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Achy

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Achy
Achy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie verte
Maire
Mandat
Sylviane Decherf
2020-2026
Code postal 60690
Code commune 60004
Démographie
Population
municipale
404 hab. (2021 en évolution de +1,25 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 33′ 25″ nord, 1° 58′ 48″ est
Altitude Min. 91 m
Max. 187 m
Superficie 12,7 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Achy
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Achy
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Achy
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Achy

Achy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie

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Description

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Paysage rural depuis le cimetière.

Achy est un village rural du Beauvaisis qui jouxte au sud Marseille-en-Beauvaisis, situé à 16 km au nord-ouest de Beauvais, à 46 km au sud-ouest d'Amiens, à 65 km à l'est de Rouen. Il est desservi par l'ex-RN 1, dans son tracé initial ne passant pas par Amiens (actuelle RD 901).

Communes limitrophes

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Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le Petit Thérain et divers bras du Petit Thérain[1],[2],[Carte 1].

(texte à fusionner)
La commune est baignée par les eaux du Petit Thérain (autrefois appelé Thérinet), sous-affluent de la Seine par le Thérain puis l'Oise. Des étangs ont été aménagés le long de la rivière.

Le Petit Thérain, d'une longueur de 21 km, prend sa source dans la commune de Omécourt et se jette dans le Thérain à Milly-sur-Thérain, après avoir traversé huit communes[3]. Les caractéristiques hydrologiques du Petit Thérain sont données par la station hydrologique située sur la commune de Saint-Omer-en-Chaussée. Le débit moyen mensuel est de 1,52 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 4,91 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 5,27 m3/s, atteint le même jour[4].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique d'Achy[Note 2].

Deux plans d'eau complètent le réseau hydrographique : le plan d'eau 1 de la commune d'Achy (2,4 ha) et le plan d'eau 2 de la commune d'Achy (3 ha)[Carte 1],[5].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 757 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 14 km à vol d'oiseau[9], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Louis Graves indiquait en 1833 « Le chef-lieu bâti primitivement dans la. vallée sur la rive:gauche de la rivière, s'est étendu un peu au-dessus depuis l'ouverture de la routé de Paris à Calais, qui forme maintenant la principale rue du village[13] ».

Au , Achy est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,6 %), forêts (36,6 %), prairies (15,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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La commune compte un hameau au nord du chef-lieu, Beaupré, qui était le siège de l'abbaye de Beaupré, ainsi que le hameau de Polhay.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 172, alors qu'il était de 172 en 2013 et de 147 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 91,9 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Achy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Achy en 2018.
Typologie Achy[I 2] Oise[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 91,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,9 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 5,2 7,1 8,2

Voies de communication et transports

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La commune est traversée par la ligne Beauvais - Le Tréport, mais la gare d'Achy est désormais fermée.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 612, 6103, 6104, 6113, 6150, 6151 et 6152 du réseau interurbain de l'Oise[18].

Le nom de la localité est attesté sous les formes de alciaco et sancti martini de achiaco en 1096 ; Aquicium vers 1100 ; major de Achio, Urbanus de Achiaco, Achi et Achy 1136 ; Acheium en 1145 ; in molendinis Aceii en 1147 ; Nivardo majore de achi en 1149 ; boscum suum de achi en 1149 ; apud Acceium en 1163 ; de Aceio en 1168 ; in molendino de Achiaco juxta Bellopratum en 1221 ; ad molendinum de Achi, Acy et Aci en 1225 ; de Achyaco au XIIIe siècle ; achy en 1342[19].

L'étymologie de ce toponyme provient de l'agglutination du nom de personne gallo-romain appius et du suffixe -iacum[20] qui signifie « (la) terre d'appius » ; « celui qui est voué au culte de venus ».

La gare d'Achy avant la Première Guerre mondiale. Depuis , cette gare est fermée.
Remarquer l'âne sur le passage à niveau.

