Depotfunde der Bronzezeit

Metallhorte der frühen und beginnenden
mittleren Bronzezeit in Südböhmen und
Möglichkeiten ihrer Interpretationen.
Im Beitrag sind neue Erkenntnisse über südböhmische
Hortfunde der Bronze- oder Kupfergegenständen
der Stufen Bz A2 und A2/B1
zusammengefasst. Heute sind in dieser Region
insgesamt 84 Metallhorte der genannten
Epoche nachgewiesen, die in einigen Gruppen
nach ihrer Zusammensetzung verteilt
werden können (vgl. Tabelle 1). In Südböhmen
überwiegen vor allem die Rohstoffhorte,
d.h. die Hortfunde der Ring- oder Spangenbarren
(Abb. 1). Sie belegen intensive Kontakte
mit den südlich gelegenen Regionen
und die Distribution des Alpenkupfers nach
Böhmen. Viele Fremdimporte beinhalten
auch einige Hortfunde der fertigen Produkte
(vgl. Abb. 4–5, 9).
Während bis in dem Anfang der 90. Jahren
des 20. Jh. überwogen bei den Hortentdeckungen
Bau-, Förderungs- oder Feldarbeiten,
in den letzten 25 Jahren wurden alle
südböhmischen frühbronzezeitlichen Horte
von den Metallsuchern mit den Detektoren
entdeckt. Die meisten Horte wurden im
freien Lande, d.h. ohne jede Beziehungen zu
den gleichzeitigen Fundstellen, deponiert.
In Südböhmen gibt es jedoch auch Beispiele
der Hortfunde, die in Flachland- sowie Höhensiedlungen
(Abb. 6) oder in den Arealen
der Hügelgräberfelder (Abb. 7) gelegen
wurden.
Ganz schwierig ist die Lösung der Frage der
Interpretation der bronzezeitlichen Metallhorte.
Die südböhmischen früh- bis mittelbronzezeitlichen
Depotfunde sind markant
zu den Hauptwasserläufen gebunden, vor allem
zum Fluss Vltava (Abb. 1). Diese Horte
können den Verlauf der Fernwegen andeuten.
Weitere, vor allem Rohstoffhorte, können in
ihren Konzentrationen lokale metallurgische
Werkstätte markieren, die jedoch in Südböhmen
bisher nicht eindeutig nachgewiesen
sind. Die Horte, die eine außergewöhnliche
Zusammensetzung (Abb. 9), Anordnung der
Gegenstände (Abb. 2) oder spezifische topographische
Lagen aufweisen, können als votive
Opfergaben interpretiert werden.

Les gigantesques travaux de rectification du Rhin ont commencé en 1842 et ont changé définitivement l'image de la plaine alluviale et l'impact du fleuve sur l'occupation humaine. Pour la plaine d'Alsace, nous connaissons ses tracés successifs, de manière à peu près assurée, depuis la fin du XVIIe siècle grâce aux différents travaux de relevés menés par les ingénieurs ou militaires des pays riverains (le Rhin « historique »). Pour le Ried Centre Alsace et le Ried nord, nos zones d'étude, les lits majeurs et mineurs du fleuve pouvaient occuper un espace d'au moins cinq kilomètres de largeur, avec toute une série d'anastomoses et méandres entourant une série d'îles plus ou moins importantes. Certains bras latéraux se sont comblés, d'autres se sont créés, l'ensemble du cours, ou simplement le talweg a divagué au gré de phénomènes climatiques plus ou moins ravageurs durant le cours des siècles. La traversée du fleuve, en dehors des périodes de crues ne devait poser aucun problème et un certain nombre de gués sont bien attestés à l'époque médiévale (Kammerer, 2007). Ces gués existaient bien évidemment avant la période historique (cf. III. 2) et dans ce cadre-là, il faut imaginer une cohérence et une complémentarité culturelle et économique rive droite/rive gauche qui n'existe plus, en tous les cas sous la même forme qu’actuellement (cf. I. 3, II. 5). Pour la fenêtre nord, au fur et à mesure des opérations, essentiellement préventives, menées depuis une dizaine d'années, on a, par exemple constaté que le Rhin (un de ses bras) s'est déplacé d'ouest en est et de façon notable, durant les périodes protohistoriques à peu près entre Seltz et Drusenheim (entre les IXe et Ie siècle avant notre ère) (cf. III. 4. 2). 

La mobilité du fleuve a un impact sur notre compréhension archéologique de l'occupation du sol, en rapport avec le fleuve ; emprise/déprise des diverses occupations en relation avec les caprices du fleuve. Tout ceci reste également théorique pour nous car, à ce jour, il n'existe aucune cartographie cumulative du Rhin utilisable par les archéologues (géo référencée) en dehors de la zone déjà étudiée de Biesheim (travaux de V. Ollive).

