Discussion:Joseph Balsamo
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recyclage de l'article
[modifier le code]A mon sens, il faudrait reprendre lourdement l'article.
- Il ne fait à aucun endroit une biographie structurée, présentant uniquement les faits avérés et sourcés, mais au contraire un amalgame permanent de faits possibles et de on-dits.
- Le nombre d'anecdotes relevant des commentaires de guides d'été pour touriste est impressionnant. (ses voyages supposés, ses escroqueries, sa mort, son déterrement, etc...)
- Les moments qui semblent pouvoir être les plus historiques (sa vie de salon, ses deux procès) sont très peu traités.
- Le chapitre "Deux optiques différentes" n'a pas de raison d'être. C'est typiquement du TI. (et je ne vois pas ce que le pauvre Jacques de Voragine a à faire là dedans).
- Le chapitre "documentation annexe" est inutile. Les minutes de son procès doivent aller dans wikisources (si ce texte est vrai) et le rapport sur la transmutation est non-encyclopédique au possible.
Cedalyon (d) 20 juillet 2010 à 11:26 (CEST)
- Je suis entièrement d'accord. Il apparait clairement que Joseph Balsamo était un escroc que l'on fait passer pour chrétien alors qu'il était juif. Il faut assumer et hélas pour les chrétiens Balsamo n'était pas des leurs. C'est Goethe dans son "Voyage en Italie" qui arrive à cette conclusion après avoir enquêté sur place.
Thémistoclès (d) 4 décembre 2012 à 10:45 (CEST)
Suites aux remarques de que j'estime fondées de Cedalyon
[modifier le code]Je place le passage litigieux en page de discussion afin que le travail ne soit perdu et que quelque contributeur plus spécialisé puisse faire la part du TI ou placer certains passages aux bons endroits (si c'est vrai) (wikisource?)
Deux optiques différentes
[modifier le code]Sa vie d'aventurier peut être vue sous deux angles, celui de la légende noire, et celui de la « légende dorée » (discours revérentiel évoquant les hagiographies de Jacques de Voragine).
Vue critique
[modifier le code]Fils de petits commerçants, il aurait d'abord été frère mendiant. Ayant aidé dans les hôpitaux, il put arriver à se prétendre médecin, mais ayant commis plusieurs irrégularités, il s'enfuit et visita l'Orient (Égypte ?) et les grandes villes d'Europe (Londres, Varsovie, St Petersbourg), où le précédait une réputation diffusée par les clubs maçonniques. Il prétendait disposer de secrets médicaux, dont la recette de l'eau philosophale, capable de rendre la jeunesse (le mythe de la Fontaine de Jouvence fut très en vogue au XVIIIe siècle). Arrivé à Paris en 1785, son succès fut triomphal, mais il visita la Bastille et fut exilé l'année suivante : Il avait été mentionné comme associé du Cardinal de Rohan dans l'Affaire du collier de la reine. Poursuivant ses voyages et sa vie de « Gourou » itinérant, il fut trahi par sa femme, pourtant longtemps complaisante, et livré à l'inquisition de Rome en 1789. Condamné à la prison perpétuelle comme illuminé et franc-maçon, un moine l'aurait étranglé dans son cachot. Alexandre Dumas s'est emparé de la figure de Joseph Balsamo pour tenter de donner une coloration mystérieuse à son cycle de romans (Joseph Balsamo, Le Collier de la Reine, Ange Pitou, La Comtesse de Charny et Le Chevalier de Maison-Rouge) situés à la fin du XVIIIe siècle.
Vue apologétique
[modifier le code]Selon ses Mémoires écrites dans la Bastille, il serait né à Malte ou à Médine dans une famille noble chrétienne mais inconnue, puis élevé en Arabie dans le palais du mufti Salahaym à Médine sous le tutorat du sage Althotas, puis dans le palais du chérif de la Mecque, recevant une éducation sous le nom d’Acharat, fils du roi de Trébizonde[1].