Louis Graves indiquait « La seigneurie d' Achy qui est fort ancienne, tirait son origine des, comtes de Dammartin , dont la maison était une des, plus illustres et des plus opulentes de France. Cette seigneurie passa dans le onzième siècle aux châtelains de Beauvais. Lancelin de Beauvais, qui avait été à la croisade, et qui fonda plusieurs établissements religieux dans le Beauvaisis, était seigneur d'Achy vers 1070. Foulques, l'un de ses fils fut évêque de Beauvais ; il eut de grands différents avec ses frères à l'occasion de la seigneurie d'Achy, et pour les terminer il leur abandonna cette terre , avec réserve des droits de relief, de ressortiment du comté de Beauvais, de quint et requint et. droit d'estage , c'est-à-dire avec le droit de demeurer à Achy, chaque,année, pendant cinq jours aux dépens du seigneur. Au douzième.siècle,. le domaine d'Achy entra dans la maison de Milly, qui l'acquit en échange de la terre de Conty. Manassès de Milly, seigneur de Bulles , fonda en 1155 l'abbaye de Beaupré dans .ses terres, et dota aussi de gros biens l'abbaye de Lannoy. Pierre de Milly, son arrière-petit-fils, donna en lige la dixme d'Achy au chapitre Saint-Michel de Beauvais à sen retour de la croisade , où il. avait accompagné. Philippe-Auguste. En ce temps, les seigneurs qui allaient à la guerre sainte jouissaient, par concession du Saint-Siège, leur vie durant, de la dixme de leur paroisse (...).

Une alliance fit passer la terre d'Achy dans la maison des Picquigny; vidames d'Amiens , qui possédèrent aussi le domaine de Troissereux et. plusieurs autres terres considérables du Beauvaisis (...),

Le domaine d'Achy, qui avait des droits considérables, relevait du comté pairie de Beauvais, et était régi par la coutume de Senlis.

L'ancien château ou forteresse d'Achy était situé à mi-côte dans le bois de la Cour, à l'ouest du village ; on en retrouve encore les ruines sous les ronces et broussailles.

Le château actuel, assis dans la vallée, est une construction simple et noble, quoiqu'irrégulière ; il a été bâti vers 1730 ; c'est un édifice en briques d'où.l'on a une vue agréable sur la vallée du Thérinet, et qui marque lui-même d'une manière pittoresque dans le prolongement de cette vallée. Le parc a été arrangé, dans ces derniers temps, par les soins de M. de Clermont-Tonnerre »

Il indiquait qu'en 1833, le village comptait trois moulins à eau et une briqueterie[13].

La gare d'Achy, sur la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers est créée en exécution d'un vœu du conseil général de l'Oise de 1877, avec des subventions de la commune et des villages avoisinants et l'aide matérielle d'agriculteurs locaux[21]. Depuis le , du fait d'un manque de fréquentation, la gare n'est plus desservie par les trains TER Picardie de la ligne de Beauvais au Tréport - Mers[22]

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Marseille-en-Beauvaisis[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Grandvilliers..

Intercommunalité

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La commune est membre de la communauté de communes de la Picardie verte, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité succède notamment au SIVOM de Marseille-en-Beauvaisis, créé en 1965.

Tendances politiques et résultats

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Au second tour de l'élection présidentielle de 2012 141 électeurs de cette commune (62,67 %) ont voté pour Nicolas Sarkozy (UMP) et 84 (37,33 %) pour François Hollande (PS). L'abstention s'est élevée à 9,59 %[24] :

Au second tour de l'élection présidentielle de 2017, 111 électeurs (46,25 %) ont voté Emmanuel Macron (EM) et 129 (53,75 %) pour Marine Le Pen (FN). 9,38 % des électeurs se sont abstenus[25].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1988 mai 2007[26] Jean-Paul Callens RPR puis UMP Agriculteur
Conseiller général de Marseille-en-Beauvaisis (1978 → 2007)
Décédé en fonction
15 juin 2007[27],[28] mars 2008 Louis Rouillard   Retraité
mars 2008 En cours
(au 2 décembre 2020)
Sylviane Decherf DVD Cadre supérieure,
réélue pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31]

Équipements et services publics

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Enseignement

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Les communes d'Achy, Haute-Épine et de La Neuville-sur-Oudeuil se sont unies dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) qui scolarise leurs enfants, soit, en 2017-2018, 102 enfants répartis dans une classe à Achy (CM 1 et CM2), une classe à la Neuville-sur-Oudeuil (maternelles 1re et 2e année et deux classes à Haute-Epine (maternelle 3e année, CP, CE1 et CE2)[32].

