Aller au contenu

Nouvelle Union populaire écologique et sociale

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nouvelle Union populaire écologique et sociale
Image illustrative de l’article Nouvelle Union populaire écologique et sociale
Logo officiel.

Fondation 1er mai 2022
Disparition 10 juin 2024
Fusionné dans Nouveau Front populaire
(indirectement)
Élections concernées par l'alliance Législatives de 2022
Organisations politiques concernées La France insoumise
Pôle écologiste
Parti communiste français
Parti socialiste
(participation suspendue)

Représentation à l'Assemblée nationale
151  /  577
Représentation au Sénat
101  /  348
Représentation au Parlement européen
27  /  81
Positionnement Gauche[2],[3] à extrême gauche
Idéologie Socialisme démocratique[1]
Écosocialisme[1]
Populisme de gauche[1]
Communisme[1]
Couleurs Violet, magenta, vert, jaune, orange et rouge

Site Web nupes-2022.fr

La Nouvelle Union populaire écologique et sociale, ou Nupes ([ny.pɛs] Écouter, parfois [nyp] Écouter et [nyps][4]), est une coalition de partis politiques de la gauche française.

Après un deuxième scrutin présidentiel consécutif où aucun candidat de gauche n'a été présent au second tour en raison notamment d'une candidature pour chaque parti, elle est l'extension de l'Union populaire (UP[réf. nécessaire]), qui soutenait la candidature de Jean-Luc Mélenchon portée par La France insoumise, au Pôle écologiste (comprenant notamment Europe Écologie Les Verts et Génération·s[5]), au Parti communiste français et au Parti socialiste. L'objectif de cette coalition est de présenter des candidatures communes aux élections législatives de 2022 qui suivent la réélection d'Emmanuel Macron à un second mandat présidentiel.

Bien que comparée à l'union de la gauche qui a vu l'élaboration du programme commun en 1973 et à la gauche plurielle qui a permis à la gauche de gouverner la France lors de la troisième cohabitation sous le gouvernement Lionel Jospin, elle s'en distingue par la mise en place de candidatures uniques dans la majorité des circonscriptions, avec une répartition entre les partis basée sur leurs résultats aux précédentes élections et de manière à maintenir les députés sortants. En effet, les précédentes alliances de la gauche étaient plus souvent des désistements au second tour en faveur du candidat le mieux placé[6].

L'alliance est une réussite relative : bien que ne parvenant pas à imposer une cohabitation à Emmanuel Macron, elle s'impose comme la première force d'opposition de la nouvelle législature et contribue à priver le président d'une majorité absolue reconduite[7].

La France insoumise critique avec véhémence la constitution de listes d'union entre le PS, le PCF et EÉLV pour les sénatoriales de 2023, excluant ainsi LFI. Elle y voit la volonté de rompre l'alliance, tandis que les partis concernés par l'alliance expliquent cette décision par le fait que LFI ne détient aucune ville d'importance, aucun département ni aucune région.

Fin 2023, la coalition est menacée de dislocation à la suite de la position considérée comme ambiguë de LFI sur l'attaque du Hamas contre Israël. Le Parti socialiste suspend notamment sa participation à la coalition. Aux élections européennes de juin 2024, le Parti socialiste, La France insoumise, Les Verts et le Parti communiste français présentent quatre listes distinctes, avec des oppositions sur certains sujets.

En juin 2024, les partis de gauche rejoignent un nouveau projet de coalition, appelé le Nouveau Front populaire : en vue des élections législatives françaises de 2024, il vise à rallier l'entièreté de l'électorat de gauche[8], notamment pour lutter contre la montée de l'extrême droite.

Cette formation a pour objectif de regrouper les principales forces de gauche afin de présenter des candidatures communes pour les élections législatives de 2022.

Les participants se réunissent autour de plusieurs marqueurs, dont :

Cette coalition a l'ambition d'obtenir une majorité à l'Assemblée nationale afin d'imposer une cohabitation au président Emmanuel Macron[11], de faire nommer Jean-Luc Mélenchon comme Premier ministre[12].

Programme partagé de gouvernement

[modifier | modifier le code]

Le jeudi , le Programme partagé de gouvernement de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale est publié et consultable en ligne[13]. Il est constitué de six cent cinquante propositions[14] réparties en huit chapitres[15] :

  • progrès social, emplois et retraites ;
  • écologie, biodiversité, climat, biens communs et énergie ;
  • partage des richesses et justice fiscale ;
  • services publics : santé, éducation, culture, sport ;
  • sixième République et démocratie ;
  • sûreté et justice ;
  • égalité et lutte contre les discriminations ;
  • union européenne et international.

Les quatre formations sont d'accord sur 95 % de ces mesures mais reconnaissent diverger sur 33 d'entre elles ; dans l'hypothèse d'une victoire de la gauche un débat parlementaire où chacun pourra exposer ses arguments aura lieu et c'est l'Assemblée qui tranchera[15],[16],[17].

Le 9 juin, plus de 170 économistes engagés à gauche, dont Thomas Piketty, Bernard Friot, Julia Cagé, Gabriel Zucman, Jacques Généreux, ou encore Emmanuel Saez et Lucas Chancel signent une tribune soutenant le programme économique de la Nupes[18],[19], qui selon eux marque une « rupture avec le néolibéralisme » et rompt avec les « politiques qui accroissent les inégalités, fragilisent les services publics et abîment les écosystèmes »[20].

Composition

[modifier | modifier le code]

L'accord de coalition rassemble La France insoumise et ses alliés (dont Révolution écologique pour le vivant[21], la Gauche démocratique et sociale[22],[23] et le Parti ouvrier indépendant), le Pôle écologiste, incluant Europe Écologie Les Verts, Génération écologie, Génération.s et Les Nouveaux Démocrates[24],[10],[25], le Parti communiste français[26] et le Parti socialiste.

Composition de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale
Parti Abv. Idéologie Position Dirigeant(s)
Bloc de La France insoumise
La France insoumise LFI Socialisme démocratique
Écosocialisme
Gauche radicale à extrême gauche Manuel Bompard
Logo du Partie de gauche
Parti de gauche PG Socialisme démocratique
Écosocialisme
Gauche radicale à extrême gauche Jean-Christophe Sellin
Hélène Le Cacheux
Logo d'Ensemble
Ensemble ! E! Écosocialisme
Altermondialisme
Gauche radicale Roland Mérieux
Gauche écosocialiste GE Écosocialisme
Anticapitalisme
Marxisme
Internationalisme
Féminisme
Gauche radicale à extrême gauche Clémentine Autain
Myriam Martin
Logo de Rézistan's Égalité 974
Rézistan's Égalité 974 RE974 Socialisme démocratique
Régionalisme
Gauche radicale à gauche Jean-Hugues Ratenon
Logo de Picardie debout
Picardie debout ! PD! Écosocialisme
Souverainisme de gauche
Régionalisme
Gauche radicale François Ruffin
Logo du POI
Parti ouvrier indépendant POI Communisme
Marxisme
Internationalisme
Trotskisme
Anarcho-syndicalisme
Socialisme
Anticapitalisme
Euroscepticisme
Extrême gauche Direction collective dont Jérôme Legavre
Logo du PEPS
Pour une écologie populaire et sociale PEPS Communalisme, écologie politique Gauche radicale Direction collective
Révolution écologique pour le vivant REV Écosocialisme
Antispécisme
Gauche radicale Aymeric Caron
Logo de Gauche démocratique et sociale
Gauche démocratique et sociale GDS Écosocialisme Gauche Gérard Filoche
Bloc du Pôle écologiste
Logo d'Europe Écologie Les Verts
Europe Écologie Les Verts EELV Politique écologique Gauche radicale à centre-gauche Marine Tondelier
Logo de Génération.s
Génération.s G·s Socialisme démocratique
Politique écologique
Gauche Sophie Taillé-Polian
Benjamin Lucas
Logo de Génération écologie
Génération écologie GE Politique écologique Gauche Delphine Batho
Bloc de la Gauche démocrate et républicaine
Logo du Parti communiste français
Parti communiste français PCF Communisme
Souverainisme de gauche
Gauche radicale Fabien Roussel
Péyi-A Péyi-A Indépendantisme Gauche Jean-Philippe Nilor
Marcellin Nadeau
Logo de Pour La Réunion
Pour La Réunion PLR Socialisme démocratique Gauche Huguette Bello
Logo du Tavini huiraatira
Tavini huiraatira[27] Tavini Indépendantisme Gauche à centre gauche Oscar Temaru
Logo du Mouvement Le Progrès
Le Progrès LP Social-démocratie Gauche Patrick Lebreton
Logo du Mouvement de décolonisation et d'émancipation sociale
Mouvement de décolonisation et d'émancipation sociale MDES Indépendantisme
Marxisme
Gauche radicale à extrême gauche Fabien Canavy
Bloc du groupe Socialistes et apparentés
Logo du Parti socialiste
Parti socialiste PS Social-démocratie, Social-écologie, Socialisme démocratique Gauche à centre gauche Olivier Faure
Logo du Parti progressiste démocratique guadeloupéen
Parti progressiste démocratique guadeloupéen PPDG Post-marxisme, Autonomisme, Socialisme démocratique Gauche Jacques Bangou
Logo du Parti progressiste martiniquais
Parti progressiste martiniquais PPM Progressisme, Socialisme démocratique, Autonomisme Gauche Serge Letchimy
Le ν est présent à la gauche du logo.

