147b </I> constitutes the card guide means referred to above.
The rollers which drive the card through the machine will be described. It will be noted that the receiving slot 10 formed in the housing 400 (FIG. 1) is placed in such a way that the card is out of reach (and therefore out of control) of the person handling the card, that is to say. - say of the employee, when the first rollers have driven the card forward to the position where it is punched. The card is pulled into the machine by the rollers rather than being forced into it by an employee. This prevents deformation of the card. It is necessary that the card is not deformed as this will result in incorrect registration during the punching operation.
As the card is completely inside the case during the punching operation, the employee cannot dispense the card during punching, which would result in an incorrect registration.
Thus the apparatus has the clear advantage of providing means (described below) by which the card, once inserted into the receiving slot, is automatically advanced, stopped in the correct position for the swimming punch, punched and ejected. <I> Coffee advancement mechanism </I> The entry of the card into slot 10 brings the leading edge of the card into engagement with a lever (fig. 26 and 27) placed on the path of the card. card and the pivoting of the lever driven by the card activates a microswitch 14.
The latter is connected to and controls a relay winding 13 (fig. 33) connected to an electromagnet 16 mounted on the lower part of the apparatus (see the plan view from below, in fig. 5). The plunger of the electromagnet 16 is pivotally connected to a lever 18 which is pivotally mounted about an axis 20. The other end of the lever 18 is pivotally connected to a bar 22 slidably mounted along the edge of the frame. the device.
The movement of bar 22 in turn acts on two pairs of levers 24, 24a, 26, 26a to raise or lower spaced pairs of card engagement rollers 28 and 30, bringing them closer and further away from corresponding pairs. fixed rollers 32, 34 mounted above the card guide means. Referring to Figs. 26 and 27, the rear lever of each pair is visible, with lever 24a on the left and lever <I> 26a </I> on the right. Referring to Figs. 30 and 31, we see the front levers 24. Rollers 28 and 30 are mounted on shafts 28a and 30a journaled in levers 24, 24a and 26, <I> 26a </I> respectively.
In the construction shown the levers 24, 24a, 26, 26a are disposed in spaced pairs adjacent the ends of the apparatus with a cross shaft 24x, 26x extending between each pair such that a front lever movement 24 or 26 adjacent to the sliding bar 22 is transmitted to the other lever of the pair (24a or 26a) between which the rollers are mounted. The front lever of each pair has one end pivotally connected to the frame of the apparatus and each is provided with a cam groove 24y, 26y into which a pin 23 (Fig. 30) fits. one is disposed adjacent to each end of bar 22.
Drive mechanism <I> of the rollers </I> Simultaneously with the closing of the microswitch 14 and also through the winding of the relay 13, another circuit is closed on the electric motor 36. A screw without end 38 (Fig. 7) is attached to the motor shaft 36 and meshes with a helical gear 40 mounted on a shaft 42 extending obliquely upward from the base plate of the apparatus. A bevel gear 43 is also fixed to the shaft 42 and meshes with a bevel gear 44 mounted on the end of a shaft 46 supporting the rollers 32.
A corresponding drive is applied to the rollers 34 by a shaft 67 and bevel gears 43a, 44a. The bevel gear 44a is connected to the shaft 46a of the rollers 34. The drive is transmitted from the shaft 42 to the shaft 67 by a helical gear meshing with a helical gear 68 of larger diameter. Another helical gear 66 is mounted on the end of shaft 67 and meshes with gear 68.
<I> card feeler mechanism </I> When the pairs of rollers 28 and 30 are lifted and the pairs of rollers 32 and 34 are rotated by the actuation of the switch 14, the card is engaged by the pairs of rollers 28 and 32 and moved forward in the card guide means described above, to a point where it contacts and lowers a toggle lever 50 pivotally mounted on the card path advancement as shown in fig. 26 and 27.
The depression of the lever 50 acts so as to close a microswitch 52 placed below the lever, with a view to closing an electrical circuit to an electromagnet 54 mounted on the upper part of the machine (see FIG. 11).