Chacune des classes a été dotée en 2018 d'un tableau numérique, financé par l'État, la réserve parlementaire du député Olivier Dassault, le département, la coopérative scolaire et le syndicat de communes gérant le RPI[32].

Un petit marché de producteurs est organisé depuis l'été 2020 le dernier vendredi du mois[33].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 404 habitants[Note 4], en évolution de +1,25 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
665575643704673675642634576
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
549536517460437417396390372
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
368334318332350344301310271
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
259235251266319288325335399
2018 2021 - - - - - - -
403404-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 203 hommes pour 200 femmes, soit un taux de 50,37 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,5 
4,4 
75-89 ans
7,5 
15,3 
60-74 ans
17,5 
21,2 
45-59 ans
20,0 
22,2 
30-44 ans
19,0 
16,3 
15-29 ans
15,5 
20,7 
0-14 ans
19,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Dans le parc, à mi-pente du coteau, où elle domine la vallée, se dresse la motte d'un château primitif. Elle était défendue côté plateau par un double fossé et côté rivière par un à-pic. Dans le flanc nord-ouest de la motte il existerait une entrée de souterrain[45].
L'association des Petits frères des Pauvres, propriétaire du château depuis 1952, l'a rénové et aménagé en « maison de vacances », qui accueille chaque année près de 500 personnes en séjour d'une à deux semaines, destinée au séjour des personnes les plus démunies, et particulièrement aux plus âgées et aux moins valides[46],[47],[48].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:06 TU à partir des 656 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/10/1968 au 01/06/2024.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. a et b « Réseau hydrographique d'Achy » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Achy » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Achy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Achy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Sandre, « divers bras du Petit Thérain »
  2. « Fiche communale d'Achy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. Sandre, « le Petit Thérain »
  4. « Station hydrométrique Le Petit Thérain à Saint-Omer-en-Chaussée », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
  5. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Achy et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. a et b Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Marseille, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 108 p. (Achy, Abbaye Notre-Dame de Beaupré), p. 30-35, sur Google Books.
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Carte interactive », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  19. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 3.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, Droz, , p. 535.
  21. Conseil général du département de l'Oise, « Halte dans la commune d'Achy », dans Rapports et délibérations, 1877, p. 133 lire (consulté le 27 août 2012)
  22. CR Picardie, comité de ligne Beauvais-Abancourt-Le Tréport du 1er décembre 2008 lire, p. 3 (consulté le 28 août 2012).
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Ministère de l'Intérieur - Oise (Picardie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Achy » (consulté le ).
  25. Ministère de l'Intérieur - Oise (Hauts-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Achy » (consulté le ).
  26. F.H., « Décès de Jean-Paul Callens, conseiller général », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est en effet en 1978 que Jean-Paul Callens est élu pour la première fois conseiller général du canton de Marseille-en-Beauvaisis à la faveur d'une partielle organisée à la suite du décès de François Bénard, président du conseil général. De son côté, Jean-François Mancel prendra le siège de député également détenu par François Bénard. Dix ans plus tard, Jean-Paul Callens deviendra maire d'Achy. En trente ans de vie politique, Jean-Paul Callens a marqué la Picardie verte mais aussi tout le nord ouest du département de son empreinte ».
  27. A. D., « Ce soir, on élit le maire », Le Parisien , édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Louis Rouillard, le premier adjoint au maire qui assure l'intérim depuis la disparition de Jean-Paul Callens, devrait briguer les voix de ses collègues élus. On ignore s'il y aura d'autres candidats ».
  28. Source : Hebdomadaire Le bonhomme picard du 20 juin 2007
  29. réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les maires en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 14 (ISSN 1144-5092).
  30. « Sylviane Decherf brigue un nouveau mandat », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3587,‎ , p. 14 « Sylviane Decherf est maire depuis 2008 ».
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