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Cerdon (Ain)

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Cerdon
Cerdon (Ain)
Vue en hauteur du village de Cerdon.
Blason de Cerdon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Nantua
Intercommunalité Communauté de communes Rives de l'Ain - Pays du Cerdon
Maire
Mandat
Marc Chavent
2020-2026
Code postal 01450
Code commune 01068
Démographie
Gentilé Cerdonnais
Population
municipale
755 hab. (2022 en évolution de −3,82 % par rapport à 2016)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 00″ nord, 5° 27′ 53″ est
Altitude Min. 286 m
Max. 992 m
Superficie 12,30 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pont-d'Ain
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Cerdon
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Cerdon
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Cerdon
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Cerdon

Cerdon est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Cerdon intègre la région naturelle du Bugey dans le massif du Jura.

Ses habitants s'appellent les Cerdonnais et les Cerdonnaises[1].

Géographie

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Cerdon est une commune du département de l'Ain en France. Cette commune est située dans le Bugey, dans le massif du Jura. Elle fait partie de la communauté de communes Rives de l'Ain - Pays du Cerdon dont le siège est à Jujurieux.

Cerdon se trouve dans une vallée.


Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 379 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vieu », sur la commune de Vieu-d'Izenave à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 9,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 610,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Cerdon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), cultures permanentes (10,7 %), zones urbanisées (3,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,4 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cerdon en 1215, Cerdun en 1220[13], apud Cerdonem en 1255[14].

La terminaison -dun fait pencher pour un Cer-dun rappelant un lieu renforcé, forteresse, bastion mais aussi pouvant être un enclos en dur servant à garder du bétail.

Entre 1887 et 1951, le bourg est desservi par les Tramways de l'Ain, un chemin de fer secondaire à voie métrique le reliant à Ambérieu-en-Bugey et Ars-sur-Formans.

Paroisse (Cerdun, de Cerdone) sous le vocable de saint Jean-Baptiste. Cerdon apparaît vers le milieu du XIIe siècle. Il est mentionné en outre dans un état de répartition, en 1187, entre les membres du chapitre métropolitain de Lyon, du revenu de leur église. Il formait alors une obédience avec la dotation du canonicat de Guillaume de Coligny.

Guichenon assure que les sires de Thoire-Villars ont été les fondateurs de la cure, ce qui est très probable, puisque les pouillés des XIVe et XVe siècles leur attribuent le patronage de l'église qui reçut, en 1369, un nouveau legs d'Humbert, sire de Thoire-Villars.

À la demande de Philibert, duc de Savoie, et de Yolande de France, sa mère, le pape Sixte IV, par bulle de , érigea cette église en collégiale et lui unit les cures de Saint-Alban, de Labalme et de Mérignat, avec la chapelle de Préaux. Le chapitre de Cerdon était composé d'un doyen et de sept chanoines. Les statuts, rédigés longtemps après sa fondation, furent approuvés, le , par Louis de Gorrevod, évêque de Maurienne et de Bourg. Entre autres prérogatives, il jouissait du droit de nommer à la cure. Il percevait le tiers de la dîme du vin et la moitié de celle du blé.

La seigneurie de Cerdon paraît avoir été possédée d'abord par des gentilshommes qui en portaient le nom (famille de Cerdon). On connaît un Boson de Cerdon, témoin, en 1150, avec Guillaume de Grammont et Gui de Grammont, Raymond de Chavornay et Nicolas de La Palud, d'un acte de satisfaction en faveur de l'église de Belley. Mais dès l'an 1200 au moins, cette terre appartenait déjà en propre aux sires de Coligny, qui la donnèrent en dot à Alix de Coligny, femme d'Humbert II.

Elle resta dans la famille de Thoire-Villars jusqu'en 1402 [sic], qu'Humbert VII, le dernier sire de son nom, la vendit au comte de Savoie. En 1497, le duc Charles de Savoie le comprit dans le douaire de sa belle-mère [sic], Claude de Brosse, dite de Bretagne, qui en jouit jusqu'en 1513. Après elle, elle fit partie de la dot de Philiberte de Savoie, marquise de Gex, femme de Julian de Médicis, duc de Nemours. En 1524, elle fit retour au domaine ducal de Savoie. Remise depuis à Charles de la Chambre, baron de Meximieux, elle fut retirée en 1565, et entra dans l'apanage de Jacques de Savoie, duc de Nemours, dont les descendants en jouirent jusqu'aux premières années du XVIIIe siècle, lorsqu'elle fut aliénée à la famille de la Poype-Saint-Jullin. Vers 1750, elle arriva en dernier lieu à celle de Quinson, qui la possédait encore en 1789.