Le , lors de sa première convention, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale adopte officiellement la lettre grecque ν (nu, [nu]) comme symbole après l'avoir utilisé massivement la veille sur les médias sociaux. Ce choix est motivé par une ressemblance visuelle avec le V de la victoire et une proximité sonore avec les deux premières initiales de la Nupes[28].

Élections législatives de 2022

[modifier | modifier le code]

Forte du score de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, La France insoumise a pu s'attribuer la majorité des circonscriptions[29].

Répartitions des circonscriptions par parti et bloc[29],[30]
Parti ou composante Circonscriptions Proportion
Pôle La France insoumise et apparentés
(La France insoumise, Parti de gauche, Ensemble !, Révolution écologique pour le vivant, Parti ouvrier indépendant, Gauche démocratique et sociale)
326 56,50 %
Pôle écologiste Europe Écologie Les Verts 77[réf. nécessaire] 13,34 %
Génération.s 12[31] 2,08 %
Génération écologie 9 1,56 %
Les Nouveaux Démocrates 2 0,35 %
Total 100 17,33 %
Parti socialiste 70 12,13 %
Parti communiste français 50 8,67 %
Hors accord (outre-mer et Corse) 31 5,37 %
Total 577 100 %

En dehors de l’accord, les partis de gauche réunionnais (La France insoumise, Parti socialiste, Pour La Réunion, Rézistan’s Égalité 974, Europe Écologie Les Verts, Le Progrès) décident de se rassembler et de présenter des candidatures uniques à la manière de Nupes sur les sept circonscriptions de La Réunion, sous la bannière du « Rassemblement réunionnais ». Trois binômes sur les sept sont constitués d'un titulaire et d'un remplaçant issus de partis différents[32].

Répartition par circonscription

[modifier | modifier le code]
Logo de l'Union populaire lors de la campagne de La France insoumise pour l'élection présidentielle de 2022.

Après l'échec de l'union des gauches au début de 2021[122], en vue de l'élection présidentielle française de 2022, Jean-Luc Mélenchon lance un nouveau mouvement, l'Union populaire, en octobre de la même année[123].

Dans le cadre des élections législatives de 2022, La France insoumise — force de gauche majoritaire de l'élection présidentielle — cherche à rassembler les principaux partis de gauche autour de la bannière de l'Union populaire. Des discussions sont notamment engagées avec Europe Écologie Les Verts, le Parti communiste français, le Parti socialiste[124].

Cette coalition rappelle celle du Programme commun adoptée en 1972[125], ou celle du Front populaire établie en 1936, même si la création et l’organisation de ce dernier étaient bien différents de la Nupes[126].

Accords de coalition

[modifier | modifier le code]

Pôle écologiste

[modifier | modifier le code]

Le jeudi , Génération.s (membre du Pôle écologiste) et La France insoumise annoncent avoir trouvé un accord dans un communiqué commun[127].

De son côté, en vue d'un accord de coalition, Europe Écologie Les Verts (EÉLV) propose le remplacement de la dénomination Union populaire par celle d'« Union populaire et écologiste » ou celle de « Front populaire écologiste et social »[128]. Dans la nuit du au , un accord est conclu avec Europe Écologie Les Verts, sous la bannière commune de la « Nouvelle union populaire écologique et sociale »[129],[9],[130]. Le Mouvement des progressistes est le seul organe du Pôle écologiste à refuser l'alliance[131].

L'accord prévoit cent circonscriptions sur cinq cent soixante-dix-sept pour le Pôle écologiste, dont environ trente considérées comme gagnables ; EÉLV visait les circonscriptions des villes gagnées aux municipales de 2020 : ils obtiennent celles de Bordeaux, de Strasbourg et de Lyon, ainsi que les troisième, cinquième, huitième et neuvième circonscriptions de Paris[132].

Parti communiste français

[modifier | modifier le code]

Le , le Parti communiste français (PCF) annonce rejoindre la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, après validation de l'accord par le conseil national du parti avec 120 voix pour, 25 contre et 13 abstentions[133].

La France insoumise et le PCF publient un communiqué commun exposant un programme dans lequel, aux objectifs fixés par LFI et EÉLV, s'ajoutent des propositions des communistes comme la « renationalisation d'EDF, d'Engie, des autoroutes, des aéroports » ou la lutte contre l'évasion fiscale. La question du nucléaire n'est pas évoquée, celle-ci pouvant faire l'objet de débats à l'Assemblée nationale[134],[135].

Le PCF présentera des candidats dans cinquante-quatre circonscriptions, dont les onze de ses députés sortants et cinq autres jugées gagnables (Vierzon, Dax, Creil Nogent, Denain, Lens Avion)[136],[137],[135].

Parti socialiste

[modifier | modifier le code]

Après avoir été initialement écarté des pourparlers avec La France insoumise, le Parti socialiste rejoint les négociations le [138]. Pierre Jouvet, négociateur pour le Parti socialiste explique : « On ne va pas régler tous les points en l'espace de quelques heures, alors que depuis dix ans on ne se parlait plus ». Manuel Bompard, négociateur pour La France insoumise, explique quant à lui que les négociations sont longues et difficiles[139]« sur le fond et sur les circonscriptions »[140].

Le , le Parti socialiste et La France insoumise annoncent avoir trouvé un accord sur une liste de soixante-dix circonscriptions de métropole et des Français de l’étranger, les circonscriptions corses et d'outre-mer n'étant pas incluses dans l'accord. Un communiqué commun présente la liste des objectifs et points d'accord et détaille aussi les divergences et convergences quant aux questions européennes et internationales — ce point étant un des points sur lesquels les divergences étaient les plus fortes[141].

Dans la nuit du au , l'accord est approuvé par le conseil national du parti à 167 voix pour (62 %), 101 contre (38 %) et 23 abstentions[142].

Refus de la coalition

[modifier | modifier le code]

Plusieurs partis refusent de rejoindre la coalition Nouvelle Union populaire écologique et sociale.

Lutte ouvrière fait savoir, le , qu'il n'entend pas « cautionner » la démarche initiée par La France insoumise et dénonce « le piège du système politique bourgeois qui consiste à substituer le combat électoral au combat de classe »[138]. Pour sa part le Parti radical de gauche annonce le son refus de s'associer aux négociations en cours, après un vote interne à 90,5 % en faveur de candidatures indépendantes pour les élections législatives[143]. Le PRG évoque des désaccords « considérables » avec La France insoumise, notamment en ce qui concerne la sortie du nucléaire et la désobéissance aux traités européens[144],[138]. Le Nouveau parti anticapitaliste annonce le 5 mai, après plusieurs jours de négociations, qu'il ne rejoindra pas la coalition, estimant ne pas pouvoir signer « un tel accord incluant le Parti socialiste »[145],[146]. Enfin la Gauche républicaine et socialiste, le Mouvement républicain et citoyen, L'Engagement, Les Radicaux de gauche (LRG, scission du PRG) et la Nouvelle Gauche socialiste annoncent former une coalition autour de la « Fédération de la gauche républicaine », indépendante de la Nupes[147].

Réactions dans le monde politique

[modifier | modifier le code]
Place publique et Nouvelle Donne
[modifier | modifier le code]

Raphaël Glucksmann annonce son soutien à la Nupes, avançant qu'il veut à tout prix éviter une prolifération des candidatures RN à l'Assemblée nationale et l'opposition RN - LREM. Il précise néanmoins qu'il possède des désaccords « immenses » sur des sujets « plus qu'essentiels » avec LFI[148]. Pour sa part, en mai, Nouvelle Donne retire tous ses candidats et déclare son soutien à la Nupes[149].

Parti socialiste
[modifier | modifier le code]
Approbations
[modifier | modifier le code]

Le vice-président de l'Association des maires de France (AMF), André Laignel, encourage une union entre le Parti socialiste et les autres forces de gauche, signalant qu'« il est clair que si la gauche n'est pas unie, elle va à la défaite »[150]. Lionel Jospin et Ségolène Royal se positionnent aussi en faveur de l'accord[151],[152],[153].

De nombreux maires réclament et soutiennent également cette démarche d'union[154]. Johanna Rolland protestait contre l'échec de la gauche — et donc de LFI — à la présidentielle, du fait de l'échec d'union de sa famille politique[155]. Sept maires socialistes de grandes villes publient une tribune, exprimant être favorables à une union tout en réaffirmant un « attachement profond à l'idée et à la construction européennes » : Nathalie Appéré ; Benoît Payan ; Olivier Bianchi ; Mathieu Klein ; Nicolas Mayer-Rossignol ; Cédric Van Styvendael et Benoît Arrivé (Cherbourg-en-Cotentin)[156]. Martine Aubry « appelle les socialistes à valider cette proposition d'accord », tout en notant qu'il « ne correspond pourtant pas en tout point à [ses] convictions profondes »[157].