Notre travail devrait pouvoir déboucher également, à terme, sur des cartes de sensibilité archéologique (zones détruites par le fleuve, zones de fossilisation d'anciens chenaux, zone de sédimentation ...), qui pourront être utilisées dans le cadre de l'archéologie préventive.

Pour ce faire, l'équipe s'est voulue inter-institutionnelle avec comme association essentielle, le laboratoire LIVE de la faculté de géographie (Pf. Laurent Schmitt, UMR 7362) où un Master 2 a pu être réalisé par Jérôme Houssier en Géographie Environnementale : « Étude hydromorphologique Holocène du compartiment médian de la plaine ello-rhénane. Apport des cartes anciennes, des données LIDAR et des nouvelles datations 14 C. » (Houssier, 2014). Il s'agissait donc tout d'abord d'un important travail de reprise de différentes cartes anciennes pouvant être géo-localisées. Deux espaces donnés ont été choisis (la fenêtre sud avec 35 km environ de longueur et la fenêtre nord avec 20 km environ) entre 1840 et 1732. Cette reprise devait déboucher sur une visualisation des déplacements latéraux du Rhin sur près d'un siècle (le Rhin « historique »).

The main topic of the article is the topography of hoards and assemblages of finds from the Roman period and Urnfield period in the northern part of the Boskovice Furrow. Focus is laid on the distance from undated roads and water sources. Attention is also paid to the location in a sloping terrain. The aim of this text is to outline a working hypothesis elucidating the reasons for depositing Roman period artefacts in the southern part of the Bohemian-Moravian borderland (districts of Svitavy and Blansko). The text opens a discussion about the approach which uses available cartographic and digital data to find out the already forgotten “memory of the landscape” and its specifics focused on regularities in human behaviour (deposition) depending on the surrounding environment.

Les dépôts de métal de l’Âge du Bronze dans la vallée du Rhin supérieur présentent une répartition très inégale. Presque la totalité du corpus des dépôts se localise en Alsace alors que pour le Bade ces vestiges sont exceptionnels. Ce déséquilibre de la rive gauche dans la distribution des dépôts se trouve encore davantage accentuée par la mise au jour des importants dépôts de Fislis et de Biederthal 1 et 2 dans le Jura alsacien mais aussi de Mathay et des nombreux dépôts localisés autour du Camp du Château à Salins-les-Bains dans le département du Jura. Ces découvertes récentes interpellent la pertinence de la carte de répartition des dépôts de ce secteur. Constitue-t-elle une représentation tangible de la distribution des dépôts à l’âge du Bronze ou s’agit-il davantage de l’état actuel de la recherche ?

Mass bronze findings from the Small Carpathians Mountains and their foothills. The aim of this paper is to present an overall view of the mass finds from the Bronze Age in the westernmost part of Slovakia. This area is bordered to the west, south and east by the rivers Morava, Danube and Váh, and to the north by the mountain ridge of the White Carpathians. This space with a total surface area of 6,900 km² is mainly lowland, with the exception of the mountain ridge of the Small Carpathians, which divides it into two parts. At present, we are aware of 30 hoards from this defined area, 11 of which are being published in this study for the first time. The 12 hoards from the Early Bronze Age, 3 from the beginning of the Middle Bronze Age, 7 from the Later Bronze Age and 8 from the Late Bronze Age were divided into six time horizons based on an analysis of their chronological status. During the Early Bronze Age, single-type hoards of neck rings with their ends twisted into an eyelet, as well as roughly shaped raw rings in the shape of a neck ring were deposited. Identical neck rings are present in hoards in combination with decorations. From the beginning of the Middle Bronze Age, we encounter artefacts with various levels of damage and raw material in the form of round ingots, alongside complete products. In the earlier urnfield period, the Middle Bronze Age model dominated, and continued to be dominant in the hoards until the end of the middle period. Hoards from the later and late urnfield periods are composed in this defined area exclusively of finished products, dominated by collections of personal ornamentations. Hoards of metal-founders or metal-workers contained sets or single specimens of specialised tools for processing metals are not present in the defined area. In the time period of the Early Bronze Age to the end of the Later Bronze Age (not in the Late Bronze Age), however, the association with the distribution of metal and the processing of copper and bronze is clear from the composition of certain sets. The choice of sites for storing hoards changed over time. In the Early and at the beginning of the Middle Bronze Age, they used both mountain and sub-mountain areas; mass finds from the Late Bronze Age come almost exclusively from the mountain ridge of the Small Carpathians. From the point of view of the composition of the mass finds, the types of the bronze industry represented and the time horizons of their burial, the hoards from the westernmost part of Slovakia match the situation in southern and central Moravia, as well as in Lower Austria. Considering the lower number of hoards and the fact that they are sets with a small weight composed of a small number of items, the defined area is not a “hoard centre” in the Bronze Age, but belongs to the periphery of the above-mentioned areas.