Seingbouse
Seingbouse | |
Église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur (1730). | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Moselle |
Arrondissement | Forbach-Boulay-Moselle |
Intercommunalité | CC de Freyming-Merlebach |
Maire Mandat |
Nicolas Reisch 2022-2026 |
Code postal | 57455 |
Code commune | 57644 |
Démographie | |
Gentilé | Seingbousois et Seingbougeois |
Population municipale |
1 717 hab. (2021 ) |
Densité | 213 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 06′ 51″ nord, 6° 49′ 55″ est |
Altitude | Min. 260 m Max. 348 m |
Superficie | 8,05 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Farébersviller (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Freyming-Merlebach |
Législatives | 6e circonscription de la Moselle |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://seingbouse.fr/ |
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Seingbouse (prononcer [sɛ̃buz]) est une commune française de l'aire urbaine de Sarrebruck-Forbach située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de la Moselle-Est, en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Description
[modifier | modifier le code]Située à 9 ;kmau nord-est de Saint-Avold, la commune culmine à 300 mètres d'altitude.
Accès
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hombourg-Haut | Betting | Béning-lès-Saint-Avold | ||
Guenviller | N | Farébersviller | ||
O Seingbouse E | ||||
S | ||||
Barst | Cappel | Henriville |
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Nied Allemande, le ruisseau de Cocheren et le ruisseau le Dotelbach[Carte 1].
La Nied allemande, d'une longueur totale de 57,9 km, prend sa source dans la commune de Guenviller et se jette dans la Nied à Condé-Northen, après avoir traversé 23 communes[1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin Houiller ». Ce document de planification, dont le territoire est approximativement délimité par un triangle formé par les villes de Creutzwald, Faulquemont et Forbach, d'une superficie de 576 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[2]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[3].
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Nied Allemande, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 840 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,4 | −0,2 | 2,2 | 5,9 | 9,1 | 12,6 | 14,6 | 14,2 | 10,8 | 7,4 | 3,6 | 0,5 | 6,7 |
Température moyenne (°C) | 1,8 | 2,6 | 6,1 | 10,7 | 13,8 | 17,6 | 19,7 | 19,1 | 15,4 | 10,9 | 6 | 2,7 | 10,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 4 | 5,4 | 10 | 15,5 | 18,6 | 22,5 | 24,7 | 24 | 20 | 14,4 | 8,5 | 4,8 | 14,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,3 07.01.09 |
−15,3 07.02.12 |
−12,4 01.03.05 |
−3,4 04.04.22 |
−0,3 05.05.19 |
3,9 08.06.05 |
7,4 31.07.15 |
5,8 26.08.18 |
3,1 30.09.22 |
−5,2 29.10.12 |
−5,8 30.11.16 |
−17 20.12.09 |
−17 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
13,9 01.01.22 |
21,4 27.02.19 |
23,9 31.03.21 |
26,8 21.04.18 |
30,7 28.05.17 |
35,2 26.06.19 |
37,9 25.07.19 |
37,8 09.08.03 |
32,6 15.09.20 |
27 02.10.23 |
21 02.11.20 |
14,9 31.12.22 |
37,9 2019 |
Précipitations (mm) | 63 | 57,7 | 55,3 | 39,8 | 68,9 | 60,3 | 54,7 | 68,4 | 54,8 | 61,4 | 66 | 81,1 | 731,4 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
4 −0,4 63 | 5,4 −0,2 57,7 | 10 2,2 55,3 | 15,5 5,9 39,8 | 18,6 9,1 68,9 | 22,5 12,6 60,3 | 24,7 14,6 54,7 | 24 14,2 68,4 | 20 10,8 54,8 | 14,4 7,4 61,4 | 8,5 3,6 66 | 4,8 0,5 81,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Seingbouse est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Farébersviller, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (59,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (27,7 %), terres arables (25,5 %), prairies (23,9 %), zones urbanisées (13,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 827, alors qu'il était de 796 en 2013 et de 759 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 94,5 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 84,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,5 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Seingbouse en 2018 en comparaison avec celle de la Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (2,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,9 % en 2013), contre 59,8 % pour la Moselle et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Typologie | Seingbouse[I 2] | Moselle[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 94,5 | 88,7 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,4 | 2,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 4,2 | 9,2 | 8,2 |
Toponymie
[modifier | modifier le code]Anciennement mentionné : Senghauss (1594)[14], Seingbuss (1595)[14], Zanbouss (1606)[14], Seinebouss (1684)[14], Sinbous et Singbous (1688)[14], Sengbousse (XVIIIe siècle)[14], Seinbouze (1751)[14], Seinbousse (1756)[14], Seinbouse (1779)[14], Seingbousse (carte Cassini)[14], Seingbouse (1793)[15], Seinghouse[16], Sengbusch (1871-1918 et 1940-1944).