An armature 56 is mounted above the electromagnet 54 and a board feeler rod 58 is connected to the armature 56. When the electromagnet 54 is energized, the armature 56 is attracted, lowering the rod 58. meshed with the edge of the card. The length of the rod 58 is such that the armature 56 is prevented from being actuated along the full length of its stroke so that an elastic magnetic tension is maintained. When the rollers 32, 34 continue to drive the card forward, the end of the rod 58 marks the first row of holes A shown on the card of FIG. 2. The magnetic tension applied to the rod 58 causes it to drop into the hole made in the card as shown in FIG. 23 allowing the frame 56 to complete its stroke.
By moving in this way it releases an arm 79 of a switch 60 (figs. 21, 22 and 33) thereby opening the circuit of the electromagnet (fig. 5) releasing its armature, so that the lever 18 under the influence of a coil spring 19 moves the bar 22 in the opposite direction thus causing the pairs of rollers 28 and 30 to fall into the normal position so that the pairs of rollers 28 and 32 cease to act to advance the card now held against an advancing movement by the rod 58. The fall of the rollers instantly follows the marking of the hole by the rod 58.
It has been established that the safety edge is held by hand in a state of elastic magnetic tension during the time when it locates the first row of holes A shown in FIG. 2. This rod can be considered to be elastically electrically biased. It in fact constitutes an electrically actuated safety rod, mounted above the path of the card and arranged so as to be resiliently urged by a movement of bringing together and away from the card. The electrical stress gives the rod its sensitivity which is essential for its operation when probing a card.
This type of bias is greater than the ordinary spring bias which would tend to deform the circumference of the hole identified by the rod. Such distortion would result in inaccurate registration during the punching operation. The safety edge is actually resiliently biased in the direction of distance from the card, as will be described below. The elastic bias is only intended to keep the rod up against the force of gravity when the electromagnet 54 is not energized. It is the electromagnetic stress which has just been described which gives the rod its superior properties for feeling the card.
Deformation of the hole is further avoided by the fact that the feeler rod moves in a plane practically perpendicular to the plane of the card and by the conical end of the rod as shown in FIGS. 22 and 23. The tapered end also ensures correct centering of the rod in the hole and thereby the correct position of the card for punching.
The instantaneous release of the drive rollers at the end of the probing operation acts to prevent deformation of the hole which might otherwise occur if the card were pushed forward against the stop action of the probe. rod.
The microswitch 60 is bipolar and when it is actuated, it simultaneously opens the circuit for the electromagnet 16 and also closes a circuit of a clutch electromagnet 62 (fig. 16, 21 and 22). <I> Clutch mechanism </I> During this period, when the electromagnet is in a non-working position, the motor 36 (fig. 3 and 4) still runs and drives the shaft 42 This shaft, as has already been explained, drives the gears 64 and 68 (fig. 7). Gear 68 is mounted on a shaft 70 which is rotatably supported between bearings mounted on the top of the frame.
It will be noted that the motor 36 continues to drive the shaft 70 throughout the time that a card passes through the apparatus. With particular reference to Figs. 16-20, a clutch mechanism which will now be described, is driven by the shaft 70. A ratchet wheel 73 is attached to the shaft 70 so that it rotates continuously while the motor 36 is running. . The ratchet 73 is surmounted by an annular retaining pawl 76 which is pivotally mounted at 74a on another part 74 of the clutch. This part 74 is integral with a bearing 82 mounted on the shaft 70 in such a way that it is normally fixed when the shaft rotates.
The part 74 of the clutch comprises a notch 74b through which extends one end of a pin 76a of the pawl 76. The pivoting of the pawl 76 around the point 74a is thus limited by the contact made between the aforementioned end of the ankle 76a and the edges of the notch 74b. At this same ankle end 76a is fixed a coil spring 75 which extends around the bearing 82 and is fixed at 74c. Thus the pawl 76 is constantly pushed to pivot downwards around the point 74a.
