Nouvelle-Calédonie | |
Information | |
Pays | France |
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Superficie | 18 576 km² |
Population | 278 500 hab. () |
Densité | 14,99 hab./km2 |
Autre langue | Français (langue officielle), 33 langues mélanésiennes-polynésiennes |
Religion(s) | |
Électricité | 220 V / 50 Hz / Europlug, Schuko |
Code postal | 988* |
Préfixe téléphonique | +687 |
Suffixe Internet | .nc |
Fuseau | UTC+11:00 |
Localisation | |
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Site officiel | |
Site touristique | |
La Nouvelle-Calédonie est une collectivité d'outre-mer de la France, située en Mélanésie dans l'océan Pacifique, au nord-est de l'Australie et au sud-ouest de Vanuatu.
Comprendre
[modifier]Allez à l'office de tourisme avant de partir en tribu parce que vous ne risquez pas d'en trouver là-bas. Ils peuvent ressembler à tout et n'importe quoi et ne sont pas toujours indiqués, utilisez une carte. Les Musées de Nouméa ne sont pas les seuls endroits à visiter. Pour mieux connaitre l'histoire et le mode de vie des populations, les communes abritent aussi des musées ou des centres culturels comme le musée de Bourail, le musée de la mine de Thio, le Fort Teremba à La Foa, l'écomusée du café de Voh, le centre culturel de Voh ou de Hienghène.
De façon générale, les plages sont jolies et agréables. On peut aller sur des îlots en taxiboat c'est très sympa
Géographie
[modifier]La Nouvelle-Calédonie est divisée administrativement en trois provinces :
- La province Sud, couvrant le sud de la Grande Terre, la plus peuplée.
- La province Nord, couvrant le nord de la Grande Terre et les îles Belep, la plus grande.
- La province des îles Loyauté, la plus petite et la moins peuplée, constituée des iles de Lifou (chef-lieu administratif), Maré, Ouvéa et Tiga.
Climat
[modifier]Cet archipel a un climat tempéré de type subtropical océanique.
La Nouvelle-Calédonie est dans la zone intertropicale ainsi il n'y fait jamais trop chaud, ni trop froid.
Il y a quatre saisons en Nouvelle Calédonie selon la pluviométrie et deux selon la température.
deux saisons sèches; une grande (septembre à novembre) et une petite (avril-mai)
deux saisons pluvieuses; une grande (décembre-mars) et une petite (juin-août).
La saison chaude dure un peu plus de 4 mois, de décembre à mi-avril, avec des températures allant de 25 à 30 °C. Il y a des risques de cyclones à cette saison. La saison chaude "fraiche" s’étend elle de mi-mai à septembre.Les températures s´élèvent alors de 20 °C à 23 °C le jour.
Histoire
[modifier]Il y a 5 000 ans, des habitants du littoral de la Chine du sud, cultivateurs de millet et de riz, commencent à traverser le détroit pour s'installer à Taïwan. Vers 2000 av. J.-C., des migrations ont lieu de Taïwan vers les Philippines. De nouvelles migrations commencent bientôt des Philippines vers Sulawesi et Timor et de là, les autres îles de l'archipel indonésien. Vers 1500 av. J.-C., un autre mouvement mène des Philippines en Nouvelle-Guinée et au-delà, les îles du Pacifique. Les Austronésiens sont sans doute les premiers navigateurs de l'histoire de l'humanité.
Comme l'attestent des fragments de poterie Lapita retrouvés, les premiers habitants de la Nouvelle-Calédonie auraient posé le pied sur le territoire il y a environ 3 000 ans. On appelle Lapita la période de 1300 à 200 av. J.-C. C'est à Koné sur la côte ouest de Grande Terre que furent découverts les premiers vestiges de la civilisation Lapita. Selon l'archéologue Christophe Sand : « si les Lapitas sont bien les ancêtres des Kanaks, leur culture n’était pas du tout la même, ce qui n’est pas non plus facile à admettre ».