En francique lorrain : Bus.
En allemand : Sengbusch
Histoire
[modifier | modifier le code]Seingbouse dépendait de l'ancienne province de Lorraine, dans le bailliage de Sarreguemines[14]. Village de la châtellenie de Hombourg-Saint-Avold.
D'un point de vue administratif, Guenviller a été rattaché à Seingbouse par décret du et est de nouveau érigé en commune par ordonnance du [14].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouvait dans l'arrondissement de Forbach du département de la Moselle[15]. Cet arrondissement fusionne en 2015 avec celui de Boulay-Moselle et Seingbouse fait désormais partie de l'Arrondissement de Forbach-Boulay-Moselle[I 1].
Elle faisait partie depuis 1793 à 1967 du canton de Saint-Avold[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Freyming-Merlebach[I 1]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de la Moselle.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Seingbouse est membre de la communauté de communes de Freyming-Merlebach, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1975 initialement sous le statut de District (intercommunalité) et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 1 717 habitants[Note 3], en évolution de −7,54 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Vestiges d'une villa dans la forêt de Grosswald.
- Église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur, le chœur de l'église occuperait le chœur d'une église plus ancienne construite en 1717 à la place d'une chapelle dédiée à saint Jacques et déjà mentionnée avant la guerre de Trente Ans. Cette église était desservie en 1720 par un vicaire résident. L'église actuelle date du début XVIIIe siècle, construite en 1730, agrandie en 1826 et 1870 ; tour clocher de style néo-baroque construite de 1870 à 1873 selon les plans de l'architecte Schatz de Sarreguemines. L'église de Seingbouse, autrefois rattachée à la paroisse de Béning-lès-Saint-Avold, a été érigée en paroisse en 1802 à la suite du concordat de 1801. Elle a été restaurée et décorée sous la conduite de l'abbé Victor Pétry (1846-1927) de 1887 à 1908. L'église est une étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Au pied des escaliers menant à l'église, à gauche, se trouve la sculpture d'une coquille Saint-Jacques (Pecten maximus).
- Chapelle de la Vierge ou Maria Hilfskappelle, construite en 1815 par François Killian et reconstruite en 1935.
- La grotte, réplique de Notre-Dame de Lourdes, a été construite à l'initiative de Joseph Zingraff en 1961-62, en face du nouveau cimetière[24],[25].
-
Chapelle de la Vierge.
-
Grotte (réplique de Notre-Dame de Lourdes).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | Coupé cousu émanché de gueules et de sinople. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- René Baro, Boussa Platt, Seingbouse, 2000
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie.
- « Dossier complet : Commune de Seingbouse (57644) », Recensement général de la population de 2019/2020, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Seingbouse » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Seingbouse ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Seingbouse - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Seingbouse - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Moselle - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Sandre, « la Nied Allemande »
- « SAGE Bassin Houiller », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Seingbouse » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Seingbouse » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Farébersviller », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l'ancien Département de la Moselle : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, rédigé en 1868 sous les auspices de la société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Imprimerie nationale, Paris
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Bulletin des lois de l'Empire Français, Volume 7, 1856
- Stéphane Mazzucotelli, « Léonce Celka, maire de Seingbouse depuis 2008, démissionne de son mandat : Maire de Seingbouse depuis 2008 et conseillère départementale depuis juin 2021, Léonce Celka, 68 ans, a décidé de démissionner de son poste de maire pour raison de santé. Elle a annoncé son retrait dans une lettre distribuée dans les boîtes aux lettres des citoyens de sa commune ce week-end », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Léonce Celka repart pour un 2e mandat : À l’issue de deux heures de dépouillement, Léonce Celka a été élue maire de Seingbouse. Elle devance Maxime Ludmann de près de 200 voix », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- M.L., « Troisième mandat pour Léonce Celka », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- Gaëlle Krahenbuhl, « Nicolas Reisch, 41 ans, devient maire de la commune : Le nouveau maire de Seingbouse a été désigné ce vendredi 14 octobre au soir par le conseil municipal. Il s’agit de Nicolas Reisch, tête de la liste Seingbouse Pérennité, élue dimanche 9 octobre. Alain Grasso, maire par intérim depuis la démission de Léonce Celka, est premier adjoint », Le Républicain lorrain, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les grottes de Lourdes en Moselle-est: La Communauté de Communes de Freyming-Merlebach », sur Les grottes de Lourdes en Moselle-est (consulté le ).
- Lucien Gratté, « Survivance de l'Art pariétal –– 2ème édition - Moselle » (consulté le ).