Désapprobations
[modifier | modifier le code]

Lors du début des négociations avec le PS, François Hollande évoque le risque de l'« effacement » de son parti. Il juge que l'accord est « inacceptable » et qu'il « met en cause des principes mêmes qui sont des fondements de l'engagement socialiste »[158]. À la suite de l'accord, Bernard Cazeneuve annonce quitter le Parti socialiste[159] et appelle à créer un mouvement pour fédérer les forces de gauches[160]. Stéphane Le Foll déclare que si le PS « continue à être ce qu'il est aujourd'hui, je partirai »[161].

Réactions de membres de la majorité présidentielle

[modifier | modifier le code]

De son côté, François Bayrou considère que cet accord est « un événement extrêmement triste ». Il pointe notamment du doigt le principe de désobéissance à l'Union européenne envisagé dans l'accord, qui conduirait selon lui à « la fin de l'Europe », et la volonté de Jean-Luc Mélenchon de sortir de l'OTAN[162],[13]. Les députés LREM n'ont pas manqué de critiquer cette alliance à gauche, notamment Sacha Houlié ou encore Aurore Bergé[163].

Lancement de la coalition et campagne électorale

[modifier | modifier le code]
Discours de Jean-Luc Mélenchon à la convention de création de la Nupes, le à Aubervilliers.

D'après un sondage commandé par BFM TV à Elabe, 84 % des sympathisants de gauche sont favorables, en mai 2022, à cette alliance pour les élections législatives de 2022[164].

Une fois les accords entre les différents mouvements membres conclus, une convention est organisée le 7 mai 2022 à Aubervilliers pour officialiser la création de la Nupes. Devant plusieurs milliers de personnes[165], des figures majeures des différents partis prennent la parole[166]. Plusieurs candidats aux législatives peuvent ensuite s'exprimer. Rachel Keke, meneuse de la grève des femmes de chambres de l'hôtel Ibis Batignolles ayant rejoint l'Union populaire, réalise l'intervention la plus acclamée en évoquant la situation des travailleurs essentiels et l'importance de les défendre à l'Assemblée[167],[168],[166],[169]. La cérémonie est conclue par un discours de Jean-Luc Mélenchon où il souligne le caractère inédit d'un tel accord électoral entre les forces de gauche, insiste sur le rejet de la proposition de passage de l'âge de la retraite à 65 ans portée par Emmanuel Macron, et affirme la possibilité « d’écrire une page de l’histoire politique de la France »[170].

Résultats des élections législatives

[modifier | modifier le code]

La Nupes devient la principale force d'opposition avec 151 sièges, empêchant notamment Emmanuel Macron de disposer d'une majorité absolue ; mais elle ne réussit pas le pari de lui imposer la cohabitation et est confrontée à un avenir incertain à moyen terme[171]. Le résultat des élections permet à chaque parti de la coalition de constituer son propre groupe à l'Assemblée nationale[172],[173],[174] avec toutefois l'appui de députés d'outre-mer pour le Parti communiste[175].

Selon l'usage, la présidence de la commission des Finances à l'Assemblée nationale, est attribuée au premier groupe parlementaire d'opposition[176] et pourrait dans ce cas revenir au Rassemblement national, premier parti d'opposition avec 89 députés[177], cependant l'article 39 du règlement de l'assemblée nationale ne mentionne pas cet usage mais précise seulement que « ne peut être élu à la présidence de la Commission des finances de l’économie générale et du contrôle budgétaire qu’un député appartenant à un groupe s’étant déclaré d’opposition »[178]. Le député insoumis de Seine-Saint-Denis Éric Coquerel est élu à la tête de la commission des finances.

Élections sénatoriales de 2023

[modifier | modifier le code]

Le Parti socialiste, le Parti communiste français et Europe Écologie Les Verts présentent des listes communes aux élections sénatoriales de septembre 2023, ce qui constitue « un accord historique » selon Pierre Jouvet, secrétaire général du PS[179],[180]. La France insoumise est exclue de ces accords alors que ses représentants disaient réclamer une seule place éligible (dans le Puy-de-Dôme)[181],[182] ; le parti décide alors de présenter des candidats contre ceux de ses partenaires[183].

Finalement, la gauche progresse globalement à la chambre haute alors que LFI, très peu implantée localement, ne parvient à faire élire aucun sénateur. La désunion au sein de la Nupes est critiquée et des élus socialistes ou communistes reprochent publiquement au parti de Jean-Luc Mélenchon d'avoir fait perdre une dizaine de sièges à la gauche en présentant ses propres candidats[181].

Élections européennes de 2024

[modifier | modifier le code]

Europe Écologie Les Verts, le Parti communiste français et le Parti socialiste affirment ne pas vouloir d'alliance pour les élections européennes 2024[184],[185],[186].

Fin 2022, Europe Écologie Les Verts, par la voix de sa secrétaire nationale, Marine Tondelier, exclut totalement la possibilité d'une liste commune à la Nupes[187], de même que le premier secrétaire du PS Olivier Faure début 2023[188].

En juin 2023, Jean-Luc Mélenchon affirme que l'absence d'alliances pour les européennes pourrait provoquer la fin de la Nupes[189],[190],[191]. Les Jeunes de la Nupes lancent en juin une convention à Alfortville pour inciter leurs partis respectifs à s'unir pour les élections européennes approchant. Emma Rafowicz, présidente des Jeunes socialistes, est remarquée pour avoir critiqué avec virulence les Éléphants du Parti socialiste, ces hommes âgés vus comme étant donneurs de leçon, provoquant de vives réactions[192].

Léon Deffontaines est désigné, par le conseil national du PCF du , « chef de file » des communistes pour les élections européennes[193]. Les adhérents du PCF décideront en octobre 2023 si leur parti présentera une candidature indépendante ou se joindra à une alliance[194].

Le , Marie Toussaint est élue cheffe de file d'EELV par les militants pour les élections européennes de 2024, avec 59 % des voix face à David Cormand, qui sera en deuxième position sur la liste[195]. LFI avait pourtant proposé qu'une figure d'EELV prenne la tête d'une liste Nupes en raison du bon score réalisé par la formation écologiste aux élections européennes de 2019 (troisième position, 13,5 % des voix)[196].

Manon Aubry officialise le son rôle de tête de liste de la liste LFI, comme en 2019. Elle déclare lancer « un appel à tous les orphelins de la Nupes », leur demandant de soutenir LFI[197].

En février, les adhérents PS valident « à près de 80 % » la liste de leur parti, qui est menée comme en 2019 par Raphaël Glucksmann, co-président du petit parti Place Publique[198]. Raphaël Glucksmann fait de la question ukrainienne un des principaux axes de sa campagne, mettant en avant sa préoccupation contre l’impérialisme de Vladimir Poutine[199]. Il appelle à mettre en place « une économie de guerre » pour fournir des armes à l’Ukraine. De leur côté, Léon Deffontaines et Manon Aubry défendent un «traité de paix » ou une «issue diplomatique» avec Vladimir Poutine, envers qui Manon Aubry nie cependant «toute complaisance»[200]. Alors que, côté PS et EELV, Raphaël Glucksmann et Marie Toussaint défendent une future adhésion de l’Ukraine à l’UE et une Europe fédérale, Léon Deffontaines pour le PCF et Manon Aubry pour LFI s'opposent à l'entrée de l'Ukraine et à une approche continentale[200].

Pour Le Monde, la guerre en Ukraine creuse le clivage à gauche avant les européennes[201]. Si Jean-Luc Mélenchon et Raphaël Glucksmann veulent tous les deux unir la gauche après les élections européennes, des divergences existent aussi sur la situation à Gaza, pour laquelle Jean-Luc Mélenchon reproche à Raphaël Glucksmann de ne pas utiliser le mot « génocide » — mais de préférer le mot « carnage » — pour qualifier les actions de l’armée israélienne[202].

Lors de la traditionnelle manifestation du 1er mai à Saint-Étienne, Raphaël Glucksmann est contraint de partir après des jets de projectiles venus de militants de la cause palestinienne, dont selon lui des militants de Révolution permanente et de LFI. Il dénonce une « brutalisation » du débat public provoquée selon lui par Jean-Luc Mélenchon, ainsi que des attaques antisémites. Cet événement ravive les tensions au sein de la gauche. De rares voix appellent au rassemblement, dont celle de Clémentine Autain[203].

Élections législatives de 2024

[modifier | modifier le code]

Emmanuel Macron a pris la décision le 9 juin 2024 de dissoudre l'Assemblée Nationale[204] après la défaite de la liste Renaissance et le haut score du Rassemblement national aux Élections européennes.