Durant la période suivante, Naia Oundjo, ce qui est appelé aujourd'hui la culture kanake commence à se différencier des autres cultures mélanésiennes, elles aussi issues de cette migration austronésienne. Ils maîtrisent l'art de la pierre polie, et fondent leur civilisation sur la culture de la terre (principalement ignames et taros) et une organisation sociale basée sur une structure clanique. Lors de rituels guerriers, des clans pratiquent aussi l'anthropophagie.
Le , l'enseigne de vaisseau James Colnett aperçoit à l'horizon une terre inconnue. Il se trouve à bord du bâtiment commandé par le navigateur et explorateur anglais James Cook. Cook baptise cette terre New Caledonia en l'honneur de l'Écosse. En effet, on dit que l'aspect des côtes lui aurait rappelé cette région de Grande-Bretagne, dont le père de Cook est originaire. Caledonia est l'ancien nom latin de la province correspondant à l'Écosse britannique.
Il est probable qu'en 1788, l'expédition française conduite par La Pérouse reconnaît la côte Ouest à bord de L'Astrolabe et de La Boussole, juste avant de sombrer dans un naufrage sur le récif de Vanikoro aux Îles Salomon. En 1793, le contre-amiral français Antoine Bruny d'Entrecasteaux, parti en 1791 à la demande de Louis XVI pour retrouver La Pérouse, passe au large de la Nouvelle-Calédonie, reconnaît la Côte Ouest de la Grande Terre et se serait arrêté notamment aux Îles Loyauté. Néanmoins, on attribue la découverte de ces dernières à l'explorateur français Jules Dumont d'Urville en 1827 qui fut le premier à les situer précisément sur une carte.
À partir de 1841, des missionnaires commencent à venir s'installer. Du côté catholique, des frères maristes, menés par Monseigneur Douarre qui est nommé vicaire apostolique de Nouvelle-Calédonie, s'installent tout d'abord à Balade en 1843, mais là encore les missionnaires sont chassés en 1847 avant de pouvoir revenir, et de façon durable, à partir de 1851.
Les deux organisations missionnaires, pour assurer leur assise sur l'archipel, en appellent alors aux deux puissances européennes susceptibles de les aider: les protestants au Royaume-Uni et les maristes à la France. La Nouvelle-Calédonie est finalement proclamée colonie française à Balade le par le contre-amiral français Febvrier-Despointes. En fait, c'est Edmond de Bovis qui mènera l'opération car l'amiral, fort malade, ne quitte guère son carré.
Le , les militaires français fondent au sud-ouest de la Grande Terre Port-de-France pour servir de chef-lieu à la colonie, simple garnison qui deviendra rapidement une petite ville et prendra le nom de Nouméa le .
Après la Commune de Paris, la Nouvelle-Calédonie sert de lieu de déportation pour de très nombreux anciens communards condamnés par les conseils de guerre mis en place par le gouvernement d'Adolphe Thiers.
À la fin du XIXe siècle et au début du XXe plusieurs tentatives de colonisation sont des semi-échecs.
En 1931, des Kanaks sont exposés, dans un enclos de cases, au Bois de Vincennes, à l'occasion de l'exposition coloniale de Paris.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le ralliement de la Nouvelle-Calédonie à la France libre intervient dès 1940. La Nouvelle-Calédonie devient à partir du une importante base arrière américaine dans la guerre contre le Japon, d'ailleurs la flotte américaine composée de l'USS Enterprise qui se dirigeait vers Guadalcanal avait séjourné à Nouméa.
Après la guerre, la France abandonne le terme de colonie, abolit le code de l'indigénat. En parallèle, le Territoire connaît une croissance économique rapide et importante grâce à l'exploitation de « l'or vert » : c'est le « boom du nickel », la Nouvelle-Calédonie devenant alors le troisième producteur mondial.