Le nom Balsamo serait d'origine orientale et Cagliostro serait un authentique sorcier sicilien. Il aurait réellement eu des pouvoirs de guérisons avérés et aurait été un annonciateur du spiritisme en faisant apparaître des « ombres » (la Théosophie le reconnaît comme l'un de ses précurseurs). Il fonda la « maçonnerie égyptienne » à Lyon en l'implantant au sein des obédiences traditionnelles, et les initiés de ces loges le tiennent pour le continuateur du Comte de St-Germain. Cependant, Goethe, qui était maçon et en recherche de « secrets » lui rendit visite dans sa prison (on suppose que Goethe avait connu St-Germain) et déclara à ce propos « Le disciple ne vaut pas le maître ». Cagliostro se vantait ouvertement d'avoir rendu le Collier maléfique et précipité la chute de l'aristocratie. L'armée française – qui comptait des maçons égyptiens dévoués – approchant de Rome, il aurait été supprimé pour ne pas être libéré par ses frères.
Cette vie légendaire est balayée depuis la publication en 1912 du calepin journal de Louis Ramond de Carbonnières qui fut un temps secrétaire particulier de Cagliostro, calepin qui donne une image plus juste des aventures de Cagliostro[2].
Documentation annexe
[modifier le code]Minute de son discours devant le Parlement français, lors du procès du collier
[modifier le code]« Je ne suis d’aucune époque ni d’aucun lieu ; en dehors du temps et de l’espace, mon être spirituel vit son éternelle existence et, si je plonge dans ma pensée en remontant le cours des âges, si j’étends mon esprit vers un mode d’existence éloigné de celui que vous percevez, je deviens celui que je désire. Participant consciemment à l’Être absolu, je règle mon action selon le milieu qui m’entoure. Mon nom est celui de ma fonction et je le choisis, ainsi que ma fonction, parce que je suis libre ; mon pays est celui où je fixe momentanément mes pas. Datez-vous d’hier, si vous le voulez, en vous rehaussant d’années vécues par des ancêtres qui vous furent étrangers ; ou de demain, par l’orgueil illusoire d’une grandeur qui ne sera peut-être jamais la vôtre ; moi, je suis Celui qui Est. Je n’ai qu’un père : différentes circonstances de ma vie m’ont fait soupçonner à ce sujet de grandes et émouvantes vérités ; mais les mystères de cette origine, et les rapports qui m’unissent à ce père inconnu, sont et restent mes secrets ; que ceux qui seront appelés à les deviner, à les entrevoir comme je l’ai fait, me comprennent et m’approuvent. Quant au lieu, à l’heure où mon corps matériel, il y a quelque quarante ans, se forma sur cette terre ; quant à la famille que j’ai choisie pour cela, je veux l’ignorer ; je ne veux pas me souvenir du passé pour ne pas augmenter les responsabilités déjà lourdes de ceux qui m’ont connu, car il est écrit : « Tu ne feras pas tomber l’aveugle. » Je ne suis pas né de la chair, ni de la volonté de l’homme ; je suis né de l’esprit. Mon nom, celui qui est à moi et de moi, celui que j’ai choisi pour paraître au milieu de vous voilà celui que je réclame. Celui dont on m’appela à ma naissance, ce qu’on m’a donné dans ma jeunesse, ce sous lesquels, en d’autres temps et lieux, je fus connu, je les ai laissés, comme j’aurais laissé des vêtements démodés et désormais inutiles. Me voici : je suis Noble et Voyageur ; je parle, et votre âme frémit en reconnaissant d’anciennes paroles ; une voix, qui est en vous, et qui s’était tue depuis bien longtemps, répond à l’appel de la mienne ; j’agis, et la paix revient en vos cœurs, la santé dans vos corps, l’espoir et le courage dans vos âmes. Tous les hommes sont mes frères ; tous les pays me sont chers ; je les parcours pour que, partout, l’Esprit