En réaction, des personnalités politiques de gauche appellent à la reformation d'une alliance à gauche, à l'instar de François Ruffin qui a appelé à la formation d'un « Front populaire » pour éviter une victoire du Rassemblement national[205]. Dans la soirée du , Les Écologistes représentés par Marine Tondelier, La France insoumise représentée par Manuel Bompard, le Parti communiste français représenté par Fabien Roussel, le Parti socialiste représenté par Olivier Faure, Place publique, Génération.s et la Gauche républicaine et socialiste annoncent publiquement la création d'une coalition de partis politiques français de la gauche française nommée « Nouveau Front populaire »[206].

Désaccords politiques

[modifier | modifier le code]

À l'issue des élections, Jean-Luc Mélenchon propose le lundi 20 juin, que tous les députés élus sous l’étiquette Nupes constituent un seul et même groupe parlementaire. Le Parti socialiste, Europe Écologie-Les Verts et le Parti communiste français refusent et s'en tiennent à l'accord initial de constituer des groupes indépendants[207], faisant dire à Mélenchon que si la gauche part divisée aux européennes, la Nupes peut disparaitre[208].

Au cours de l'automne, LFI dépose jusqu'à 10 motions de censures à l'encontre du gouvernement Borne sur l'adoption par le Parlement du budget 2023, que finissent par ne plus voter les 3 autres partenaires de la Nupes[209]. A la suite de l'affaire Quatennens, plusieurs membres de la Nupes demandent l'exclusion du député insoumis et critiquent la position de LFI[210],[211],[212],[213]. En avril 2023, alors que l'ancien député insoumis revient siéger dans son groupe, Boris Vallaud chef des députés socialistes, s'y oppose[214]. De son côté, Marine Tondelier, la secrétaire d'EÉLV affirme qu'Adrien Quatennens ne peut pas siéger parmi les députés Nupes[215]. Finalement, Quatennens siège hors intergroupe Nupes[216].

En décembre, LFI n'a pas, à contrario de ses trois partenaires, voté la résolution soutenant l'Ukraine à la suite de l'invasion russe[217].

Au début de l'année, alors que la possibilité d'envoyer des chars de l'armée française en soutien à l'Ukraine est débattue, les insoumis et les communistes s'y opposent tandis que les socialistes et les écologistes y sont favorables[218],[219]. En février, pour éviter un vote sur l'ensemble des articles du projet de réforme des retraites, les députés de la Nupes ont déposé des milliers d'amendements dont 13 000 pour La France insoumise. Au cours des débats, la coalition de gauche se divise sur la nécessité de retirer ou pas des amendements afin de permettre, en particulier, un vote sur article 7 qui prévoit le recul de 62 à 64 ans de l'âge légal de départ à la retraite. Le communiste Sébastien Jumel, appelle « chaque parlementaire » à « [prendre] ses responsabilités » et au retrait des amendements. Cette ligne politique est suivie par les socialistes et les écologistes. Cependant Jean-Luc Mélenchon critique le parti communiste : « Incompréhensible retrait des amendements du PCF. Pourquoi se précipiter à l'article 7 ? Le reste de la loi ne compte pas ? Hâte de se faire battre ? » [220]. Pour le socialiste Jérôme Guedj : « Jean-Luc Mélenchon a tort de penser qu’il ne faut pas aller à l’article 7 »[221].

A la mi-mars, le groupe communiste vote favorablement pour le projet de loi de relance du nucléaire a contrario de ses trois autres partenaires[222].

En mai, les communistes, soutenus par LFI, proposent une résolution condamnant comme un régime d’apartheid l'état d'Israël, que ne votent pas le PS et les Verts[223],[224],[225].

Sur la Défense nationale, les quatre partis adoptent chacun une vision différente voire contradictoire les unes des autres[226].

En juin, lors de l'adoption de l'accord de libre-échange entre le Mercosur et l'Union européenne, les partenaires de la Nupes ne s'entendent pas dessus[227],[228].

Le même mois, la distance s'approfondit entre LFI et ses partenaires au cours des émeutes urbaines qui suivent la mort de Nahel Merzouk. Pour Jean-Luc Mélenchon et plusieurs députés insoumis, il est hors de question d’appeler au calme. Cette position est opposée à celle de Fabien Roussel et Olivier Faure, qui condamnent cette attitude[229],[230].

En juillet, les écologistes et les insoumis votent contre la loi industrie verte, tandis que les socialistes et les communistes s'abstiennent[231]. En août, les partenaires de la Nupes se divisent sur la laïcité à l'école[232],[233],[234] : le Parti socialiste et le Parti communiste français souhaitent l’application stricte de la loi sur les signes religieux dans les écoles publiques françaises, tandis que La France insoumise et EELV ne voient dans l’abaya qu’une robe culturelle et non cultuelle. Néanmoins, a contrario des dirigeants de leurs partis, plusieurs sondages démontrent qu’une large majorité des sympathisants LFI et EELV qualifie l’abaya de vêtement à caractère religieux[235].

La rentrée politique 2023-2024 est tortueuse pour la Nupes. Le 5 septembre, le bureau national du Parti socialiste décide, à l'unanimité, de soumettre aux militants le projet socialiste pour les élections européennes de juin 2024, ce qui est vu par LFI comme l'enterrement d'une liste commune. Le 18 septembre, Jean-Luc Mélenchon affirme sur le plateau de BFMTV qu'il « n'aime pas » ses partenaires de la Nupes, tout en prônant une union pour toutes les échéances[236]. Deux jours plus tard, le 20 septembre, Sophia Chikirou, députée de Paris et conseillère régionale d'Île-de-France, affirme qu'il « y a du Doriot dans Roussel », ce qui provoque l'indignation du PCF, de EÉLV, du PS et de Génération.s[237], ce qui tend encore les relations déjà détériorées entre les différents partis de la Nupes.

Propositions d'une nouvelle union

[modifier | modifier le code]

Au printemps 2023, à la suite des débats sur la réforme des retraites au sein de l'Assemblée nationale, des écologistes dénoncent un « raté stratégique de LFI » et demandent un « acte II de la Nupes »[238], rejoints rapidement par les socialistes à travers Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée[239].

Pour Fabien Roussel, secrétaire national du Parti communiste, la « Nupes est dépassée » ; il appelle, en , à une nouvelle union « bien au-delà » de l’alliance de gauche[240] notamment lors du congrès du PCF à Marseille[241]. Des Insoumis l'invitent à quitter la Nupes[242].

En juin 2023, une partie des cadres du Parti socialiste se réunissent à Montpellier dans le but de proposer une alternative à la Nupes[243].

Moratoire de la Nupes

[modifier | modifier le code]

Début , Génération écologie annonce qu'elle ne participera plus à la Nupes jusqu'au départ de Jean-Luc Mélenchon lui reprochant la non-condamnation du Hamas comme organisation terroriste[244].

Le , à la suite, de la part de LFI, d'attaques « inadmissibles » à l'encontre de Fabien Roussel et le refus récent de qualifier l'agression de Hamas d'acte terroriste, le Parti communiste français qualifie la Nupes d’« impasse » et appelle à « une nouvelle page du rassemblement de la gauche et des écologistes »[245].

Pour le Parti socialiste et à la suite de la position considérée comme ambiguë de LFI sur l'attaque du Hamas contre Israël, des députés envisagent de quitter la Nupes[246] tandis que plusieurs cadres du PS, appellent à « mettre un terme à la mésalliance avec Jean-Luc Mélenchon »[247],[248],[249]. Finalement, le groupe socialiste décide de « suspendre sa contribution lors des futures réunions de l’intergroupe Nupes »[250] tandis que le les cadres du parti votent un moratoire sur sa participation à la coalition de gauche[251]. Pour Jean-Luc Mélenchon, « Olivier Faure rompt la Nupes »[252].

Résultats électoraux

[modifier | modifier le code]

Élections législatives

[modifier | modifier le code]
Année 1er tour 2d tour Sièges Gouvernement
Voix % Rang Voix % Rang
2022 5 836 202 25,66 2e 6 556 198 31,60 2e
151  /  577
Opposition

Ces résultats du ministère de l'Intérieur restreignent le décompte de la coalition de gauche au seul territoire métropolitain, et donc à l'exclusion de la Corse et de l'Outre-mer, l'accord ayant mené à la formation de la coalition n'ayant pas inclus ces derniers[253]. Jugé « problématique »[254] par Le Monde, le décompte du ministère de l'Intérieur amène le quotidien à opérer son propre décompte, incluant notamment les chiffres de La Réunion, de Mayotte et de la Polynésie française, où les candidats de gauche se sont accordés sur des candidatures uniques se réclamant de la Nupes. Cette inclusion de candidatures Nupes supplémentaires l'a fait arriver en tête du premier tour et augmente à 142 son nombre de députés[255]. Finalement, ce sont 151 députés qui siègent au sein des groupes de la Nupes.