Les années 1980 voient les tensions entre opposants et partisans de l'indépendance atteindre leur paroxysme, les affrontements dégénèrent bientôt en insurrection quasi généralisée durant la période dite des « événements » (1984-1988). La violence culmine en 1988 avec la prise d'otages d'Ouvéa.
Cet épisode pousse les deux camps et leurs dirigeants à négocier. Les négociations aboutissent à la signature des accords de Matignon le prévoyant la mise en place d'un statut transitoire de dix ans devant se solder sur un référendum d'autodétermination pour que les Calédoniens se prononcent pour ou contre l'indépendance. Cet accord est complété par l'accord de Nouméa du qui prévoit une autonomie forte et repousse le référendum final sur la question de l'avenir institutionnel (indépendance ou maintien au sein de la République française) entre 2014 et 2018. En cas de vote négatif, un second, puis éventuellement un troisième référendum pourront être organisés. À l'issue de votes toujours négatifs, un nouvel accord sera négocié.
Population
[modifier]Afin de garantir l'égalité de ses citoyens, la Constitution française établit qu'aucune distinction ne doit être faite entre les Français en fonction de leur origine ethnique ou de leur religion . C'est pourquoi lors du recensement de 2004, la question sur l'origine ethnique des répondants a été supprimée. Mais par dérogation, la CNIL (Commission nationale de l'informatique et des libertés ) a autorisé que l'origine ethnique des Néo-Calédoniens soit mentionnée dans le recensement de 2009 « pour des raisons d'intérêt général, compte tenu des caractéristiques sociodémographiques ». du territoire de la Nouvelle-Calédonie".
La vie politique est délicate en raison de la diversité ethnique et de son influence possible sur les futurs référendums sur l'indépendance . Selon l'Institut de la Statistique et des Études Économiques (ISEE) de Nouvelle-Calédonie, les données disponibles au 6 août 2010 proviennent des statistiques de 1996 et reflètent le sentiment d'appartenance à une communauté ethnique donnée. :
- Population d'origine mélanésienne : 44% du total.
- Population d'origine française (surnommée Caldoches ) : 34,1 %.
- Population originaire de Wallis et Futuna : 9%.
- Population originaire de Tahiti : 2,6%.
- Population originaire d' Indonésie : 2,5%.
- Population originaire du Vietnam : 1,4%.
- Population originaire de Vanuatu : 1,1%.
- Autres : 5%.
Il existe un contingent de personnes qui viennent de métropole pour travailler un ou deux ans, ou qui viennent en Nouvelle-Calédonie pour s'y installer indéfiniment. Les recensements de population sont extrêmement critiques pour l’équilibre des pouvoirs sur le territoire. Le taux de croissance de la population s'est ralenti au cours de la dernière décennie, en raison notamment de la baisse des arrivées de Français de métropole , mais aussi en raison de la stagnation des naissances : la population des îles a augmenté de 2,6 % de 1989 à 1996. , et 1,9% de 1996 à 2004. En effet, la structure de la population selon le lieu de naissance montre qu'en 1976 74,6% de la population est née en Nouvelle-Calédonie, alors qu'en 2004 ce chiffre était d'environ 76,8%. Le taux de natalité (1,7 en 2007) est supérieur à celui enregistré en France (1,3). Selon le recensement de 2009, la population s'élève à 245 580 habitants (230 789 en 2004 et 196 836 en 1996).
Selon les données recueillies en 2004, 71,2% des habitants vivent dans la province Sud, où se situe la capitale Nouméa, 19,3% dans la province Nord et 9,6% dans la province des Îles Loyauté. En 2012, on estimait que cinq des villes néo-calédiennes comptaient plus de 10 000 habitants. Il s'agissait de : Nouméa (106 105 habitants), Mont-Dore (27 909), Dumbéa (24 852), Païta (17 483) et Lifou (10 616). Selon les données de l'aéroport , entre 1 000 et 5 000 Français métropolitains arriveraient chaque année. Ces données sont controversées, en particulier parmi la population autochtone.