puisse descendre et trouver un chemin vers vous. Je ne demande aux rois, dont je respecte la puissance, que l’hospitalité sur leurs terres, et, lorsqu’elle m’est accordée, je passe, faisant autour de moi le plus de bien possible ; mais je ne fais que passer. Suis-je un Noble Voyageur ? Comme le vent du Sud, comme l’éclatante lumière du Midi qui caractérise la pleine connaissance des choses et la communion active avec Dieu, je viens vers le Nord, vers la brume et le froid, abandonnant partout à mon passage quelques parcelles de moi, me dépensant, me diminuant à chaque station, mais vous laissant un peu de clarté, un peu de chaleur, un peu de force, jusqu’à ce que je sois enfin arrêté et fixé définitivement au terme de ma carrière, à l’heure où la rose fleurira sur la croix. Je suis Cagliostro. Pourquoi vous faut-il quelque chose de plus ? Si vous étiez des enfants de Dieu, si votre âme n’était pas si vaine et si curieuse, vous auriez déjà compris ! Mais il vous faut des détails, des signes et des paraboles. Or, écoutez ! Remontons bien loin dans le passé, puisque vous le voulez. Toute lumière vient de l’Orient ; toute initiation, de l’Égypte ; j’ai eu trois ans comme vous, puis sept ans, puis l’âge d’homme, et, à partir de cet âge, je n’ai plus compté. Trois septénaires d’années font vingt et un ans et réalisent la plénitude du développement humain. Dans ma première enfance, sous la loi de rigueur et justice, j’ai souffert en exil, comme Israël parmi les nations étrangères. Mais, comme Israël avait avec lui la présence de Dieu, comme un Metatron le gardait en ses chemins, de même un ange puissant veillait sur moi, dirigeait mes actes, éclairait mon âme, développant les forces latentes en moi. Lui était mon maître et mon guide. Ma raison se formait et se précisait ; je m’interrogeais, je m’étudiais et je prenais conscience de tout ce qui m’entourait ; j’ai fait des voyages, plusieurs voyages, tant autour de la chambre de mes réflexions que dans les temples et dans les quatre parties du monde ; mais lorsque je voulais pénétrer l’origine de mon être et monter vers Dieu dans un élan de mon âme, alors, ma raison impuissante se taisait et me laissait livré à mes conjectures. Un amour qui m’attirait vers toute créature d’une façon impulsive, une ambition irrésistible, un sentiment profond de mes droits à toute chose de la Terre au Ciel, me poussaient et me jetaient vers la vie, et l’expérience progressive de mes forces, de leur sphère d’action, de leur jeu et de leurs limites, fut la lutte que j’eus à soutenir contre les puissances du monde ; je fus abandonné et tenté dans le désert ; j’ai lutté avec l’ange comme Jacob, avec les hommes et avec les démons, et ceux-ci, vaincus, m’ont appris les secrets, qui concernent l’empire des ténèbres pour que je ne puisse jamais m’égarer dans aucune des routes d’où l’on ne revient pas. Un jour après combien de voyages et d’années le Ciel exauça mes efforts : il se souvint de son serviteur et, revêtu d’habits nuptiaux, j’eus la grâce d’être admis, comme Moïse, devant l’Éternel. Dès lors je reçus, avec un nom nouveau, une mission unique. Libre et maître de la vie, je ne songeai plus qu’à l’employer pour l’œuvre de Dieu. Je savais qu’il confirmerait mes actes et mes paroles, comme je confirmerais son nom et son royaume sur la terre. Il y a des êtres qui n’ont plus d’anges gardiens ; je fus de ceux-là. Voilà mon enfance, ma jeunesse, telle que votre esprit inquiet et désireux de mots la réclame ; mais qu’elle ait duré plus ou moins d’années, qu’elle se soit écoulée au pays de vos pères ou dans d’autres contrées, qu’importe à vous ? Ne suis-je pas