The other end of the pin 76a extends to the other side of the pawl 76 and is normally retained and prevented from moving downward by the arm 72 forming a lateral extension of the plunger 71 of the clutch solenoid 62 When the pin 76a and the pawl 76 are held in this position (Figs. 17 and 19), the pawl cannot engage with the ratchet 73. When the pawl 76 pivots downward (Figs. 18 and 20) , it engages with the ratchet 73 and is then driven in rotation and turns the clutch part 74 thanks to its fixing at <I> 74a </I> and in contact with the ankle <I> 76a </ I > with the lower edge of the notch 74b.
When the circuit of the electromagnet 62 is closed by the microswitch 60, as described above, the plunger 71 and the arm 72 are withdrawn thus releasing the pin 76a. The pawl 76 then pivots down under the influence of the spring 75 as already described, engages the rotating ratchet 73 and the clutch part 74 (as well as the pawl 76) makes a full rotation.
During the first half of the revolution, the clutch operates the punching mechanism in the manner which will be described later. During the second half of the revolution, the clutch performs various functions which will be described, one of which is to interrupt the circuit of the electromagnet 62 thus allowing the plunger 71 and the arm 72 to be returned by the spring. 71a in their original (and normal) position. Thus, when the ankle 76a has rotated to its original position, it is engaged by the arm 72 and held against any further movement.
The clutch part 74 continues to rotate until the parts are in the relative positions shown in the fit. 19. At this time, the pawl 76 is lifted out of contact with the ratchet 73 and the movement of the pawl 76 and the clutch part 74 is limited to one full revolution.
<I> Mechanism </I> of actuation <I> of </I> punch With particular reference to figs. 11 and 16, a pressure arm 84 is mounted eccentrically on the bearing 82 such that during the first half of revolution of the clutch part 74 this arm descends and lowers a pressure plate 86 which is mounted to move d A resiliently biased sliding movement between pairs of vertical support legs 89 and 91. By lowering the pressure plate 86 acts on the punches arranged to perforate the card as will be described in more detail below. During the second half of the revolution, the pressure arm 84 and the plate 86 return to their original position.
<I> Second half of a </I> revolution <I> of the clutch </I> As shown in fig. 17-22, as the clutch portion 74 rotates with the pawl 76 the end of the pin 76a which normally engages the arm 72 engages a lever arm 78 pivotally mounted at a point designated 78a (Fig. . 22). This contact lifts the lever arm 78 so as to bring a pin 83 into contact with an arm <I> 85a </I> of a snap-action switch 85 (kick off). The switch 85 controls a circuit of an electromagnet 88 disposed below the lever 50 (see FIG. 27).
An armature 90 mounted on the electromagnet 88 is attracted by the excitation of the latter raising a projection 92 in contact with the upper arm of a latch 94 with two arms mounted to pivot and associated with the lever 50 so as to trigger the latch. 94 and disengaging the actuating arm of the switch 52 from the shoulder 94a, thus de-energizing the electromagnet 54 (fig. 21, 22). The de-energization of the electromagnet 54 releases the armature 56 so that it can move upwards to lift the safety rod 58 and move it away from the card.
The rod 58 is urged upwards by a spring 58a and is lifted mechanically by a projection 78b of the lever 78 which is arranged so as to engage with the frame 56 as shown in FIG. 22. Mechanical lifting is necessary to overcome any residual magnetism in the coil of electromagnet 54. Spring 58a then maintains rod 58 raised against the force of gravity. When the frame is thus raised in its upper position, the bipolar switch 60 is reversed by the arm 79.
An extension 57 mounted below the electromagnet 54 prevents the lever 78 from falling too far below the frame 76. Lifting the rod 58 out of the board frees the board for further advancement.