Régions
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Villes
[modifier]- 1 Nouméa – Capitale de la Nouvelle-Calédonie et de la province du Sud.
- 2 La Foa (Foha) – commune connue pour son festival annuel de cinéma et ses activités touristiques
- 3 Bourail (Bu Rhaï) – ville connue pour son bonhomme en bord de mer, aussi appelé la Roche Percée.
- 4 Hienghène (Hyehen) – village connue surtout pour sa poule "la poule de Hienghène".
- 5 Koné (Koohnê) – Capitale de la province nord.
- 6 Koumac – lieu de foire, de rencontre de tous les Calédoniens, spécialement ceux du nord de l'île.
- 7 Tontouta (5) – Lieu-dit faisant partie de la commune de Piata où se trouve l'aéroport international.
- 8 Ouégoa (Wégoa) – village possédant le plus grand fleuve de Nouvelle-Calédonie "le Diahot".
Autres destinations
[modifier]- Voir aussi : Patrimoine mondial en Nouvelle-Calédonie
Aller
[modifier]En avion
[modifier]Le seul aéroport international de l'île est celui de La Tontouta, à environ 45 km de Nouméa. Il est desservi localement (Aircalin) et internationalement depuis / vers les îles du Pacifique dont
- l'Australie : Brisbane (2 h 30), Sydney (3h), Melbourne (4h),
- la Nouvelle-Zélande : Auckland (4h),
- le Japon : Tokyo (9h),
- la France, Paris (au moins 25h),
- la Polynésie française : Papeete (6h),
- les îles Fidji (2h)
- les Vanuatu (1h)
- Wallis-et-Futuna (3h)...
Hors-taxe au départ : les achats (alcools, parfums, etc) en boutique duty-free d'aéroport, doivent être sous scellés pour ne pas être confisqués lors d'une éventuelle correspondance.
Bagage supplémentaire (en supplément des bagages autorisés sur le(s) vol(s)) au départ : taxe forfaitaire de 200 euros par bagage.
Les autres aéroports, comme celui de Nouméa-Magenta, assurent uniquement les liaisons intérieures :
- Province Nord : Hienghene, Bourail, Koumac, Touho, Bélep...
- Province des îles Loyauté : Lifou, Maré, Ouvéa, Tiga...
- Province Sud : île des Pins...
En bateau
[modifier]Il n'existe plus de lignes régulières internationales, mais le port de plaisance de Nouméa est ouvert à tous les marins de l'océan Pacifique.
Des croisières internationales font escale dans divers ports de Nouvelle-Calédonie.
Dans chaque port, des services sont assurés, dans la mesure du possible, vers les îles ou îlots.
Circuler
[modifier]En avion
[modifier]Aircalin (Air Calédonie International)
En transport en commun
[modifier]Transport interurbain
[modifier]Les cars du réseau RAI qui quittent le terminus de la Moselle pour les différentes communes de Brousse.
Transport du Grand Nouméa
[modifier]Réseau Tanéo.
En voiture
[modifier]Appartenant à la France, la Nouvelle-Calédonie est soumise au code de la route de la Nouvelle-Calédonie et le code de la route national dans sa version applicable en Nouvelle-Calédonie, aussi bien sur le plan législatif qu'au niveau de la signalisation routière qui lui est parfaitement semblable. La limitation de vitesse sur les routes est de 110 km/h. Les plaques d'immatriculation présentent aussi un caractère similaire à celles de la métropole, mis à part un système qui leur est propre.
Les permis de conduire émis par la France métropolitaine et ceux de la communauté européenne sont reconnus, mais il faut se procurer le permis de conduire international si l'on provient d'un état tiers. Le parc automobile est essentiellement représenté par les plus grandes marques européennes et asiatiques.
Les routes sont pour la plupart praticables en voiture et en majeure partie d'un état convenable. Les routes nationales portent le préfixe RT (route territoriale...).
