Moutrot
Moutrot | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Colombey et du Sud Toulois | ||||
Maire Mandat |
Charles Matos 2020-2026 |
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Code postal | 54113 | ||||
Code commune | 54392 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mutriciens, Mutriciennes[1] | ||||
Population municipale |
313 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 36′ 14″ nord, 5° 53′ 38″ est | ||||
Altitude | Min. 220 m Max. 272 m |
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Superficie | 7,26 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Meine au Saintois | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Moutrot est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Moutrot est un petit village situé à 8 km de Toul, et à proximité d'autres petits villages (Gye, Bicqueley, Allain, Ochey…). Une petite forêt sépare d'ailleurs le village de Moutrot avec celui d'Ochey.
D'après les données Corine land Cover, le territoire communal de 733 hectares se composait en 2011 de près de 24 % de forêts, 28 % de prairies et 47,5 % de surfaces agricoles. Le territoire est arrosé par les ruisseaux de la Bouvade (2,269 km), de Poisson (2,501 km) et des Ormes (2,624 km)[2].
Lepage précise, dans sa notice sur cette commune, comment la découverte de la voie romaine qui traverse son territoire a permis d'en reconnaitre la constitution[3] :
«...le chemin de grande communication qui conduit de Toul à Colombey, et dont se sert le roulage de Lyon à Metz suit, en partie, le tracé de l'ancienne chaussée romaine qui se dirigeait de Langres sur Metz. Lors de sa construction, on a rencontré, en différents endroits, les restes de la voie romaine, et l'on a pu examiner le système de construction employé alors. L'épaisseur de la chaussée était d'environ un mètre ; elle était composée de pierres en laves d'assez mauvaise qualité (calcaire millaire), et posées sur champ sous un angle d'à peu près 50 degrés par lits, les angles changeant de direction à chaque couche... »
Le Trou des Glanes
[modifier | modifier le code]Parmi les éléments remarquables de la géographie figure un élément du système karstique connu depuis fort longtemps et dont les historiens parlent en ces termes[3] :
« A peu de distance, au levant de Moutrot, sur la rive du bois et dans le ruisseau des Bouvades, on remarque un trou appelé en patois lorrain le Poteu de Dione, c'est-à-dire le Trou de Diane. Ce trou, en forme d'entonnoir, que les terres, roulées par l'eau, comblent insensiblement, avait jadis une effrayante profondeur. Il a maintenant encore, environ quinze mètres de profondeur, et dix ou douze de diamètre à l'orifice. On prétend que les eaux qui le remplissent, au temps des pluies et à la suite des orages, tombent dans un courant qui va s'échapper, à 5 kilomètres de distance, au pied de l'antique chapelle de la Rochotte. » (à Pierre la Treiche).
Il s'agit en langage scientifique moderne d'un exemple d'inversac[4],[5].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Bouvade, le ruisseau de Poisson et le ruisseau des Ormes[6],[Carte 1].
La Bouvade, d'une longueur de 20 km, prend sa source dans la commune de Bagneux et se jette dans la Moselle à Bicqueley, après avoir traversé sept communes[7].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 863 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey à 4 km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,1 °C, atteinte le [Note 2],[11],[12].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Moutrot est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[16]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,6 %), prairies (28,2 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le village s'est d'abord appelé Mollenis villa (1034), Mollonis villa (1210), Molunvilla et Malonvilla (1402). Le nom actuel entre en concurrence à l'Époque moderne : « Molonville dit le Moistier » (1538), « Meloville dit le Moictrot » (1542), « Maloville dit le Moutrot » (1592). Il s'impose à la fin du XVIIIe siècle : « Le Moutrot » (1782), pour aboutir enfin « Moutrot » en 1862[20].
Le toponyme originel était composé de l'anthroponyme germanique Modilo et du latin villa, grand domaine latifundiaire. Ce type de toponyme est caractéristique du haut Moyen Âge[21].
Le toponyme actuel est le diminutif de l'ancien français « mou(s)tier », monastère.