un homme libre ? jugez mes mœurs, c’est-à-dire mes actions ; dites si elles sont bonnes, dites si vous en avez vu de plus puissantes, et, dès lors, ne vous occupez pas de ma nationalité, de mon rang et de ma religion. Si, poursuivant le cours heureux de ses voyages, quelqu’un d’entre vous aborde un jour à ces terres d’Orient qui m’ont vu naître, qu’il se souvienne seulement de moi, qu’il prononce mon nom, et les serviteurs de mon père ouvriront devant lui les portes de la Ville Sainte. Alors, qu’il revienne dire à ses frères si j’ai abusé parmi vous d’un prestige mensonger, si j’ai pris dans vos demeures quelque chose qui ne m’appartenait pas ! »
Rapport sur une transmutation
[modifier le code]Beaucoup ne voient dans Cagliostro qu'un adroit charlatan; mais quelques-uns ne le reconnaissent pas en Balsamo et le considèrent comme un homme un véritable thaumaturge, doué du don de prédire. Sa capacité à produire des effets surprenants est certaine, tout comme l'aisance dans laquelle il vivait. Compte rendu d'une transmutation effectuée par Cagliostro : Voici un rapport détaillé relatant la façon dont, le 7 juin 1780, Cagliostro "fit" de l'argent dans une loge maçonnique de Varsovie, tel que l'un de ses membres le consigna dans une description de cette expérience : Cagliostro me fit peser une livre de mercure que je possédais, déjà purifié. Avant cela, il m'avait ordonné de distiller de l'eau de pluie jusqu'à ce que tout le liquide s'évapore, laissant un dépôt qu'il appelait "Terre Vierge" ou "secunda materia". Il en resta environ 16 grains. Sur ses instructions, j'avais également préparé un extrait de plomb. Après que tous ces préparatifs furent achevés, il vint à la loge et me confia la tâche d'exécuter l'ensemble de l'opération de mes propres mains. Je fis ceci selon ses instructions dans l'ordre suivant: La terre vierge fut placée dans un ballon et la moitié du mercure y fut ajoutée. J'additionnai alors 30 gouttes d'extrait de plomb. Lorsque j'agitai un peu la fiole, le mercure apparut comme mort ou fortement congelé. Je versai alors le supplément d'extrait de plomb sur le mercure restant qui demeura non altéré. J'eus alors à placer ensemble les deux portions de mercure dans un ballon plus grand. Après l'avoir agité, tout le contenu prit en quelque sorte la même consistance solide. La couleur tourna au gris sale. L'ensemble fut alors agité dans un vase à moitié rempli. Cagliostro me donna ensuite un petit morceau de papier se révélant n'être que l'emballage de deux autres boulettes. Elles contenaient une poudre brillante de couleur carmin pesant sans doute un dixième de grain. La poudre fut mélangée dans le récipient et Cagliostro avala alors les trois papiers d'emballage. Pendant ce temps, je recouvrais le contenu du vase de plâtre de Paris, préalablement préparé avec de l'eau chaude. Comme le récipient était rempli, Cagliostro le prit de mes mains, y ajoutant encore plus de plâtre de Paris et pressant le tout de ses propres mains. Il me le rendit afin de sécher l'ensemble sur un feu de charbon de bois. Le vase fut placé dans un lit de cendres sur la fournaise à soufflerie. Le feu fut allumé et le récipient laissé ainsi pendant une demi-heure. Puis on retira du feu grâce à une paire de pinces et on le transporta dans la loge. Le vase y fut brisé et dans le fond reposait une masse d'argent pesant 14 onces et demi.......
Notes et références
[modifier le code]- (en) M. M. Pattison Muir, The Story of Alchemy And the Beginnings of Chemistry, Diginovus, , 140 p. (lire en ligne).
- Franck Ferrand, « L'ombre de Cagliostro », émission Au cœur de l'histoire sur Europe 1, 20 avril 2012.
Mariage ?