Les principales agences de locations se trouvent à Nouméa. Les calédoniens de souche sont réputés pour être friands de 4X4.
Parler
[modifier]La langue officielle de Nouvelle-Calédonie est le français. Il est parlé dans toute l'île.
Il existe en parallèle 28 langues vernaculaires, parlées par le peuple kanak sur l'île, auxquelles s'ajoutent 11 dialectes. Le nombre de locuteurs est très variable, de 35 pour le arhâ, à 11338 pour le drehu.
Certaines de ces langues, dont le drehu et le nengone font l'objet d'un enseignement dans l'enseignement secondaire ou supérieur.
Le français de Nouvelle-Calédonie, ou parler calédonien ou caldoche comporte un accent caractéristique et des expression propres.
Acheter
[modifier]Monnaie
[modifier]Le franc Pacifique, également connu sous le nom de franc CFP, est la monnaie qui a cours dans les collectivités françaises de l’océan Pacifique : Nouvelle-Calédonie, Polynésie française et Wallis-et-Futuna. Le francs CFP s'écrit en abrégé en f ou Fcfp, et son code ISO est XPF.
Les pièces sont de 1 XPF, 2 XPF, 5 XPF, 10 XPF, 20 XPF, 50 XPF, 100 XPF Il existe des billets de 500 XPF, 1 000 XPF, 5 000 XPF, 10 000 XPF
Le taux de change du franc CFF était de 100 XPF = 5,50 FRF ce qui donne une parité fixe avec l'euro de
- 1 000 XPF = 8,38 €
- 1 XPF = 0,00838 €
- 1 € ≈ 119,3317 XPF
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Manger
[modifier]De nombreux restaurants et autres cafeterias aux goût d'exotisme vous accueillent à bras ouverts.
Nouméa recèle également de nombreux restaurants proposant des spécialités étrangères, surtout japonaise et vietnamiennes.
Lors de vos excursions dans la province Nord, un grand nombre de gîtes vous proposeront de la nourriture locale à base de poisson (Salade Tahitienne à base de 'Perroquet 'ou Merlan la plupart du temps), langouste, bénitier, igname, papaye,la fameuse Noix De Coco, Oignon Vert(Aillé calédonien)
Sur la route, de nombreux stands vous proposent des fruits frais, banane, mangue, ananas, litchi selon la saison, noix de coco... (si le vendeur n'est pas là, les prix sont indiqués sur le stand : prenez votre fruit et laissez l'argent dans la caisse)
Le cerf (abondant sur l'île) est également un plat courant.
Se loger
[modifier]Les tarifs hôteliers demeurent élevés, à l'instar du coût de la vie général.
Possibilité d'hébergement en gite en dehors de Nouméa, meilleur marché.
Les Provinces et l'Office du Tourisme de Nouméa publient chaque année un livret d'information sur l'hébergement et la restauration, en français et anglais :
- hôtels,
- résidences de tourisme, en hôtellerie indépendante,
- meublés, pour un maximum de 25 personnes, gîtes, bungalows...
- beds and breakfasts, pour un maximum de 15 personnes,
- accueils en tribu,
- campings, simples ou améliorés,
- séjours à la ferme,
- restaurants,
- tables d'hôte,
- cafés, snack-bars,
- transports (avion, bus, bateau, taxi, location, transfert…)
Travailler
[modifier]Il y a plus de difficultés qu'en métropole pour trouver du travail.
Fêtes et jours fériés
[modifier]En Nouvelle-Calédonie, les fêtes sont nombreuses, particulièrement en dehors de Nouméa :
- foire de Koumac en septembre, fête de la génisse en avril,
- foire de Bourail en août,
- fête du mwata à Pouebo,
- fête du Diahot en mai, et du cheval en novembre, à Ouégoa,
- fête du cerf, de la crevette, du poussin et de l'écrevisse à Boulouparis,
- à Dumbéa, fête de l'omelette géante en avril,
Noël rime souvent avec canicule, pourtant à cette occasion des décorations de Noël sont exhibées dans Nouméa, et certaines maisons sont abondamment illuminées. Les pins colonaires (Araucaria columnaris) sont parfois utilisés comme sapins.
