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Tilly (Indre)

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Tilly
Tilly (Indre)
L'église Notre-Dame en 2012.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité CC Marche Occitane - Val d'Anglin
Maire
Mandat
Guylene Maussire
2023-2026
Code postal 36310
Code commune 36223
Démographie
Gentilé Tillotins
Population
municipale
143 hab. (2021 en évolution de +5,15 % par rapport à 2015)
Densité 9,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 24′ 25″ nord, 1° 12′ 10″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 221 m
Superficie 14,77 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Gaultier
Législatives 1re circonscription de l'Indre
Localisation
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Tilly
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Tilly
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Tilly
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Tilly

Tilly est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le sud-ouest du département, à la limite avec les départements de la Haute-Vienne et de la Vienne. Elle est située dans la région naturelle du Boischaut Sud, au sein du parc naturel régional de la Brenne.

Les communes chefs-lieux et préfectorales sont : Le Blanc (28 km), Saint-Gaultier (31 km), Châteauroux (59 km), La Châtre (63 km) et Issoudun (85 km).

La commune se trouve dans la zone d'emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d'Argenton-sur-Creuse[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Bonneuil, Chaillac, Lignac, Coulonges-les-Hérolles, Lussac-les-Églises et Saint-Martin-le-Mault.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 14,77 km2 ; son altitude varie de 143 à 221 mètres[1].

La commune se trouve dans le plateau de Saint-Sulpice-les-Feuilles. La nature géologique des sols révèle des alluvions quaternaires (argiles) sur l'essentiel du territoire de la commune et un substrat primaire (grès, granit au sud)[2].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.

Le territoire communal est arrosé par la rivière Benaize[3].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Chaillac à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 864,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Le paysage de Tilly est marqué par un bocage à maille serrée encore bien conservé, mais qui semble menacé par un remembrement[2].

Au , Tilly est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,5 %), zones agricoles hétérogènes (35 %), terres arables (18,6 %), forêts (5 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

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L'habitat de la commune est essentiellement groupé, dans le village et ses 10 écarts[2].

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Chabanne, le Conduit et la Colombe[14].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 173, alors qu'il était de 158 en 2016 et de 166 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 45,3 % étaient des résidences principales, 39 % des résidences secondaires et 15,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tilly en 2021 en comparaison avec celle de l'Indre et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (39 %) supérieure à celle du département (10,7 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Tilly en 2021.
Typologie Tilly[I 3] Indre[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 45,3 76 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 39 10,7 9,7
Logements vacants (en %) 15,7 13,3 8,1

Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 36, 44 et 44B[15].

Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares de La Souterraine (32 km), Éguzon (32 km) et Saint-Sébastien (34 km)[15].

Tilly est desservie par la ligne L du Réseau de mobilité interurbaine[16].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre, à 81 km[15].

Risques naturels et technologiques

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Le territoire de la commune de Tilly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tilly.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 167 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 143 sont en aléa moyen ou fort, soit 86 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2009, 2017 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[21].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Tilly est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[22].

Au Moyen Âge, l’ordre de Cîteaux crée vers 1136-1148 l'abbaye de La Colombe à Tilly[23]. Le village semble d'être organisé autour d'un château établi aux abords de l'actuelle Église Notre-Dame de Tilly[2].

Temps modernes

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Sous l'Ancien Régime, la localité dépend de la généralité de Limoges jusqu'en 1650 puis de celle de Bourges, de la coutume de Poitou, du gouvernement de la Marche et du diocèse de Limoges[2].

Époque contemporaine

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Les limites communales entre Tilly et Bonneuil sont fixées en 1830[2].

Une tuilerie-briqueterie est construite en 1866. Sa production cesse dans les années 1990[2].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement du Blanc du département de l'Indre[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Bélâbre[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Gaultier[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Indre.

Intercommunalité

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Tilly était membre de la petite communauté de communes du Val d'Anglin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, celle-ci a fusionné avec la communauté de communes de la Marche occitane pour former, le , la communauté de communes Marche Occitane - Val d'Anglin, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1977 mars 2001 Eveline Bienvenu[Note 1],[24]   Retraitée
mars 2001[25] mars 2008 Line Gallet    
mars 2008[26] janvier 2023[27] Jean Imbert[28],[29] SE[30] Retraité
Démissionnaire
janvier 2023[31] En cours
(au 1er février 2024[32])
Guylène Maussire   Profession intermédiaire de la santé et du travail social


Équipements et services publics

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Enseignement

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La commune ne possède pas de lieu d'enseignement.

