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Le Mas

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Le Mas
Le Mas
Vue du village depuis la route de Saint-Auban.
Blason de Le Mas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Ludovic Sanchez
2018-2026
Code postal 06910
Code commune 06081
Démographie
Gentilé Massois
Population
municipale
99 hab. (2021 en évolution de −37,34 % par rapport à 2015)
Densité 3,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 50′ 38″ nord, 6° 51′ 33″ est
Altitude Min. 440 m
Max. 1 689 m
Superficie 32,15 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grasse-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Mas
Géolocalisation sur la carte : France
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Le Mas
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
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Le Mas
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le Mas

Le Mas (Lo Mas en occitan provençal en écriture classique et Lou Mas en écriture mistralienne) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Massois.

Géographie

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Localisation

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Le village est situé à 8 km de Aiglun et 19 km de Roquestéron. Membre des communes du Parc naturel régional des Préalpes d'Azur, il se trouve dans la Vallée de l'Estéron.

Géologie et relief

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D'une surface de 3 215 hectares, la commune comporte 2 400 hectares, et comporte plusieurs hameaux : les Sausses[1], de La Faye, de la Clue, les Tardons[2], du Clot, de Sarrodier et du Collet.

Une des spécificités du territoire du Mas est d’être une vallée enclavée entre deux chaînes montagneuses, plus précisément entre les deux les plus importantes du haut-pays grassois : les montagnes de Bleine et le Cheiron (dite aussi montagne de Thorenc) au sud et la montagne du Charamel[3] au nord[4].

Commune située en zone de sismicité moyenne[5].

Hydrographie et les eaux souterraines

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Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6],[7]:

  • rivière l'Estéron ;
  • rivière la Gironde ;
  • ruisseau de la Faye ;
  • vallons de l'arsiagne, de la combe de la serre, de valourouot, fontanier, de la combe croux, de pigros, de la chaume, de la roche clave.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 155 mm, avec 5,8 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,5 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Statistiques 1991-2020 et records LE MAS (06) - alt : 1525m, lat : 43°48'49"N, lon : 6°48'33"E
Records établis sur la période du 01-04-2006 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,5 −1,9 0,3 3,4 6,6 10,9 13,6 13,4 9,7 6,4 2,3 −0,4 5,2
Température moyenne (°C) 1,5 1,5 4 7,4 10,8 15,3 18,4 18,2 14,1 10,1 5,2 2,5 9,1
Température maximale moyenne (°C) 4,5 4,9 7,7 11,4 15,1 19,6 23,2 23 18,4 13,8 8,2 5,3 12,9
Record de froid (°C)
date du record
−11,1
31.01.10
−13,5
14.02.09
−9,2
15.03.13
−8,1
02.04.22
−3,3
05.05.19
−0,5
01.06.06
4
15.07.16
5,7
21.08.07
0
28.09.07
−5,6
28.10.12
−8,2
27.11.10
−11,2
18.12.10
−13,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
17,9
01.01.22
20,2
01.02.16
18,5
16.03.19
21,6
08.04.11
27,7
22.05.22
32,5
28.06.19
31,9
18.07.23
31,7
22.08.23
27,7
10.09.08
24,8
08.10.23
21,5
10.11.15
16,6
24.12.23
32,5
2019
Précipitations (mm) 91,9 84,2 96,6 111,8 103 95 51,2 40,7 77,9 152 210,5 122 1 236,8
Source : « Fiche 6081001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,5
−1,5
91,9
 
 
 
4,9
−1,9
84,2
 
 
 
7,7
0,3
96,6
 
 
 
11,4
3,4
111,8
 
 
 
15,1
6,6
103
 
 
 
19,6
10,9
95
 
 
 
23,2
13,6
51,2
 
 
 
23
13,4
40,7
 
 
 
18,4
9,7
77,9
 
 
 
13,8
6,4
152
 
 
 
8,2
2,3
210,5
 
 
 
5,3
−0,4
122
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Voies de communications et transports

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Voies routières

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Village desservi par la route départementale 17 depuis Roquestéron, puis par la départementale 10[14].

Boucle d’Azur N°2 : La route des clues[15].

Transports en commun

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Une ligne régulière du réseau Sillages de la Communauté d’Agglomération du Pays de Grasse dessert la commune[16],[17],[18].