Lors de l’élection législative partielle de 2023, la candidate socialiste dissidente Martine Froger est élue députée en Ariège face à la sortante Insoumise Bénédicte Taurine. Elle rejoint le groupe LIOT au lieu de siéger dans l’intergroupe Nupes[256].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c et d (en) Wolfram Nordsieck, « France », sur parties-and-elections.eu (consulté le ).
  2. « Nupes ou Ensemble ! en tête aux législatives ? Les raisons de la divergence entre « Le Monde » et le ministère de l’intérieur », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Quentin Menu, « Nupes ou pas Nupes : de quels partis sont issus les candidats aux législatives dans les Outre-mer ? », Outre-mer la 1re,‎ (lire en ligne)
  4. Xavier Regnier, « Législatives 2022 : Merci de bien prononcer « Nupe » et non « Nupesse », indique l’Académie française », 20 Minutes, (consulté le ).
  5. « Accord entre la France insoumise et Génération.s pour les prochaines élections législatives », sur lafranceinsoumise.fr, (consulté le ).
  6. « NUPES : pourquoi l’accord à gauche n’a rien de comparable avec 1981 et 1997 ? », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  7. « Résultats législatives: la Nupes parvient à faire élire 147 députés », sur bfmtv.com (consulté le ).
  8. « Elections législatives : la gauche vers l’union malgré les divisions », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. a et b « La France insoumise et les écologistes passent un accord pour les législatives », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  10. a et b « Législatives 2022 : ce que contient l'accord conclu entre La France insoumise et Europe Ecologie-Les Verts », sur Franceinfo, (consulté le ).
  11. « Législatives : que signifie « Nupes », cette nouvelle force politique née de l’union de la gauche ? », sur Sud Ouest, (consulté le ).
  12. « Législatives 2022. « Nouvelle Union populaire écologique et sociale » : que sait-on de l'accord LFI-EELV ? », sur Le Journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).
  13. a et b « Le programme - Site officiel », (consulté le ).
  14. « La Nupes présente un programme commun de plus de 650 propositions pour les législatives », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  15. a et b « Programme de la Nupes aux législatives : les points de convergence et de désaccord entre LFI, EELV, le PS et le PCF », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  16. « Nupes : quelles sont les mesures sur lesquelles LFI, PCF, PS et EELV ne se sont pas accordés ? », .
  17. « La Nupes présente son programme : une alliance gouvernementale de gauche, 650 mesures et 33 « nuances » », .
  18. « Piketty, Friot, Cagé… L’appel d’économistes en faveur du programme de la Nupes aux législatives », sur lejdd.fr, .
  19. « De Thomas Piketty à Bernard Friot, plus de 170 économistes appellent à voter Nupes », sur liberation.fr, .
  20. « Plus de 170 économistes signent une tribune de soutien au programme de la Nupes », sur europe1.fr, .
  21. « Présidentielle 2022 : le militant écologiste Aymeric Caron annonce son ralliement à Jean-Luc Mélenchon », sur Franceinfo, (consulté le ).
  22. Laurent de Boissieu, « Législatives 2022 : panorama d’une offre électorale très large », sur La Croix, (consulté le ).
  23. Laurent de Boissieu, « Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale (NUPES) », sur France Politique (consulté le ).
  24. « Législatives : les compromis de l’accord entre LFI et EELV », sur Le Point, (consulté le ).
  25. « Meuse : Emilie Cariou ne briguera pas un second mandat aux élections législatives », sur France 3 Grand Est, (consulté le ).
  26. « Législatives 2022 en direct : Le Parti communiste entérine un accord avec La France insoumise », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  27. a et b « Législatives 2022 : Le Tavini Huiraatira soutenu par NUPES », sur tntv.pf, .
  28. Astrid de Villaines et Guillaume Bertrand, « L'union de la gauche (Nupes) opte pour un V comme logo, voici pourquoi », sur HuffPost, (consulté le ).
  29. a et b « Législatives 2022 : la carte des circonscriptions à gauche après l'accord commun », sur Le Figaro, (consulté le ).
  30. Législatives 2022 : on vous explique tout sur la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, conclue entre les principaux partis de gauche
  31. « Candidat⸱es Génération⸱s aux élections législatives », sur nupes-generation-s.fr (consulté le ).
  32. « rassemblée, la gauche réunionnaise présente ses candidats », sur la1ere.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  33. « Les candidats », sur Site officiel, (consulté le ).
  34. Victor Vasseur, « CARTE - PS, EELV, PC ou LFI, quel candidat de gauche dans votre circonscription aux législatives ? », sur France Inter, (consulté le ).
  35. Clément Parrot, Thibaud Le Meneec et Mathieu Lehot-Couette, « Législatives 2022 : la carte des circonscriptions à gauche après l'accord commun », sur France Info, (consulté le ).
  36. a b c d e f et g « investitures LFI au 10 mai », sur lafranceinsoumise.fr, .
  37. Liste des candidat.e.s PCF dans le cadre de la NUPES - Site Internet du P.C.F.
  38. Liste d'investiture des candidat-es écologistes au sein de la NUPES - Europe Écologie les Verts
  39. Antoine Delacou, « Qui représentera le PCF aux législatives dans la circonscription de Moulins (Allier) ? », sur La Montagne, (consulté le ).
  40. a et b « Hautes-Alpes : les “insoumis” Capucine Mounal et Michel Philippo investis par l’union de gauche », sur Le Dauphiné, (consulté le ).
  41. a et b « Drôme-Ardèche : la gauche se répartit les circonscriptions pour les élections législatives », sur France Bleu, (consulté le ).
  42. a b et c « L’union de la gauche raye le PS de la carte des législatives en Aveyron », sur Centre Presse Aveyron, .
  43. Garance Feitama, « Législatives 2022. Noé Gauchard, candidat de l’Union populaire dans la circo de Vire-Evrecy », sur Ouest-France, (consulté le ).
  44. « Législatives en Charente : le point à gauche et au centre », sur Sud Ouest (consulté le ).
  45. « Législatives : voici les candidats officiels dans le Cher », sur francebleu.fr (consulté le ).
  46. a et b Thomas Hermans, « CARTE. Législatives 2022 : vous êtes de gauche ? Pour quel parti pourrez-vous voter en Centre-Val de Loire », sur France Info, .
  47. « Sandrine Deveaud sera candidate pour la Nupes sur la 1ère circonscription de Corrèze », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  48. « Législatives 2022 : le boulanger qui avait mené une grève de la faim investi par EELV », sur Europe 1 (consulté le ).
  49. Jérémy Chevreuil, « Législatives 2022 : après l'accord entre La France insoumise et le Parti communiste, quelles sont les quatre circonscriptions réservées au PCF en Bourgogne-Franche-Comté? », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
  50. Mickaël Louédec, « Législatives. À Brest, Glen Dissaux laisse sa place à Pierre-Yves Cadalen », sur Ouest France, .
  51. « Gard rhodanien : Sabine Oromi et Elian Cellier, les candidats de l’union de gauche aux législatives », sur midilibre.fr (consulté le ).
  52. a b c d e f g h i et j « Législatives 2022. Voici les candidats de la gauche unie, à Toulouse et en Haute-Garonne », sur actu.fr (consulté le ).
  53. « Montpellier : René Revol appelle Michaël Delafosse à éviter la "dérive droitière" de Carole Delga », sur midilibre.fr (consulté le ).
  54. « Législatives : après leur alliance avec les insoumis, les Verts présenteront une candidate dans l'Hérault », sur France Bleu, (consulté le ).
  55. « Béziers : les législatives, vrai enjeu politique au niveau local, se profilent déjà », sur midilibre.fr (consulté le ).
  56. a b c d e f g et h Vincent Jarnigon, « Législatives en Ille-et-Vilaine. Cinq circonscriptions pour les Insoumis, deux pour le PS… », sur Ouest France, .
  57. Alexandre Stephant, « Législatives 2022 à Redon. Mathilde Hignet candidate de l’Union populaire », sur Ouest France, .
  58. Alexandre Stephant, « Législatives en Ille-et-Vilaine : Caroline Fesselier et Gilles Renault chefs de file pour La France Insoumise », sur Le Journal de Vitré, .
  59. Maxime Tuberville, « Législatives. Hélène Mocquard et Vincent Marchand, chefs de file de la France Insoumise », sur Ouest France, .
  60. Nicolas Carnec, « Législatives. Dans la 7e circonscription d’Ille-et-Vilaine, Jean-Luc Bourgeaux va trancher », sur Ouest France, .
  61. a b c d et e « Législatives : qui sont les candidats de l'union de la gauche en Indre-et-Loire ? », sur La Nouvelle République (consulté le ).
  62. a b c d e f et g « Législatives 2022 en Isère : les conséquences de l'accord à gauche sur la répartition des circonscriptions », sur France Bleu, .