Population et société

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Ses habitants sont appelés les Tillotins[33].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 143 habitants[Note 2], en évolution de +5,15 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
545409404449543619731626612
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
597605611612618682630621607
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
636612572511446411421388355
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
346306279229198189172167144
2018 2021 - - - - - - -
137143-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Notre-Dame Logo monument historique Inscrit MH (2010)[37],[38], à nef unique et chevet plat de la fin du XIIe siècle, en pierre de taille de grès et petits moellons de grès et de granit. La nef est reconstruite avant 1460-1465 et a conservé sa charpente d'origine. Le clocher a été édifié vers 1488-1493 et a été fortement remanié vers 1737. L'église appartenait, au Moyen Âge, à un prieuré, mentionné en en 1096, 109*7 et 1471, et relevant de l'abbaye bénédictine Saint-Sauveur de Charroux. Une sacristie est ajoutée, en 1851, sur le mur sud du chœur.
    Des peintures murales gothiques du mur nord de la nef, redécouvertes en 1975, constituent l'intérêt majeur de cette église et représentent la légende de saint Christophe en passeur ; saint Nicolas ressuscitant les trois enfants jetés au saloir, ainsi que la pesée des âmes.
  • Vestiges de l'Abbaye cistercienne de Notre-Dame de la Colombe[39] et son logis abbatial, devenu maison et qui conserve deux baies attribuables au XIIe ou au XIIIe siècle[40], ainsi que la ferme monastique, construite en 1732[41] et son ancien moulin à huile, probablement utilisé jusqu'en 1860, puis transformé en habitation qui remploie des éléments architecturaux provenant de l'abbaye (chapiteaux, encadrement de baie mouluré). Il conserve une partie de son mécanisme et une meule[42].
    Un pressoir à huile mobile est présenté au Musée du machinisme agricole de Prissac comme provenant du moulin de la Colombe[42].
  • Manoir du XVe siècle au lieu-dit Le Logis, bâti sur une plate-forme rectangulaire fossoyée entourée de douves sur quatre côtés dont trois encore en eau[43].
  • Nombreuses maisons et fermes anciennes des XVIIe au XXe siècle.
  • Ancienne tuilerie-briqueterie, au Gué Martin, construite en 1866[44].
  • Monument aux morts

Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

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Les coordonnées de cet article :

Bibliographie

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Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 275-277, notice de Jean-Pierre Surrault.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Indiquée en fonctions en 1988.
  2. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a b c d e f et g « Présentation de la commune de Tilly », notice no IA36001124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  3. Site du Géoportail : Tilly, consulté le 15 décembre 2013.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Tilly et Chaillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Chaillac », sur la commune de Chaillac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Chaillac », sur la commune de Chaillac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Tilly » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  15. a b et c « Tilly », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  16. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Tilly », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  21. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  22. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », (consulté le )
  23. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 20.
  24. Brigitte Coulon et Gérard Coulon, Les femmes à la conquête de leurs droits : autour d'une polémique dans la presse locale en 1913, (ISSN 0985-1569).
  25. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  26. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  27. Jean-Michel Bonnin, « Le maire de Tilly a démissionné », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’élu reste cependant membre du conseil municipal où il avait siégé de 2001 à 2008 avant de devenir maire ».
  28. « " Vivre ensemble " se présente », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  30. Site du Monde.fr : Tilly (Indre), consulté le 21 septembre 2016.
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « L’ancienne mairie de Tilly va être réhabilitée », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  33. « Nom des habitants des communes françaises, Tilly », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA36001117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Église paroissiale Notre-Dame », notice no PA36000027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Ancienne abbaye cistercienne Notre-Dame de la Colombe », notice no IA36001119, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Ancien logis abbatial de l'abbaye cistercienne de la Colombe », notice no IA36001120, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Ferme de l'ancienne abbaye cistercienne de la Colombe », notice no IA36001121, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. a et b « Moulin à huile de l'ancienne abbaye cistercienne de la Colombe, puis maison », notice no IA36001127, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Manoir, ferme », notice no IA36001122, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Tuilerie-briqueterie », notice no IA36001123, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.