Intercommunalité

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Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

Au , Le Mas est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[20]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (87 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %)[23].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Isnard, de la Maison de Grasse, commandeur de Saint-Jean-de-Jérusalem[24], prieur de Capoue, Grand sénéchal de Provence, a reçu de la reine Jeanne, en récompense de ses services, les terres du Mas et d'Aiglun, le . Il a fait donation de la terre d'Aiglun à son cousin Pons des Ferres, le . Le fief du Mas est revenu à Bertrand II de Grasse. La famille de Grasse perdit la seigneurie du Mas au moment de la dédition de Nice[25] car elle est restée fidèle aux comtes de Provence[26].

En 1713, le traité d'Utrecht prévoit que l’Ubaye et ses dépendances, relevant auparavant du royaume de Piémont-Sardaigne, soit échangé contre les places françaises du Val de Suse, afin que la frontière suive la ligne de partage des eaux. Mais les imbrications de territoires héritées de l’histoire subsistent : ainsi, Entraunes et Saint-Martin-d'Entraunes dépendaient de Barcelonnette, mais se situent dans la vallée du Var, donc du côté Piémontais, en amont de Guillaumes qui lui était déjà français. Le royaume de France et celui du Piémont les revendiquèrent. Par ailleurs, la vallée de l’Estéron, en rive droite du Var, était piémontaise, créant ainsi une langue de territoire s’avançant dans la Provence française. Dans le Haut-Var, c’est finalement la règle de la ligne de partage des eaux qui prévaut. Pour apporter une compensation à la France, et réduire l’irrégularité de la frontière, la communauté du Mas est cédée à la France en 1718[27],[28],[29].

Le samedi un quadrimoteur B-24 Liberator de l'USAF[30] s'écrasait sur les hauteurs du col de Bleine, pic de l'aigle.

Héraldique

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Blason de Mas (Le) Blason
D’azur à la maison d’argent posée sur un tertre de sinople, au chef cousu parti au 1er de gueules chargé d’une croix d’argent et au 2e aussi d’azur chargé de trois fleurs de lys d’or 2 et 1[31].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2007 Marcel Rebuffel   mort en fonctions
2006 mars 2008 Frédéric Castellano DVD  
mars 2008 2018 Fabrice Lachenmaier PRG Cadre
2018 En cours Ludovic Sanchez    

Budget et fiscalité 2019

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La mairie.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[32] :

  • total des produits de fonctionnement : 187 000 , soit 1 192 par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 144 000 , soit 915  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 45 000 , soit 287  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 90 000 , soit 575  par habitant ;
  • endettement : 79 000 , soit 500  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 6,04 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 4,91 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 21,79 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 900 [33].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

En 2021, la commune comptait 99 habitants[Note 3], en évolution de −37,34 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
467446436460568496503512501
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
430403405387362338344331298
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2572021651308767515546
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
414625120108136130128169
2015 2020 2021 - - - - - -
15810099------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Le Mas comptait trois écoles au village[38], aux Sausses et aux Tardons. La mairie-école[39].

Établissements d'enseignements actuels[40] :

  • écoles maternelles à Andon, Gréolières ;
  • écoles primaires à Briançonnet, Gréolières ;
  • collège à Puget-Théniers, Saint-Vallier-de-Thiey ;
  • lycée à Vence.

Professionnels et établissements de santé[41] :

  • Médecins à Puget-Théniers, Entrevaux,
  • Hôpitaux à Puget-Théniers, Cabris, Grasse,
  • Pharmacies à Entrevaux, Saint-Vallier-de-Thiey.

Entreprises et commerces

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Agriculture

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Les moines de l’Abbaye de Lérins s'étaient implantés sur une crête de la montagne Charamel, faisant l’élevage de moutons[43]. Le Mas, détaché du Comté de Nice, revient à la France en 1718 par le Traité de Paris. Ses principales activités économiques étaient l’élevage d’ovins, la production maraîchère et l’exploitation forestière. Cette industrie du bois traversera les siècles pour s’éteindre vers 1960[44].

À l'exception de deux petites exploitations de Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules, la vallée de St Auban, zone de trois communes originellement (Aiglun, Le Mas et Saint Auban) a vu son nombre d’exploitations divisé par trois de 1955 à 2000. En 2000, les communautés du Mas et d’Aiglun (à l’est de Saint Auban) ne comptaient plus aucun agriculteur et formaient un espace entièrement recolonisé par la forêt[45],[46].

