"J’ai des contacts fréquents avec les jeunes pour les sensibiliser à l’importance du consentement et au respect de la femme pour justement essayer de changer cette mentalité liée à la culture du viol. Découvrir qu’il existe de telles soirées, c’est affligeant et terrible", déplore Malik Schaub de Delémont, qui, en tant que travailleur social, se devait de réagir.
Il se base sur des images montrant notamment une gogo danseuse en train de simuler une fellation et une autre poser ses fesses sur le visage d’un spectateur, puis lécher l’intimité de sa collègue, avant d’exhiber la sienne.
Un manque de respect pour les femmes
"J’ai immédiatement réagi sur les réseaux sociaux et j’ai alors reçu plusieurs témoignages dénonçant l’ambiance générale de cet établissement, où les femmes sont peu respectées", poursuit le jeune homme. Il estime nécessaire d’éveiller les consciences à ce qui se fait dans la région.