  63. « Isère : Quentin Dogon, candidat d’union de la gauche dans la 8e circonscription », sur ledauphine.com (consulté le ).
  64. Henri Brissot, « Législatives : Noé Petit, 18 ans, candidat de la gauche sur la circonscription de Vendôme », sur La Nouvelle République, .
  65. a b c et d « Législatives dans la Loire : la NUPES présente tous ses candidats ou presque », sur France bleu, .
  66. Christophe Darne, « Législatives - Celline Gacon candidate de l’union de la gauche sur la première « circo » de Haute-Loire », sur L'Éveil de la Haute-Loire, (consulté le ).
  67. « Haute-Loire. Incendie de la préfecture du Puy-en-Velay : le préfet « condamne les propos » de la candidate de gauche aux élections législatives », sur Le Progrès (consulté le ).
  68. a b c d e f g h et i Dominique Bloyet, « Législatives. À gauche, quels sont les candidats de la Nupes, en Loire-Atlantique ? », sur Ouest France, .
  69. « A Montargis, un mariage arrangé autour du candidat communiste Bruno Nottin, pour peser face au RN, à LR et à Jean-Michel Blanquer », sur larep.fr, .
  70. a b c d et e « Législatives. Gauche unie : on connaît les sept candidats du Maine-et-Loire », sur Ouest-France (consulté le ).
  71. à la suite du retrait du mandat d'Anne-Sophie Frigout : Olivier Durand, « La Nupes a trouvé son candidat dans la 2e circonscription de la Marne », sur lunion.fr, (consulté le ).
  72. Voir sur france3-regions.francetvinfo.fr.
  73. a b c et d « Union de la gauche : quels candidats en Meurthe-et-Moselle ? », sur estrepublicain.fr.
  74. « Législatives : Patrick Jardin investi dans le Nord par Eric Zemmour », sur La voix du Nord, .
  75. « Législatives: Karima Chouia (EELV) est la candidate de la gauche dans la 7e circonscription du Nord », sur La voix du Nord, .
  76. « Législatives 2022 : les circonscriptions en Hauts-de-France où l'alliance France Insoumise-Ecologistes peut changer la donne », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  77. Benjamin Merieau, « Thierry Aury cède sa place à Roxane Lundy à gauche dans la première circonscription de l’Oise », sur Courrier picard, (consulté le ).
  78. Pierre-Olivier Julien, « Echos des législatives : un local palois symbolique pour Jean-Yves Lalanne (Nupes/GDS) », sur La République des Pyrénées, (consulté le ).
  79. Thierry Jouve, « Les chefs de file de L’Union Populaire en ordre de bataille » Accès payant, sur La Nouvelle République des Pyrénées, (consulté le ).
  80. « "Ne ratons pas le coche" Sylvie Ferrer de la France Insoumise du 65 s'adresse aux socialistes », sur France Bleu, (consulté le ).
  81. Patrick Sacristan, « Hautes-Pyrénées - Législatives : Grégory Korn et Victoria Klotz à Argelès-Gazost le 11 mai », sur La Semaine des Pyrénées, (consulté le ).
  82. JPA, « Scrutin législatif : une réunion publique - Hautes-Pyrénées - Vic-en-Bigorre », sur Le Petit-Journal, (consulté le ).
  83. « Sandra Regol - 1ère circonscription du Bas-Rhin », sur lesecologistes2022.fr (consulté le ).
  84. « Martine Marchal-Minazzi - 6ème circonscription du Bas-Rhin », sur lesecologistes2022.fr (consulté le ).
  85. « Nadia El Hajjaji - Candidate aux éléctions législatives 2022 », sur nupes-generation-s.fr (consulté le ).
  86. a b c d e f g h i j et k Romane Sauvage, « Législatives : l’ensemble des candidats de gauche pour le Rhône sont connus », sur tribunedelyon.fr, (consulté le ).
  87. « Législatives : LFI remplace Taha Bouhafs par un adjoint de la maire dissidente PCF de Vénissieux », sur Le Parisien, (consulté le ).
  88. Voir sur ouest-france.fr.
  89. a et b Voir sur leparisien.fr.
  90. a et b Voir sur parislightsup.com.
  91. Voir sur tetu.com.
  92. Voir sur sudouest.fr.
  93. Voir sur liberation.fr.
  94. Voir sur liberation.fr.
  95. Voir sur liberation.fr.
  96. « Législatives à Rouen. Maxime Da Silva, candidat Nupes porte la "rupture avec le libéralisme" », sur actu.fr (consulté le ).
  97. a et b « Législatives 2022. La difficile union de la gauche en Seine-Maritime », sur tendanceouest.com (consulté le ).
  98. « Législatives 2022. Le PS en Normandie : l’union des gauches ne fait pas l’unanimité », sur paris-normandie.fr (consulté le ).
  99. « Législatives 2022. Au Havre, Fécamp et Lillebonne, les certitudes et dilemmes de la gauche », sur actu.fr (consulté le ).
  100. « Législatives 2022. Véronique Bérégovoy (EELV) investie dans la 10e circonscription de la Seine-Maritime », sur paris-normandie.fr (consulté le ).
  101. « Législatives. Delphine Batho vise la passe de quatre dans la 2e circonscription des Deux-Sèvres », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  102. a b c et d « À gauche, jeu de Nupes ou jeu de dupes, on verra bien », sur La Provence (consulté le ).
  103. a b et c « Législatives. Accord à gauche : en Vendée, pas de candidat pour le Parti socialiste », sur Ouest-France (consulté le ).
  104. « Législatives. Timothée Thibaud-Lalère, candidate Nupes dans la 5e circonscription Sud-Vendée », sur ouest-france.fr (consulté le ).
  105. a b et c Fabienne Proux, « Législatives - Hauts-de-Seine : un territoire de droite investi par LREM que la gauche rêve de reconquérir », sur Le journal du Grand Paris, (consulté le ).
  106. Chez Pol et Nina Jackowski, « Union de la gauche: comment le bras droit de Jadot a été évincé » Accès payant, sur Libération, (consulté le ).
  107. Marjorie Lenhardt, « Pauline Rapilly-Ferniot, l’élue écolo de Boulogne qui rassemble autant qu’elle agace » Accès payant, sur Le Parisien, (consulté le ).
  108. « L'élue EELV virée du meeting de Le Pen est candidate aux législatives », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  109. a b c d e f g et h « Législatives 2022 Val-de-Marne: les 11 candidat de la Nouvelle union populaire (Nupes) », sur 94.citoyens.com, .
  110. a et b « Les candidats de NUPES pour les Français de l'étranger », sur lesfrancais.press, .
  111. a et b « Les candidats NUPES », sur nupes-2022.fr (consulté le ).
  112. Voir sur corsenetinfos.corsica.
  113. « Législatives 2022, 42 candidats pour 4 circonscriptions en Corse », sur francebleu.fr (consulté le ).
  114. « La Fédération Socialiste de la Guadeloupe a désigné les candidats qu'elle soutient pour les prochaines législatives », sur Guadeloupe 1ère (consulté le ).
  115. a et b « Législatives 2022 : pas de fusion à Gauche pour les Ecologistes de Guadeloupe », sur Guadeloupe 1ère (consulté le ).
  116. a et b « Législatives en Martinique : une trentaine de candidatures déclarées », sur Martinique 1ère (consulté le ).
  117. Voir sur outremers360.com.
  118. a b c d e et f « Législatives 2022 : rassemblée, la gauche réunionnaise présente ses candidats », sur la1ere.francetvinfo.fr, .
  119. « Les premiers candidats investis par le PS dans la Nupes », sur parti-socialiste.fr (consulté le ).
  120. « Olivier Gaston, candidat "La France Insoumise" aux élections législatives à Saint-Pierre et Miquelon », sur Saint-Pierre et Miquelon la 1ère (consulté le ).
  121. a et b « Accord Tavini – Union Populaire aux législatives, l'indépendance attendra », sur tahiti-infos.com, .
  122. « L’union des gauches enterrée, Mélenchon vise « l’union populaire » pour 2022 », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  123. « Avec le lancement du mouvement l'Union populaire, Mélenchon est dans l'expérimentation », sur lejdd.fr (consulté le ).
  124. « Le NPA soutiendra les candidats Nupes « en rupture avec la politique libérale » », sur L'Obs, (consulté le ).
  125. « Du Front populaire au Programme commun, les précédentes unions de la gauche française », Le Temps,‎ (lire en ligne).
  126. « VRAI OU FAKE : le Front populaire et la Nouvelle Union populaire sont-ils comparables ? », sur Franceinfo, (consulté le ).
  127. « Communiqué commun entre la France insoumise et Génération.s pour les prochaines élections législatives », sur generation-s.fr, (consulté le ).
  128. « EELV veut avoir son mot à dire pour le nom de l'alliance avec LFI », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  129. « Accord entre la France insoumise et EELV », sur Europe Écologie les Verts, (consulté le ).
  130. Alice Daudrix, « Législatives. Les écologistes rejoignent LFI pour une « Union populaire » », sur Ouest-France, (consulté le ).
  131. « Législatives: intenses négociations à gauche mais encore des atermoiements », sur La Provence, (consulté le ).
  132. « Législatives 2022. «Nouvelle Union populaire écologique et sociale» : que sait-on de l'accord LFI-EELV ? », sur leprogres.fr (consulté le ).
  133. Jade Toussay, « Le PCF rejoint LFI et la bannière NUPES pour les législatives », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  134. « Accord entre la France Insoumise et le PCF pour les prochaines élections législatives », sur pcf.fr (consulté le ).