[modifier le code]Dans la suite des judicieux commentaires de Cedalyon, je m'interroge sur la présence du (mauvais) portrait de Sérafine... On doit supposer que c'est l'épouse de JB... ? --Jebulon (d) 12 mai 2013 à 14:26 (CEST)
- Soyez plus explicite...que voulez-vous dire?--Adri08 (discuter) 13 février 2014 à 20:42 (CET)
Cagliostro ou Saint Germain ?
[modifier le code]La même anecdote est attribuée à la fois à Cagliostro et au comte de Saint Germain dans les articles wikipédiesques respectifs. Il est question, selon la marquise de Créquy, d'une escroquerie de 400.000 francs au préjudice de Mme d'Urfé. Ce serait bien de choisir, sauf à supposer que Cagliostro et Saint Germain sont la même personne... ou que Mme d'Urfé se faisait arnaquer par tout le monde !
- C'est la réponse C. Voici le passage dans le troisième tome des mémoires de la Marquise de Créquy: « Elle a travaillé pendant quatre ans sur la cabale et la pierre philosophale avec le prétendu Comte de Saint-Germain, ce qui n'a pas laissé de lui coûter cent mille écus. Le signor Alessandro Cagliostro lui fit dépenser, quelques années après, quatre ou cinq cent mille francs pour opérer l'évocation des ombres de Paracelse et de Moïtomut, qui devaient lui révéler la dernière Arcane du Grand-œuvre. Elle a fini par tomber dans les mains d'un autre imposteur italien, nommé Casanova, lequel avait la délicatesse de ne jamais lui demander de l'argent, mais seulement de riches pierreries pour en former des constellations. » Seulement ces mémoires sont réputés apocryphes donc je me demande s'il ne faudrait pas enlever tout ça. Mezigue (discuter) 15 septembre 2015 à 12:28 (CEST)
Titre
[modifier le code]Est-ce que le titre actuel ne constitue pas une infraction au "principe de moindre surprise" ? La logique voudrait plutôt qu'il soit désigné non pas sous son vrai nom, mais sous son nom le plus connu, à savoir Cagliostro. J'ai l'impression que nous sommes les seuls à intituler la page Joseph Balsamo : la page anglaise s'appelle ainsi Alessandro Cagliostro, ce qui me paraît plus logique. Jean-Jacques Georges (Sonnez avant d'entrer) 22 septembre 2016 à 15:18 (CEST)
Balsamo et sa réputation d'immortalité
[modifier le code]A une époque où en France, on se maquillait à l'oxyde plomb, où l'on consommait tellement de produits toxiques, sans hygiène ou presque, le corps ne pouvait que tomber malade avec ces "Armadas" de staphylocoques.
La jeunesse éternelle était-elle due à son éducation plus proche de base hygiènique et de consommation alimentaire permettant de garder au corps sa meilleur intégrité avec les ans ?
Récemment l'identification de l'urolithine A, trouvée dans la grenade, qui serait capable de "relancer la mitophagie et donc le recyclage des mitochondries vieillissantes. Pour Patrick Aebisher, co-auteur de l’étude, il s’agit d'une "substance entièrement naturelle dont l’effet est puissant et mesurable". (revue FormaScience)
Serait-ce là un des secrets de jeunesse sans doute connu dans un Orient encore proche de la tradition d'éducation antique, basée entre autre sur l'étude de la pharmacopée et des pouvoirs des plantes.
"Faisant de Cagliostro un proxénète"
[modifier le code]Peut-on réellement parler de proxénétisme si la femme de Cagliostro séduit de "grands personnages" afin qu'elle et son époux en profitent tous deux? Cela me semble un jugement moral non justifié. 104.192.232.2 (discuter) 11 juin 2021 à 02:49 (CEST)
Section cinéma / télévision
[modifier le code]Le personnage de Joseph Balsamo apparaît dans l'encyclopédie Cinéma et Historie d'Hervé Drumont, Volume 3 ( https://www.hervedumont.ch/page.php?id=fr10&idv=3 ), se faisant, la section actuelle va être complété selon les informations en liens.
Bien à Vous Nore11 (discuter) 12 septembre 2021 à 16:54 (CEST)