The punching operation having now been completed by the lowering of the plate 86 and that the card was to be released for a subsequent displacement, the aforementioned reversal of the switch 60 closes the circuit of the electromagnet thus acting. again to lift the pairs of rollers 28 and 30 into the position of engagement with the card. This reversal of the bipolar switch 60 simultaneously interrupts the circuit of the electromagnet 62 which stops the movement of the clutch as already described. <I> Card advancement (second stage) </I> When the card is advanced by the pairs of rollers 28 and 32, it is brought to a point where it is engaged by the second pairs of rollers 30 and 34 before leaving rollers 28 and 32.
Under the driving action of rollers 30 and 34, the card is then driven out of the receiving slot. The leading edge of the card after passing between the pairs of rollers 30 and 34 contacts and lowers a pivoting switch lever 98 which is mounted adjacent to a microswitch 96 which controls it. Referring to fig. 33, the switch 96 is connected in parallel with the start switch 14 actuated by the input of the card and is arranged so as to make contact before the switch 14 opens. As the board continues to advance, lever 98 is released operating switch 96 which opens the main control circuit, thereby restoring all circuits to normal.
Since either switch 14 or switch 96 was held closed until the card was ejected, motor 36 remained in operation during this time.
<I> Time recording and punch selection </I> The main control element of the machine described is constituted by a synchronous motor 100 (fig. 7) which acts as an adjustment device and which comprises a shaft. in drag 101 which makes one revolution per minute. A cam 102 is mounted on the shaft 101 and is in contact with the end of a lever 104 pivotally mounted as indicated at 106, so that during each revolution of the cam 102, the lever 104 lifts a pull rod. 108 (push-pull) of a usual counter 110 (see fig. 7 and 12). The lever 104 is biased by a coil spring 105 which keeps it in contact with the cam 102.
To prevent an impact to the cam 102, and to the shaft 101 by the contact of the end of the lever 104 with the cam 102, the latter comprises an additional part 103 mounted pivotably (fig. 8 to 10), which s 'spreads slightly behind the main cam surface to prolong contact between cam 102 and lever 104 preventing a sudden release as would occur with cam surface 102.
Counter 110 (Fig. 12) is of usual construction and an additional gear 112 is connected to each digit wheel. In the construction shown, counter 110 uses four (4) digits so that there are four wheels 112 arranged side by side.
For the sake of clarity of the drawing, however, FIGS. 12 to 15 only one imitated, it being understood that the other units are identical.
With particular reference to Figs. 12 and 13, each wheel 112 meshes with an intermediate wheel 114. In turn, each wheel 114 meshes with a toothed wheel 116. A cam 118 is mounted on a shaft common to each wheel 116 and the four cams control the selection of the punches. actuated by lowering the pressure plate 86. <I> Punch selection cams </I> Each cam 118, one of which is shown in detail in fig. 24, is intended to be used in conjunction with a card as shown in FIG. 2, and controls the selection of the particular punch of the row of punches with which it is associated.
When the switch 14 is closed by the insertion of a card, it also closes a circuit controlling an electromagnet 126 placed below the machine (see FIG. 5). When the electromagnet 126 is actuated, a pivoting elbow lever 128 is moved by the plunger of the electromagnet to apply tension to spaced springs 130. Each of the springs 130 is connected to one of the pivoting levers 132. arranged below the cams 118 in the punch selection device (see fig. 12 to 15).
The levers 132 thus energized are pivotally connected at one end to each of the levers 134 which are pivotally mounted in the alignment of the cams <B> 118. </B> A punch selection arm 136 is hinged to the cam. one end of each of the levers 134, the other end 138 being shaped to engage a selected one of the punch guide openings 143, of the top support plate 140, in the particular row of such punch openings associated with the particular lever 134 and the end 138. The selector arms 136 are guided and maintained in exact alignment during their movement back and forth by a grid 138a (Fig. 11).
The grid has four slots, one to accommodate each lever 136. The levers 134 and the arms 136 are biased by springs 136a, so that the ends 138 are normally removed as shown in FIG. 11 and pegs 139 are held out of engagement with the surfaces of cams 118.
The punches 142 are resiliently supported between upper and lower plates 140 and 145 in opening alignment 146 in a base plate 147 so that their upper ends extend normally into the openings 143.