  135. a et b Florent Le Du, « Législatives. Une union pour gagner l’Assemblée », sur humanite.fr, (consulté le ).
  136. Louis Mollier-Sabet, « Législatives : que contient l’accord entre le PCF et LFI ? », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  137. « Législatives 2022 : pour une union à gauche, des accords et des « sacrifices » parfois contestés », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  138. a b et c « Législatives 2022 : où en sont les négociations des partis de gauche avec La France insoumise ? », sur Franceinfo, (consulté le ).
  139. « Législatives 2022 : les coulisses de l’accord de principe entre LFI et le PS, après des négociations longues et difficiles », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  140. « Législatives 2022 : le Parti communiste officialise son accord avec La France insoumise ; les discussions entre socialistes et « insoumis » difficiles « sur le fond et sur les circonscriptions » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  141. « Accord entre la France insoumise et le Parti socialiste pour les prochaines élections législatives », sur parti-socialiste.fr (consulté le ).
  142. Marie-Pierre Bourgeois, « Législatives: le Conseil national des socialistes valide l'accord avec les insoumis », sur BFM TV, (consulté le ).
  143. « Le PRG vote son indépendance aux élections législatives 2022 », sur partiradicaldegauche.fr, (consulté le ).
  144. « Le Parti radical de gauche refuse l'accord aux législatives à gauche », sur 20 minutes, (consulté le ).
  145. « Législatives 2022 : le NPA ne rejoint pas la Nouvelle Union populaire écologique et sociale », sur Franceinfo, (consulté le ).
  146. « Déçu par la présence du PS, le NPA refuse de rejoindre l’union de la gauche », sur France 24, (consulté le ).
  147. Louis Mollier-Sabet, « Plusieurs partis de gauche créent la Fédération de la Gauche Républicaine », sur Public Sénat, (consulté le ).
  148. « Législatives: malgré des "divergences immenses" avec Mélenchon, Raphaël Glucksmann soutient l'union de la gauche », sur BFMTV (consulté le ).
  149. « Législatives 2022 : Nouvelle Donne soutient la NUPES et retire ses candidats titulaires », sur Nouvelle Donne (consulté le ).
  150. « Législatives : "Hors de l'union, il n'y a pas d'avenir pour la gauche", prévient le vice-président PS de l'Association des maires de France », sur Franceinfo, (consulté le ).
  151. « Législatives 2022 : Lionel Jospin en soutien de la candidate PS Lamia El Aaraje face à Danielle Simonnet de LFI », Le Figaro.
  152. « Pour Ségolène Royal, aujourd'hui, « la gauche ce n'est plus le Parti socialiste » », sur BFMTV (consulté le ).
  153. « Présidentielle : Ségolène Royal appelle au soutien de Jean-Luc Mélenchon » (consulté le ).
  154. « Les maires socialistes plaident pour des changements de règles de l'unioneuropeenne », Ouest France.
  155. « Nantes: "On est la première force de gauche" LFI arrive premier avec 33,12 % des voix. », sur actu.fr (consulté le ).
  156. « Législatives. Sept maires socialistes de grandes villes, dont celle de Rennes, publient une tribune », sur Ouest-France, .
  157. Jérémie Lamothe et Brice Laemle, « Législatives 2022 en direct : Martine Aubry « appelle les socialistes à valider » l’accord entre le PS et LFI », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  158. « L'accord entre le PS et LFI, s'il est signé, serait "inacceptable" selon François Hollande », sur France Inter, .
  159. « Bernard Cazeneuve quitte le parti socialiste », sur 20minutes.fr (consulté le ).
  160. « Bernard Cazeneuve lance un «mouvement» pour fédérer la gauche hostile à la Nupes », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  161. « DIRECT. Législatives 2022 : La France insoumise et le PS annoncent être parvenus à un accord qui sera soumis à l'approbation interne des socialistes », sur Franceinfo, (consulté le ).
  162. « DIRECT. Législatives 2022 : Bernard Cazeneuve annonce qu'il quittera le Parti socialiste en cas d'accord avec La France insoumise », sur Franceinfo, (consulté le ).
  163. « Législatives 2022 : la majorité LREM accuse EELV et le PS de "renier" leurs convictions en s'alliant avec LFI », sur Franceinfo, (consulté le ).
  164. « LSONDAGE BFMTV - Législatives: 84% des sympathisants de gauche favorables à l'alliance des partis de gauche », sur bfmtv.com (consulté le ).
  165. « À Aubervilliers, la gauche unifiée dans sa diversité », sur Politis.fr, 20220507 22:30 (consulté le ).
  166. a et b « À Aubervilliers, la NUPES se rassemble "pour l'histoire" », sur Bondy Blog, (consulté le ).
  167. « Législatives: les candidats de la gauche unie brandissent leur V de la victoire et dévoilent leur logo », sur bfmtv.com (consulté le ).
  168. Christian Salmon, « La Nupes, un événement qui déjoue les scénarios de la Ve République », sur Slate.fr, (consulté le ).
  169. « Rachel Kéké, de l’Ibis Batignolles à l’Assemblée », sur L'Humanité, (consulté le ).
  170. « «Une page de l’histoire politique de France» : Mélenchon électrise la gauche de Nupes rassemblée à Aubervilliers », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  171. « Législatives : la Nupes, une première force d’opposition à l’avenir incertain », sur France 24, (consulté le ).
  172. « Législatives : les écologistes de retour à l'Assemblée », sur Les Echos, (consulté le ).
  173. « Résultats des législatives 2022 : LFI, EELV, PS… Comment s'en sortent les différents partis de la Nupes à l'issue du second tour ? », sur Franceinfo, (consulté le ).
  174. « La joie du PS, qui conserve son groupe, et d’EELV, avec ses 23 députés, douchée par le score de l’extrême droite », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  175. « Résultats des législatives : le PCF enverrait 12 députés à l’Assemblée, selon les premières estimations », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  176. Assemblée nationale: la présidence de la commission des finances devra-t-elle revenir à un député RN?, liberation, 20 juin 2022
  177. « RN et Nupes lancent la bataille pour la commission des Finances à l'Assemblée », sur Challenges, (consulté le ).
  178. Législatives : la Nupes et le RN se disputent la présidence de la commission des Finances, publicsenat, 20 juin 2022
  179. François Vignal, « Elections sénatoriales 2023 : après le PCF, le PS noue un accord national avec EELV, LFI se sent exclu », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  180. François Vignal, « Sénatoriales 2023 : accord national entre le PS et le PCF, mais pas avec EELV », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  181. a et b François Vignal, « Sénatoriales 2023 : LFI a-t-elle fait perdre des sièges à la gauche, et combien ? », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  182. « France: vers une union de la gauche sans LFI aux sénatoriales, la Nupes se fissure », sur rfi.fr, (consulté le ).
  183. François Vignal, « Elections sénatoriales 2023 : pourquoi LFI présente des candidats partout au dernier moment ? », sur publicsenat.fr, (consulté le ).
  184. « La Nupes partira divisée pour les européennes et les sénatoriales », sur LEFIGARO, (consulté le ).
  185. « Une liste Nupes aux européennes ? «Quand c’est non, c’est non», martèle la nouvelle patronne d’EELV », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  186. « Au sein de la Nupes, des frictions sur les élections européennes », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  187. « "Quand c'est non, c'est non" : Marine Tondelier, nouvelle cheffe d'EELV, ferme définitivement la porte à une liste Nupes aux européennes », sur Franceinfo, (consulté le ).
  188. « Européennes 2024 : les Verts et les communistes « sceptiques » à l’idée d’une union de la gauche », sur Euractiv, (consulté le ).
  189. « Jean-Luc Mélenchon provoque ses alliés de la Nupes », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  190. « Cette interview de Jean-Luc Mélenchon fait tanguer la Nupes », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  191. « La mauvaise pente de Jean-Luc Mélenchon, de père fondateur à fossoyeur de la Nupes », sur liberation.fr (consulté le ).
  192. « Une responsable du PS critique les "vieux" éléphants du PS et provoque... la colère d'éléphants du PS », sur France Inter, (consulté le ).
  193. « Européennes : Léon Deffontaines désigné « chef de file » des communistes », sur Le Monde, (consulté le ).
  194. Léna Coulon, « Léon Deffontaines, jeune communiste à l’assaut des européennes », sur liberation.fr, (consulté le ).
  195. « Élections européennes : l’eurodéputée Marie Toussaint désignée cheffe de file des écologistes », Le Monde, (consulté le ).