Communiquer
[modifier]Les réseaux téléphoniques traditionnels fonctionnent en Nouvelle Calédonie avec les mêmes normes qu'en France (continentale). Le réseau GSM est maintenu par l'OPT (l'Office des Postes et Télécommunication) sous le nom commercial "Mobilis",le réseau peut se nommer "Mobilis","Mobilis NC" ou "MNC". Un service 3G/4G est aussi disponible mais déconseillé, pour son actuel mauvais rapport qualité/prix.
- OPT
Internet est disponible avec l'ADSL à des prix assez élevés par rapport à la métropole. Les tarifs à jour sont disponibles sur les sites des différents opérateurs :
- MLS
- CANL
- Lagoon
- Nautile
Par comparaison,
- Lagoon est dernier : employés non aimables, peu de magasins, bugs fréquents, mais vidéos à la demande (à prix élevé),
- Can'l : débit très faible,
- Mls : débit acceptable,
- Nautile est premier : Magenta Rue montante, à côté de la Société Générale (grand parking gratuit)), personnel aimable, réseau fiable, tarifs très compétitifs.
En télévision : Canalsat et Canal+, dont le service retransmet la télévision des autres pays à l'heure à laquelle elles doivent normalement être affichées (décalage horaire). Le service GO TV (télévision par Internet) est depuis peu mis à disposition des calédoniens.
- GOTV
Gérer la quotidien
[modifier]Santé
[modifier]Tous les villages disposent d'un dispensaire et d'une pharmacie. Les importants établissements hospitaliers sont situés à Dumbéa, Koumac et Nouméa. Par ailleurs, à Nouméa, exercent plusieurs dentistes, docteurs, kinésithérapeutes, gynécologue etc. ainsi que, vers le nord, des dentistes à Koumac et Koné.
Sécurité
[modifier]Numéro d'appel d'urgence : Police : 17 Ambulance : 15 Pompier : 18 |
Depuis de nombreuses années, on déplore pas mal de dérapages en tout genre.
Des bagarres d'ordre ethnique ont toujours lieu, surtout lors de fêtes alcoolisées. Il est prudent de ne pas exhiber sa richesse, bien que la Nouvelle-Calédonie ne soit pas économiquement pauvre en soi. Ne rien laisser en vue dans les voitures, surtout à Nouméa.
Conseils gouvernementaux aux voyageurs
[modifier]- Canada (Gouvernement du Canada)
Respecter
[modifier]L'accueil en tribu est une tradition.
Certaines coutumes sont à respecter, notamment le geste d'arrivée. Il est d'usage d'offrir un cadeau à l'habitant qui vous accueille (tissus, nourriture, autre). La coutume consiste à demander à être accepté, grâce à cette offrande, et cette acceptation passe par un discours de la personne qui est autorisée à donner cet accord, le maire, un groupe d'anciens, ou la personne responsable (à ce moment) de la maison ou du village.
Il faut effectivement offrir des morceaux de tissus de "robe mission" (tenue répandue chez les femmes kanak, qui est une robe à manches courtes et descendant jusqu'aux chevilles) en témoignage de respect sous peine d'être banni. Mais ceci se passe uniquement en tribu (pas dans un camping entièrement géré par une tribu Kanak par exemple).
L'exemple de la plage du billet de 500 F est le parfait contre-exemple.
Problèmes juridiques
[modifier]Liste des experts reconnus par la Cour d'Appel de Nouméa, version 2002, mise à jour 2015 : le PDF (https://www.ca-noumea.justice.fr/images/stories/experts.pdf) signale les références d'experts dans tous les domaines.