The distance traveled by the selector arms 136 and the position of the apertures 143 selected depend on the relative position of the respective cams 118 contacted by plugs <B> 139 </B> provided on the levers 134.
Each cam 118 has five cam surfaces (Fig. 24) which determine the position of its selector arm 136 (Fig. 14). The uppermost cam surface is provided for the digits nine (9) and zero (0) and when the pin 139 contact of its cooperating lever 134 the hand holds the selector arm 136 in the retracted position in which it is. biased by the spring 136a between the guide plate 162 and the support foot 91 (see FIG. 11).
In this position, the end 138 of the selection arm 136 is out of alignment with one of the punches 142 and will not be touched by the descent of the plate 86, the central part of which is cut at this position. Thus the uppermost surface of the cam 118 does not allow any operation of the punches 142 associated with this cam. The other four cam surfaces control the selection of punches 142 as already described.
Another selector gear 120 (Figs. 12 and 25) meshes with and is also driven by each gear 114, each gear 120 being arranged to act on a lever 122 by the contact of separate pins 121 protruding from each other. from the surface of the gear. In the construction shown in detail in FIG. 25, there are five (5) pegs placed on gear 120 in such a way that they engage with lever 122 (see fig. 14) when cam 118 is in the position corresponding to 2, 4 , 6, 8 and 9. There is no peg of zero, 1, 3, 5 or 7.
When one of these pins is engaged with its cooperating lever 122, the latter pivots and advances a rod 160 which is supported in a guide plate 162 fixed to the plate 86 (see <B> fi-. </B> 14 and 15). When a cam 118 is in the position of an odd number except 9, the pins of the gear 120 are not in a position to come into contact with the lever 122 (fig. 14) and therefore the rod 160. is not advanced to force the punch 164 to act.
When the end of a rod 160 is advanced via one of the pins 121 of the gear 120, it causes the lowering of a punch 164 when the plate 86 descends. Referring to Figs. 26 and 27, the end of arm 84 is pivotally connected at 84b to a <B> U </B> shaped foot 84a which is attached to plate 86. The upper ends of punches 164 extend in the cavity inside the foot 84a (Fig. 26) with sufficient play so that when the arm 84, the foot 84a and the plate 86 descend, none of the punches 164 are lowered.
When removed the ends of the rods 160 extend inside the foot cavity 84a but are not extended enough to take a position on the punches 164. If however one of the rods 160 is advanced as described. above, its end assumes a position over the top of its corresponding punch 164. As foot 84a descends and lowers plate 86, the downward movement of this plate is imparted to all rods 160 but only those the ends of which have been advanced on their corresponding punch 164 cause the lowering of this punch. Fig. 27 shows one of the punches 164 lowered in this manner.
Although this is not shown in Figs. 26 and 27 it is desirable to have the side of the cavity formed in the foot 84a adjacent to the guide plate 162 in the form of four vertical slots each disposed in alignment with one of the punches 164 and the corresponding rod. laying 160, the height of each slot being such that all the rods are lowered each time the foot 84a and the plate 86 are lowered. Each slot should preferably be of just sufficient width to accommodate its corresponding rod thus ensuring the correct alignment of each rod with respect to its corresponding punch.
One of the punches 164 is adapted to punch a new one (9) and when it is lowered it punches the card. This action takes place simultaneously with the lowering of the punches 142.
The selection of the punches 142 by the cams 118 takes place only when the electromagnet 126 exerts a tension on the springs 130 while the selection of the punches 164 is done continuously. When the electromagnet 126 is not actuated, springs 136a keep the pins 139 out of engagement with the cams <B> 118 </B> and keep the ends 138 in the position shown in FIG. 11.
The selection of odd and even digits will now be described with reference to FIGS. 14 and 15. In Figure 14 the lever 134 has been rotated by the lever 132 so that the pin 139 is in contact with the cam 118. As this cam is rotated by the time recording mechanism, it is in a position. corresponding to an odd number, in this case a five (5). As a result, the punch selector arm 136 is advanced one point through movement of the lever 134 with the end 138 aligned with the punch opening 143 corresponding to a number five punch (5). .