  196. Pierre Lepelletier, « Européennes: comment Mélenchon a raté le pari de l’unité à gauche », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  197. « Européennes 2024 : Manon Aubry rempile comme tête de liste des insoumis », sur Libération et AFP, .
  198. « Européennes 2024 : la liste menée par Raphaël Glucksmann largement approuvée par les militants du PS », sur Les Echos, .
  199. Laurent de Boissieu, « Élections européennes : Raphaël Glucksmann, une campagne sur fond de guerre en Ukraine », sur La Croix, .
  200. a et b « Européennes. Aubry, Glucksmann, Toussaint, Deffontaines : ce qui différencie les candidats de gauche », sur Ouest-France, .
  201. « La guerre en Ukraine creuse le clivage à gauche avant les européennes », sur Le Monde, .
  202. « Jean-Luc Mélenchon et Raphaël Glucksmann veulent tous les deux unir la gauche après les élections européennes », sur Le Monde, .
  203. Charles-Edouard Ama Koffi, « L’exfiltration de Raphaël Glucksmann ravive les tensions au sein de la gauche », sur Challenges, .
  204. https://www.leparisien.fr/elections/europeennes/europeennes-2024-emmanuel-macron-annonce-la-dissolution-de-lassemblee-nationale-09-06-2024-5F4VDIEKZ5GA7LEAUM37MA7UPA.php
  205. https://twitter.com/Francois_Ruffin/status/1799897033261957186
  206. Jade Peychieras, « Législatives anticipées : PS, PCF, EELV et LFI annoncent "des candidatures uniques" dans "chaque circonscription" », France Bleu,‎ (lire en ligne Accès libre)
  207. « La proposition de Jean-Luc Mélenchon d’un groupe parlementaire unique de la Nupes ne convainc pas à gauche », sur Le Monde, (consulté le ).
  208. « Mélenchon juge «possible» une fin de la Nupes si la gauche part divisée aux Européennes », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  209. « 49-3 : même au sein de la Nupes, les motions de censure commencent à lasser », sur Franceinfo, (consulté le ).
  210. « Des membres de LFI et de la Nupes réclament l’exclusion d’Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales », sur 7sur7.be (consulté le ).
  211. Lou Fritel, « "Impossible" pour Faure : la Nupes embarrassée par le retour d'Adrien Quatennens à l'Assemblée », sur marianne.net, (consulté le ).
  212. « Adrien Quatennens peut-il rester à la Nupes ? Sa "camarade" Clémentine Autain répond », sur France 3 Hauts-de-France (consulté le ).
  213. Paul Gratian, « Possible retour d’Adrien Quatennens à l’Assemblée : les députés Nupes divisés » Accès libre [doc], sur Ouest France, (consulté le ).
  214. « Quatennens de retour chez les Insoumis ? Ce serait « une erreur », pour le socialiste Boris Vallaud », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  215. « La réintégration d'Adrien Quatennens au groupe LFI débattue mardi à l'Assemblée nationale », sur Franceinfo, (consulté le ).
  216. « Adrien Quatennens ne fera pas partie de l'intergroupe Nupes », sur Franceinfo, (consulté le ).
  217. Yovan Simovic, « Pourquoi les Insoumis et le RN se sont abstenus au vote de la résolution soutenant l'Ukraine », sur marianne.net, (consulté le ).
  218. « Le possible envoi de chars français en Ukraine réveille les divisions de la NUPES », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  219. Nicolas COSSIC, « À La Roche-sur-Yon, le rassemblement de la Nupes en soutien à l’Ukraine marqué par des désaccords » Accès libre [doc], sur Ouest France, (consulté le ).
  220. Hadrien Mathoux, « Mélenchon attaque les communistes : les dessous de la « bataille de l'article 7 » », sur Marianne, (consulté le ).
  221. « Retraites : Mélenchon juge « incompréhensible » la stratégie du PCF sur les retraits d’amendements », sur L'Obs, (consulté le ).
  222. LIBERATION et AFP, « L’Assemblée adopte le projet de loi de relance du nucléaire », sur liberation.fr (consulté le ).
  223. « L’Assemblée nationale rejette une proposition de résolution communiste condamnant « un régime d’apartheid » en Israël », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  224. Davide Basso, « À gauche, le Parti socialiste isolé sur la résolution condamnant « le régime d’apartheid » en Israël », sur euractiv.fr, (consulté le ).
  225. Jean Stern, « Apartheid israélien. Les bonnes résolutions d’une partie de la gauche française », sur Orient XXI, (consulté le ).
  226. « La Nupes affiche ses divergences en matière de défense », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  227. Ludovic Lamant, « À l’Assemblée, le traité UE-Mercosur expose les désaccords stratégiques de la Nupes sur le libre-échange », sur Mediapart (consulté le ).
  228. Raphael Proust, « Accord UE-Mercosur: la Nupes affiche encore ses désaccords tactiques à l'Assemblée », sur l'Opinion, (consulté le ).
  229. Marie Haynes, La chute de la Nupes en 4 actes, de l’affaire Quatennens aux polémiques sur le Hamas, huffingtonpost.fr, 28 octobre 2023
  230. Paul Turban, Nupes : ces 5 moments qui ont conduit à l'explosion de la coalition, lesechos.fr, 18 octobre 2023
  231. « Loi industrie verte : la Macronie applaudit, LR soutient sans enthousiasme, la Nupes se divise », sur marianne.net, (consulté le ).
  232. « Sur l’interdiction de l’abaya, la NUPES en ordre (très) dispersé », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  233. « La gauche française se divise sur l'interdiction de l'abaya à l'école », sur La Libre.be, (consulté le ).
  234. « Interdiction de l'abaya à l'école : la Nupes fracturée sur la question », sur France Inter, (consulté le ).
  235. John Timsit, Interdiction de l’abaya : Sandrine Rousseau dénonce une «machine de broyage d’adolescentes», lefigaro.fr, 6 septembre 2023
  236. « "Je ne les aime pas": Mélenchon tacle ses alliés de la Nupes mais appelle à "l'union" pour "le peuple" », sur BFMTV (consulté le ).
  237. « Roussel comparé à Doriot : l’insulte qui pourrait tuer la Nupes », sur humanite.fr (consulté le )
  238. Mariama Darame et Jérémie Lamothe, « Réforme des retraites : la fin chaotique et sans vote de l’examen à l’Assemblée » Accès payant, Le Monde, (consulté le ).
  239. « « À la Nupes, on doit se respecter », enjoint Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l’Assemblée », sur lejdd.fr (consulté le ).
  240. Julie Carriat, « Au congrès du PCF, la réponse de Fabien Roussel à La France insoumise : « Mêlez-vous de vos affaires » », Le Monde, (consulté le ).
  241. Marc Leras, « Congrès du PCF : Roussel prend ses distances avec la Nupes, les militants applaudissent », Le Parisien, (consulté le ).
  242. Martin Vanlaton, « Fabien Roussel, patron des communistes et député du Nord, invité par certains à quitter la Nupes », sur France 3 Hauts-de-France, (consulté le ).
  243. « Parti Socialiste : quand les anti-Nupes tentent de montrer les muscles », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le )
  244. « Génération Écologie ne participera plus à la Nupes tant que Jean-Luc Mélenchon en restera membre », sur Ouest-France, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  245. Lilian Alemagna et Sacha Nelken, « Les communistes «tournent la page» de la Nupes », sur liberation.fr, (consulté le ).
  246. J.F., « Guerre Israël-Hamas : nouvelles divisions au sein de la Nupes, des socialistes envisagent de quitter l'alliance », sur TF1 Info, (consulté le ).
  247. « Attaques contre Israël: Anne Hidalgo appelle à "mettre un terme à la mésalliance avec Jean-Luc Mélenchon" », sur bfmtv.com (consulté le ).
  248. « « Ça suffit ! » Des socialistes ulcérés par les Insoumis veulent achever la Nupes », sur parismatch.com, (consulté le ).
  249. François Vignal, « Après l’attaque du Hamas contre Israël, la Nupes se disloque sur fond de tensions entre le PS et LFI », sur Public Sénat, (consulté le ).
  250. Davide Basso, « « Suspendue », la NUPES tient à un fil après la polémique sur la qualification du Hamas », sur euractiv.fr, (consulté le ).
  251. « Le Parti socialiste vote un "moratoire" sur sa participation à la Nupes », sur Franceinfo, (consulté le ).
  252. « Avec le « moratoire » sur la participation du PS à la Nupes, une page se tourne pour l’alliance de la gauche », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  253. Elections législatives 2022 : on vous explique pourquoi la Nupes dénonce une manipulation des résultats par le ministère de l'Intérieur.
  254. « Nupes ou Ensemble ! en tête aux législatives ? Les raisons de la divergence entre « Le Monde » et le ministère de l’intérieur », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  255. « Les résultats des élections législatives 2022 », sur lemonde.fr (consulté le ).
  256. « De Quatennens à l’acte II, ces sujets qui crispent la Nupes », sur lejdd.fr (consulté le ).

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]