Histoire
[modifier | modifier le code]Beaupré signale, dans son ouvrage[22], la probable présence protohistorique et gallo-romaine sur le ban communal :
« Hache polie en silex. (Coll. Dufresne.) Hache polie. (Coll. Husson.) et restes de constructions en Voirim(n)ois, à la Terre-Monsieur, à la Sarrazinière, à Manonville, sur les Moulins, en Moulin-Vaux, en Mollonville et derrière Latrie (canton situé derrière le cimetière), et en Montant les Portions, dans la direction de Blénod.»
Lepage précise dans sa notice sur le bourg[3] :
«Les archives de Moutrot ont été détruites par un incendie, on ne dit pas en quelle année; il est probable que c'est à l'époque de la révolution de 1792. A l'angle septentrional et dans l'enceinte du cimetière, s'élève une chapelle dédiée à saint Elophe, patron de la paroisse, qui versa son sang pour la foi catholique, près de Solimariaca, maintenant Soulosse, du temps de l'empereur Julien. Au-dessus de la porte, qui sert à la fois de fenêtre et d'entrée, on lit le millésime 1727. Cependant cette chapelle est de plus ancienne date, puisque, dans l'intérieur, on voit, engagé dans le mur,un petit monument funèbre portant la date du ...»
Toutefois il est permis de faire remonter l'histoire du village bien avant puisque son nom est attesté dès l'année 1034 et que le père B. Picart en parle comme d'une possession de l'Abbé de St Epvre à Toul. dans son pouillé[23]. (Molenis Villa ou Mollenville)
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 313 habitants[Note 4], en évolution de +7,19 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Henri Lepage[3] et E. Grosse[30] donnent quelques indications à caractère économique dans leurs ouvrages de 1836 et 1843 en accord sur la surface totale de la commune :
« Surf.territ.: 726 hect. cad., dont 481 en terres arab., 83 à 85 en bois, 70 à 75 en prés et 10 ou 11 en vignes, de faible qualité, Moulin à grains.»
indiquant tous deux le caractère agricole voire modestement viticole de l'activité.
Secteur primaire ou Agriculture
[modifier | modifier le code]Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[31]), la commune de Moutrot était majoritairement orientée[Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux (auparavant polyculture et poly-élevage) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 593 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en baisse depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est nettement réduit de 725 à 256 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 5 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 6 unités de travail[Note 7].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Vestiges visibles de la voie romaine Lyon-Trèves.
- Fontaine monumentale XIXe.
- Une auge et sa colonne en pierre, d'époque et de facture inconnues.
- Trou des Glanes, résurgence de l'Aroffe, au bord de la route allant à Ochey (A. KIENTZ (2010) Les deuilles en Pays de Colombey. Etudes Touloises n° 135, article 2.)
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Elophe XVIIIe.
- Chapelle Saint-Elophe XVIIIe, près du cimetière.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Écartelé en sautoir d'or et de gueules, au château d'eau d'azur en chef et au pont se sable maçonné d'argent sur une rivière d'azur en pointe. |
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Détails | Adopté en septembre 2011. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Moutrot » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
- Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Première partie : statistique historique et administrative, Nancy, Imprimerie PEIFFER, 1843, p. 384 (lire en ligne)
- « Inversac du trou des Glanes - Description », sur www4.ac-nancy-metz.fr (consulté le ).
- « inversac — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consulté le ).
- « Fiche communale de Moutrot », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Bouvade »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Moutrot et Ochey », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Ochey », sur la commune d'Ochey - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Moutrot ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
- Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
- Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 104.
- Benoît de Toul, (166.-1720)., Pouillié ecclésiastique et civil du diocèse de Toul. Imprimé par ordre de Monseigneur., Chez Loüis & Etienne Rolin, (OCLC 491986334, lire en ligne).
- « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 1278248951 et 9781278248950, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 266.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - https://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
Liens externes
[modifier | modifier le code]- « Moutrot », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Moutrot sur le site de l'Institut géographique national