Since the cam <B> 118 </B> is in position for an odd number five (5), the pins of the sprocket 120 are not in position to contact the lever 122 and, therefore, the rod. 160 is not advanced. When the plate 86 is lowered, the punch five (5) alone will be actuated since the rod 160 is spaced from the punch 164 of the new one (9).
In fig. 15, the cam 118 is in a position indicating an even number, in this case a (6) so that while the selector arm 136 is brought into the same position as that shown in FIG. 14, the toothed wheel 120 has moved to a position where a pin engages with the lever 122 so that the rod 160 is in position to cause the punching of a new one (9). Therefore, referring to fig. 2, one (5) is punched and also one (9) is punched into the card.
In this case, as already explained, the (9) serves as a unit (1) so that (5) and (1) are punched, giving the correct reading of a (6).
It is obvious from the foregoing that when one of the cams 118 is in the position of zeros (0), no punch is actuated and the particular column (fig. 2) in question registers a zero (0). by the fact that it has not been punched. <I> Additional <I> punching </I> device </I> To ensure the correct alignment and correct spacing between each punching of the card, it is necessary, as explained previously, to punch an additional hole along of the card margin in front of the pre-punched director hole for consecutive recordings.
This is accomplished by a separate punch 144 mounted between the upper and lower punch support plates 140 and 145 with the upper end protruding into a position to contact the plate 86 (see Fig. 15). This hole punched in the margin of the card by the punch 144 will be the hole felt or felt by the rod 58 during the next insertion of the card into the device.
The distance between the center of the hole in the plate 147 through which the safety edge 58 passes when registering and passing through a registration hole in the card and the center of the hole in the plate 147 into which a punch 144 passes when punching a next registration hole, this distance is therefore a critical distance. There should also be a close tolerance between the feeler rod and its hole in the base plate and punch 144 and its hole in the base plate to prevent movement of either the rod or the punch which could cause variation. in the critical distance between the holes.
Only by maintaining this distance exactly can an exact record of the following punches be maintained. Any errors on this side would tend to accumulate if the punching operations were repeated and would render the card inoperative in a tabulator.
Any marking perforation must of course be punched in advance in line with the safety edge intended to feel it during the next insertion of the card into the device. However, the invention relates to more than one row of cooperating sensor rods and punches 144 and the selective actuation of the sensor rod or punch 144 of a required row. In order to punch working figures as shown on the map of <B> fi, -. </B> 2, removable punches 150, <B> 152 </B> (fig. 6 and 11) are placed in the desired sequence between the pressure plate 86 and the upper punch support plate 140.
The upper ends of the punches 150, 152 extend above the plate 86 where they are retained by a plate 154 held in relative position with respect to the plate 86 by a thumb screw 156 (Fig. 6). By loosening screw 156, plate 154 can be rotated and punches 150, <B> 152 </B> placed in any desired position (see fig. 5) to locate a particular job or situation.
It is also to be considered that the selection of these work indicator punches is carried out automatically, for example, by a push-button or telephone-type dial control in combination with punch selection elements similar to those. described in the device. <I> General arrangement </I> The watch located behind dial 402 (figures 1 and 6) is of the usual synchronous type, connected to a main adjustment motor 100.
Recorder 404 shows the recorded digits of the wheels of counter 110 which is connected to this recorder by suitable gears and by a flexible shaft 405 (fig. 6) so that the reading on recorder 404 is directly related. with the position of the cams 118. Alternatively, the recorder can be arranged as an electric meter associated with the pulse lever arm 104 (see fig. 7). <I> Electric circuit </I> So that the whole of the electric circuit by means of which the various elements are controlled is clearly understood, reference will be made in particular to the diagram of fig. 33.