La Tour de Carmier

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La tour de Carmier.

Le , Humbert III, seigneur de Villars accorde des franchises (privilèges) aux Cerdonnais[15]

Les habitants de Cerdon devaient auparavant faire le guet et monter la garde au château de Poncin. Humbert III les en déchargea et les obligea seulement à faire le guet à la tour de Carmier[15].

Dans ses notes historiques de 1858, Bazin écrit que la tour a été construite par Humbert III comte de Savoie (1136/1189) et le nom de Caresmier venait d'un seigneur du lieu.[réf. nécessaire]Mais la présence d’Humbert III comte de Savoie ne semble pas évidente car à cette époque seul le comté de Belley était savoyard et il n’entretenait qu’une alliance avec les Thoire et Villars.

En 1433, la Bresse fut mise en état de défense contre la France.

Amédée VIII de Savoie souhaita reconstruire l’ancienne fortification de Caresmier, à Cerdon, et décida que Poncin en dépendrait entièrement.

Il résulte des comptes de la Cour de Bourgogne, en 1434, que « plusieurs châteaux furent inspectés par Jean de Bellecombe capitaine général des fortifications de Bresse pour le compte du duc de Savoie. Leurs réparations furent lancées et notamment ceux de Chatillon-les-Dombes, Jasseron, Loyettes, Pérouges, Poncin, Saint-Germain, Saint-Trivier-de-Courte et Treffort. Le châtelain de Poncin observa que les vignes furent cuites et conglutinées (jus visqueux, gluant). La situation n’était donc pas propice à dépense ».[réf. nécessaire]

Différentes appellations ont été données à la tour. Nous avons pu relever « Tour de Carinan », « Tour de Caresmier » et enfin « Tour de Carmier ».

Héraldique

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Armes de Cerdon

Les armes de Cerdon portent[16] :

Bandé d'or et de gueules de six pièces, au chef de gueules chargé d'une aigle d'argent membrée, becquée, lampassée et couronnée d'azur.

Faits historiques

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Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Cerdon est membre de la communauté de communes Rives de l'Ain - Pays du Cerdon, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Jujurieux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Nantua, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[9]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Pont-d'Ain pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[9], et de la cinquième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].

Administration municipale

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La mairie.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 1980 René Lyot PRG Conseiller général
1980 1989 Claudius Carante    
1989 1995 Bernadette Bulliot    
1995 2017 Sylvie Goy-Chavent UDI Enseignante
Sénatrice (depuis 2008)
2017 2020 Georges Vucher[19]    
2020 En cours Marc Chavent Reconquête (jusqu’en 2024)[20]
UDR (depuis 2024)
 

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2022, la commune comptait 755 habitants[Note 1], en évolution de −3,82 % par rapport à 2016 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4571 3881 4901 4701 7451 7291 8371 8171 782
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7821 7701 6501 5851 5931 5381 5261 4301 390
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3521 3001 1471 0241 009921870736653
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
709724652647672672758766741
2015 2020 2022 - - - - - -
779771755------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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L'association Pays du Cerdon et Vallée de l'Ain propose ses manifestations

Sport et vie associative

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Jusqu'en 2007, une tyrolienne de 1 200 m était en exploitation sur les hauteurs du village.

Le village possède une petite harmonie : La Vigneronne, qui se réunit tous les vendredis soir.

Découverte du patrimoine de Cerdon avec l'association Pays du Cerdon Vallée de l'Ain.

  • Une cuivrerie, créée en 1854 par Charles Eugène Main, et faisant travailler jusqu'à 80 ouvriers, subsista jusqu'en 1979, pour renaître en 1980 sous sa forme actuelle. L'emboutissage des pièces métalliques se faisant grâce à l'énergie hydraulique des roues à aubes entraînant les vieilles machines et un savoir-faire artisanal préservé. Deux collections d'articles sont fabriquées et vendues dans la boutique de la Cuivrerie de Cerdon (lieu touristique ouvert au public), une collection « cuivre et gastronomie » et une autre « cuivre et maison ».
  • Le vignoble produit le vin de Cerdon, un vin rosé pétillant.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monuments civils

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Maison du XVe siècle au lieu-dit la Suisse.

La maison « dite château d'Épierre » ou cellier d'Épierre, dépendant de l'ancienne chartreuse de Meyriat fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [25].

