Argelos (Pyrénées-Atlantiques)
Argelos | |||||
L'église Saint-André. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Marcel Borny 2020-2026 |
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Code postal | 64450 | ||||
Code commune | 64043 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Argelossiens | ||||
Population municipale |
285 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 47 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 27′ 09″ nord, 0° 20′ 47″ ouest | ||||
Altitude | Min. 142 m Max. 264 m |
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Superficie | 6,01 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Argelos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune d'Argelos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 21 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 10 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Astis (2,0 km), Viven (2,3 km), Doumy (2,3 km), Auriac (2,6 km), Thèze (2,8 km), Bournos (3,5 km), Auga (3,9 km), Navailles-Angos (4,2 km).
Sur le plan historique et culturel, Argelos fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Astis, Auriac, Doumy, Navailles-Angos, Thèze et Viven.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est drainée par le Luy, le Balaing, le Basta, le Deux, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[8].
Climat
[modifier | modifier le code]Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 133 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzein à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 13,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 093,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Argelos est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[1]. Cette aire, qui regroupe 227 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,1 %), forêts (27,2 %), prairies (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,1 %), eaux continentales[Note 4] (3,2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
[modifier | modifier le code]- Barbé[6]
- la Barthe[6]
- Bordenave[6]
- Boué[6]
- Bourdalé[6]
- Bozano[6]
- Brouca[6]
- Carrère[6]
- Cassou[6]
- Castagnet[6]
- Chicoy[6]
- Dibet[6]
- Hargouette[6]
- Hayet[6]
- Labarrane[6]
- Lamarque[23]
- la Lane[6]
- Larricq[6]
- Lavignotte[24],[6]
- Lopou[25],[6]
- Loubané[26] ou Loubâne[6]
- Morlaas[6]
- Noble[6]
- Poulou[6]
- Sansarricq[6]
- Tauhuré[6]
- Then[6]
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par les routes départementales D 214 et D 834.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Argelos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Luy. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[29],[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. 62,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[31].
Risque technologique
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Argelos apparaît sous la forme Argilos (1214[34], titres d'Argelos) et Argelos sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[35])
Son nom béarnais est Argelòs[36] ou Aryelos[37]. Brigitte Jobbé-Duval[38] indique qu’Argelos a pour origine probable le latin argilla (’argile’) augmenté du suffixe -ossum. Le toponyme signifierait donc « sol argileux ».
Bernès, citée par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque en 1863[34], est une ferme déjà mentionnée en 1385[34] (censier de Béarn[39]).
Histoire
[modifier | modifier le code]Paul Raymond[34] note qu'en 1385, Argelos comptait vingt-neuf feux et dépendait du bailliage de Pau. Auriac est une ancienne annexe de la commune[34].
La baronnie[34] de Viven comprenait Argelos, Auriac et Viven et était vassale de la vicomté de Béarn.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Argelos fait partie de quatre structures intercommunales[40] :
- la communauté de communes des Luys en Béarn ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable Luy-Gabas-Léès ;
- le syndicat scolaire Argelos - Astis.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].
En 2021, la commune comptait 285 habitants[Note 7], en évolution de +10,04 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Argelos fait partie de l'aire d'attraction de Pau.
Enseignement
[modifier | modifier le code]Argelos dispose d'une école primaire/maternelle, qu'elle met en commun avec Astis au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal.
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]-
La mairie.
-
Le monument aux morts.
-
Le clocher de l'église Saint-André.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]Les vestiges d'un ensemble fortifié[25], datant du haut Moyen Âge, témoignent du passé ancien de la commune.
La commune présente un ensemble de fermes[45],[46],[26],[24],[23] du XVIIIe siècle.
Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]L'église Saint-André[47] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle des objets[48],[49],[50], du mobilier[51],[52],[53],[54],[55],[56],[57],[58],[59], un tableau[60] et des statues[61] inscrits, tout comme l’église, à l'inventaire général du patrimoine culturel.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Jean-Charles, dit Jules Boué, instituteur puis directeur des services agricoles des Hautes-Pyrénées, conseiller général du canton de Thèze de 1913 à 1925 et de 1931 à son décès en 1949.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Communauté de communes des Luys en Béarn
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[32].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Argelos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- Stephan Georg, « Distance entre Argelos et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Argelos et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Argelos », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Argelos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Luy ».
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Argelos et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pau-Uzein » (commune d'Uzein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pau-Uzein » (commune d'Uzein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Argelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Argelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune d'Argelos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Ferme de 1725 », notice no IA00026700, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison Lavignotte-Lagrela », notice no IA00026701, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble fortifié », notice no IA00026698, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme du XVIIIe siècle », notice no IA00026702, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les risques près de chez moi - commune d'Argelos », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF] (consulté le ).
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- Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, , 167 p. (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- Cellule informatique préfecture 64, « Intercommunalité des Pyrénées-Atlantiques » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les fermes anciennes », notice no IA00026697, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La maison Marque », notice no IA00026703, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « L'église Saint-André », notice no IA00026699, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Deux dalmatiques de l’église Saint-André », notice no IM64001146, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Notice no L’ostensoir de l’église Saint-André, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Quatre chandeliers d’autel de l’église Saint-André », notice no IM64001144, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le mobilier de l'église Saint-André », notice no IM64001147, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Deux bancs de l’église Saint-André », notice no IM64001143, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal de l’église Saint-André », notice no IM64001142, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Menuiseries et sculptures de l’église Saint-André », notice no IM64001141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les bras de lumière de l’église Saint-André », notice no IM64001140, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable de l’église Saint-André », notice no IM64001137, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle de l’église Saint-André », notice no IM64001136, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'autel et ses gradins, de l’église Saint-André », notice no IM64001135, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le maître-autel de l’église Saint-André », notice no IM64001134, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau d’autel de l'église Saint-André », notice no IM64001139, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les statues de l'église Saint-André », notice no IM64001138, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.