A line 200 and a line 201 are intended to be tuned to an appropriate energy source. Line 201 is connected to the initial microswitch 14 under the control of lever 12 over the path of the inserted card, so that closing switch 14 establishes contact with relay winding 13. The circuit is then closed on line 200. Actuation of relay 13 closes contacts 213 and closes a circuit via line 201 to drive motor 36 and from contact 213 to line 200. This relay contact 213 also closes a circuit on the electromagnet 26 of the punch selector, via line 201, contact <B> 213 </B> and line 200.
In addition, the closing of the contact 213 also closes a circuit actuating the electromagnet 16 for lifting the rollers via line 201, the switch 60 controlled by the contact spring 79, the switch 60, the winding of the electromagnet. 16, relay contacts 213 and line 200.
When the drive motor 36 is actuated, the card is driven forward by the advancement rollers so as to come into contact with the lever 50 closing the switch 52, to close the circuit of the electromagnet 54 probe by the line 201, the winding of the electromagnet 54, and the switch contacts 53. As described previously, the partial actuation of the electromagnet 54 causes the descent of the safety rod 58 and applies a slight pressure on the margin from the menu. When the card is driven forward, the rod 58 faces the first of the perforations aligned in the margin of the card and passes through this perforation.
The safety rod then descends its entire length by the action of the electromagnet 54 so as to release the spring 79 interrupting the contact of the switch 60 which opens the circuit controlling the electromagnet 16. The rollers are thus released. prevent any subsequent movement of the card. During the entire travel of the rod 58 and the associated armature 56 by the electromagnet 54, the spring 79 closes the circuit of the clutch electromagnet via the lower contact 61 of the switch 60, in passing through line 201, contact 61, winding of electromagnet 62 and line 200.
As already described during the operation of the clutch solenoid 62, the clutch makes one complete revolution lowering the punch pressure plate for a half turn due to the eccentric mounting of the arm 84. During the last half turn the peg 76a of the clutch engages with lever 78 at point 78a bringing pin 83 into contact with contact 85a of switch 85 which momentarily closes said contact. This has the effect of actuating the electromagnet 88 bringing the projection 92 of the armature into contact with the latch 94 which releases the switch contact 53, thus de-energizing the electromagnet 54.
As already described, the armature 56 of the electromagnet 54 is at this moment mechanically lifted by the lever 78 in its original position which reverses the switch 60, interrupting the circuit to the clutch electromagnet 62 and closing again. The circuit to the electromagnet of the rollers 16 via line 201 by means of arm 79 of switch 60, via electromagnet 16, relay contact 213 and the return to line 200.
When the rollers, under the influence of the electromagnet 16, push the card forward again, the leading edge thereof comes into contact with the lever 98 controlling the switch 96 closing the contact 96a. Since switch 96 is connected in parallel with switch 14 and is closed before the latter opens, the circuit of motor 36 is maintained until the card is ejected by the rollers and released from lever 98. As soon as switch 96 is released, relay circuit 13 is opened, thereby returning all circuits to their normal position.
The apparatus described simplifies the calculation of hours and minutes by means of the system of one-minute periods, these periods starting from zero to a predetermined time in a calendar year or a fiscal year, the apparatus being able to be arranged to be reset to zero each day at the start of the official initial time in the morning; alternatively, the pendulum can be arranged to run continuously from midnight on December 31 and reset at the end of a period of one year. Or it can run continuously year after year without having to be readjusted.
On the other hand, the apparatus described makes it possible to have a uniform time for recordings neglecting the different time zones. For example, December 31st would be Greenwich Mean Time zero and all hourly records made on the time card would be based on Greenwich Mean Time in any part of the United States or Canada. Adjustable means could be provided to represent local time in any area in addition to the base Green wich time. The advantage of using this system is the convenience of reading or interpreting hourly recordings from anywhere in the country, for example, a recording that is made simultaneously in New York City and a other in Vancouver.
The hourly recording would be the same, ie for any particular period of time. Although the Greenwich Mean Time has been mentioned, it will be understood that any other time base can be used and one of the two hour hands of the recording clock can be adjusted to accommodate the difference. schedule according to the locality in which the clock is used.