La Maison au lieu-dit la Suisse du XVe siècle ou Maison du Prince fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [26].

Le château de Saint-Julien ou de la Bâtie-sur-Cerdon ou la Bâtie de Corlieu, possession des sires de la Balme, est en ruines dès 1650.

Le mémorial des maquis de l'Ain et de la Résistance est une œuvre du sculpteur Charles Machet et a été édifié en souvenir des maquis de l'Ain et du Haut-Jura. Dans son cimetière repose le corps du maquisard inconnu.

La cuivrerie fut construite en 1854 et est inscrite au titre des monuments historiques depuis le [27].

Le moulin à farine est aussi inscrit depuis le [28].

Cerdon a conservé une vingtaine de fontaines.

Monuments religieux

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L'église Saint-Jean-Baptiste de Cerdon a été érigée en collégiale en 1479 par le duc Philibert de Savoie[29],[30].

Patrimoine naturel

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Patrimoine culturel

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Gastronomie

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Cerdon.

Cerdon est connue pour son vignoble et particulièrement pour son vin mousseux rosé au processus d'élaboration original, appelé « méthode ancestrale ». La fermentation, arrêtée par une étape de filtration, donne un vin pétillant, faiblement alcoolisé et dans lequel le raisin non fermenté apporte sucre et arômes.

Personnalités liées à la commune

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  • Abraham de Vermeil (1555-1620), né à Cerdon, poète baroque français.
  • Jean-Baptiste Goiffon (1658-1730), né à Cerdon, médecin et botaniste lyonnais, médecin des armées du Roi.
  • François Félix Roubaud, Roubaud aîné (1825-1876) et Louis Auguste Roubaud, Roubaud jeune (1828-1906), nés à Cerdon, sculpteurs[31].
  • Francisque Allombert (1860-1903), homme politique, journaliste, député de l'Ain de 1898 à 1902, né à Cerdon.
  • Jacques André (1910-1994), latiniste, né à Cerdon.
  • Le père Jean-Claude Colin, élabore les règles de l’ordre des Maristes (ou « Société de Marie ») lorsqu'il exerca comme vicaire à Cerdon de 1816 à 1825.
  • L'instituteur Janichon entre les guerres de 14 et de 39 laisse une marque importante à Cerdon. Auteur d'une Monographie de Cerdon (1926).
  • Guillaume de La Balme, dit Morelet, chevalier, seigneur de Peres, après avoir servi le duc de Bourgogne, et avoir été ambassadeur de Savoie auprès du roi Louis XI de France, est nommé, le 26 juillet 1461, Grand maître des Eaux et Forêts pour les États de Savoie (Archives de Savoie).

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Gentilé, sur habitants.fr
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Cerdon et Vieu-d'Izenave », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Vieu », sur la commune de Vieu-d'Izenave - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Vieu », sur la commune de Vieu-d'Izenave - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Dans l’obituaire de Lyon
  14. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 646.
  15. a et b Henri Buathier, Histoire des communes de l'Ain : Le Haut-Bugey, Le Valromey, Le pays de Gex, vol. 4, Horvath, , 519 p. (ISBN 978-2-7171-0315-1), p. 239.
  16. Armes de Cerdon, sur labanquedublason2.com
  17. « communauté de communes Rives de l'Ain - Pays du Cerdon - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  19. « Georges Vucher a été élu maire », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Sylvie Goy-Chavent a choisi de renoncer à être maire – comme elle l’avait déjà annoncé –pour demeurer sénatrice. Mais elle est toujours conseillère municipale. »

  20. Marc Chavent, maire de Cerdon, s’engage derrière Eric Zemmour
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  25. Notice no PA00116355, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Notice no PA00116356, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Notice no PA01000037, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Notice no PA01000041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Hervé Chopin, « Saint-Jean-Baptiste - Base des collégiales séculières de France (816-1563) », sur vafl-s-applirecherche.unilim.fr, (consulté le ).
  30. Hervé Chopin, « Les collégiales séculières de l’ancien diocèse de Lyon, du IXe siècle à la première moitié du XVIe siècle », dans Architecture, décor, organisation de l'espace : Les enjeux de l'archéologie médiévale, Alpara, coll. « DARA », (ISBN 978-2-35668-192-8, lire en ligne), p. 123–130
  31. Archives de l'art français, recueil de documents inédits relatifs à l'histoire des arts en France, 1861 sur Gallica

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Articles connexes

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Liens externes

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