  • Auberge communale[47].
  • Gîtes ruraux[48].
  • Maison de vacances[49].

Commerces et services de proximité dans les villages environnants.

Lieux et monuments

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Patrimoine religieux :

Patrimoine civil :

  • vestiges du château féodal du XIe siècle[64] ;
  • petit château classique[65] ;
  • moulin au sud du village ;
  • la pierre rousse de Pimpinier[66].

Patrimoine environnemental :

  • Un patrimoine environnemental préservé et une diversité de faune et flore[67].

Personnalités liées à la commune

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  • Jules Muraire, acteur provençal dit Raimu, dont la famille est originaire du Mas[68].
  • De Barlatier de Mas (dite aussi « De Barlatier de Saint-Julien »)[69].
  • Paul-François Bartalier du Mas, capitaine des vaisseaux du roy[70].
  • Les De Grasse, seigneurs du Mas[71].

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Le hameau des Sausses
  2. Le hameau des Tardons
  3. Le Masse-Charamel, Légendes | Plus de détails (PDF) Profil altimétrique
  4. Le Mas, une vallée entre deux montagnes
  5. Zonage administratif (ancien nouveau)
  6. L'eau dans la commune
  7. Les pieds dans l’eau
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Le Mas » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Le Mas » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. Comment venir au Mas ?
  15. La route des clues
  16. La Région a rassemblé ses réseaux de transports sous une bannière unique : ZOU !, qui s’étend à l’ensemble du territoire
  17. Les cars Lignes d'Azur
  18. Carte 06 du réseau Lignes d'Azur
  19. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  20. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. Les Hospitaliers au Mas
  25. Des histoires de frontières...
  26. Vidéo découverte
  27. Lettres patentes du Roy sur arrest
  28. Denis Andreis, « 1713-1718 : la haute vallée du Var au cœur d’un litige international », Au cœur des Alpes : Utrecht, colloque organisé par le musée de Colmars, l’écomusée de la Roudoule, l’association Sabença de la Valeia, 14-16 septembre 2012. Actes à paraître en 2013
  29. Histoire et le patrimoine de la commune du Mas
  30. Le 27 mai 1992 Une stèle a été inaugurée le 27 mai 1992 sur les lieux du crash B24
  31. Dominique Cureau, « Les Monts d'azur : Le Mas », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  32. Les comptes de la commune
  33. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Quand les petits Massois s’en allaient à l’école
  39. La mairie-école
  40. Établissements d'enseignements
  41. Professionnels et établissements de santé
  42. Paroisse Notre-Dame de Miséricorde, p.150
  43. Le Mas au Moyen-Âge
  44. Le Mas, Les temps modernes et contemporains
  45. Analyse diagnostic de l’agriculture des Préalpes d’Azur Canton de Saint-Auban, Alpes-Maritimes, par Anne Le Nail et Clara Gasser : 2. La vallée de St Auban, p.16
  46. Les territoires agricoles : Le Mas
  47. Auberge le Charamel
  48. Gîtes ruraux
  49. Le Gîte Bistrot
  50. Chapelle Saint Arnoux
  51. L'église (dédiée à Notre Dame et Saint Arnoux), sur montnice.fr/cartographie/
  52. « Église », notice no PA00080759, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  53. Église Notre-Dame
  54. Notice no PA00080759, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  55. Église paroissiale Notre-Dame, sur patrimages.culture.gouv.fr/
  56. La chapelle Saint-Arnoux
  57. Chapelle des Pénitents Blancs
  58. La chapelle des pénitents blancs
  59. Chapelle Saint Sébastien
  60. La chapelle Saint-Sauveur
  61. La croix du jubilé
  62. Plaque commémorative
  63. Plaque faisant office de monument aux Morts
  64. Château Seigneurial
  65. Le château seigneurial
  66. La pierre rousse de Pimpinier
  67. Un patrimoine environnemental exceptionnel
  68. Jules Muraire, acteur provençal dit Raimu, dont la famille est originaire du Mas
  69. De Barlatier de Mas ( dite aussi « De Barlatier de Saint-Julien » )
  70. Paul-François Bartalier du Mas, capitaine des vaisseaux du roy
  71. Les De Grasse, seigneurs du Mas

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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