BE426220A - - Google Patents

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BE426220A
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    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C23COATING METALLIC MATERIAL; COATING MATERIAL WITH METALLIC MATERIAL; CHEMICAL SURFACE TREATMENT; DIFFUSION TREATMENT OF METALLIC MATERIAL; COATING BY VACUUM EVAPORATION, BY SPUTTERING, BY ION IMPLANTATION OR BY CHEMICAL VAPOUR DEPOSITION, IN GENERAL; INHIBITING CORROSION OF METALLIC MATERIAL OR INCRUSTATION IN GENERAL
    • C23GCLEANING OR DE-GREASING OF METALLIC MATERIAL BY CHEMICAL METHODS OTHER THAN ELECTROLYSIS
    • C23G3/00Apparatus for cleaning or pickling metallic material

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Description


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  Perfectionnements à un procédé et à un appareil pour le trai- tement, à l'aide   d'un   fluide, de bobines de métal. 



   L'invention se rapporte à un procédé et à un appareil pour le traitement de métal à l'aide d'un fluide et plus particulièrement au décapage et à la conservation des bobines ou couronnes de métal. 



   Un des objets de l'invention consiste dans un procédé et dans un appareil pour le traitement demétal dans un bain, procédé et appareil conformément auxquels le métal est traité entièrement en un temps de durée minimum et dans lesquels le métal est protégé efficacement dès qu'il est sorti du bain. Un autre but de l'invention consiste dans un appareil pour la mise en oeuvre de l'invention, appareil qui est relativement compact, de construction et de fonctionnement simples. 

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   Conformément à l'invention, on dispose un certain nombre de cuves pour le traitement de métal, ces cuves étant destinées à recevoir des bains de traitement et les objets qu'il s'agit de traiter. Dans le mode de réalisation préféré de l'invention, les cuves et un poste de chargement et de déchargement sont disposés autour, et à une distance sensiblement égale, de l'axe vertical de rotation d'un châssis rotatif mobile verticalement, ou d'un croisillon disposé au-dessus desdites cuves. Ce croisillon est muni d'un certain nombre de supports disposés de telle manière que lorsau'un des supports se trouve au-dessus du poste de chargement, les autres supports viennent se placer également au-dessus des cuves respectives.

   Chaque support est, de préférence, destiné à supporter et à faire tourner une bobine de ruban métallique dans chaque cuve lorsque le croisillon est dans sa position la plus basse. Le ruban métallique se présente sous la forme d'une bobine à enroulement lâche, de telle façon que ses spires soient écartées les unes des autres et que le bain de chaque cuve circule positivement entre les spires écartées de la bobine, lorsque celle-ci tourne à l'intérieur de la cuve, de telle sorte que le bain atteint rapidement et efficacement la surface entière du ruban. On a prévu, de préférence, des moyens pour diriger le bain circulant à l'intérieur de la bobine. 



   On a prévu également des moyens pour transporter les bobines vers le poste de chargement et à partir de celuici et pour le traitement ultérieur de ces bobines, dès qu'elles ont quitté les cuves. Les moyens de transport peuvent affecter la forme de ripeurs ou de transporteurs par gravité; ils peuvent comporter la combinaison de ces moyens. Le traitement subséquent comprend, de préférence, l'opération de séchage de la bobine tant qu'elle tourne avec ses spires 

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 écartées les unes des autres, après quoi cette bobine est aspergée d'un revêtement protecteur d'huile, pendant qu'elle tourne de la manière indiquée. 



   Si on le désire, on peut disposer les diverses cuves l'une à côté de l'autre, suivant une ligne droite. Dans ce cas, on peut se servir d'un dispositif monorail ou d'un pont roulant pour transporter les bobines d'une cuve à l'autre. 



   Sur le dessin annexé on a montré à titre d'exemple un mode de réalisation de l'appareil pour la mise en oeuvre de l'invention. 



   Sur ce dessin:
La figure 1 est une vue en plan du mode de réalisation préféré;
La figure 2 est une coupe verticale de l'appareil, suivant la ligne   II-II   de la fig. 1;
La figure 3 est une coupe verticale suivant la ligne III-III de la figure 1 ;
La figure 4 est une vue en plan, à une échelle plus grande et suivant la ligne IV-IV de la figure 2 du mécanisme faisant tourner le croisillon;
La figure 5 est une vue latérale agrandie de l'appareil pour le chargement du mandrin, appareil qui fait partie de l'installation;
La figure 6 est une élévation de côté agrandie du mandrin supportant la bobine ;
La figure 7 est une vue par bout de l'appareil pour le séchage des bobines;
La figure 8 est une coupe horizontale suivant la ligne   VIII-VIII   de la figure 7;
La figure 9 est une coupe verticale suivant la ligne IX-IX de la figure 8 ;

   

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Les figures 10, 11, 12 sont respectivement des vues analogues aux figures 7, 8 et 9 de l'appareil destiné à enduire d'huile la bobine;
La figure 13 est une vue en plan, la partie supérieure étant enlevée, d'une variante de l'appareil projecteur d'huile;
La figure 14 en est une coupe verticale suivant la ligne   XIV-XIV   de la fig. 13;
La figure 15 est une coupe transversale suivant la ligne   XV-XV   de la fig. 14 ;
La figure 16 est une vue par bout de l'appareil projecteur d'huile montré sur la fig. 14. 



   La figure 17 est une vue de côté d'une variante ;
La figure 18 est une vue en plan d'une des cuves montrées sur la fig. 17, et
La figure 19 est une vue de côté, avec arrachement partiel, d'une des cuves en vue de montrer ladite cuve en coupe verticale. 



   Comme on le voit, sur la figure 2 du dessin, la machine comporte un piston vertical 1, disposé de manière à pouvoir coulisser dans un cylindre 2, noyé dans une fondation convenable. Sur l'extrémité supérieure du piston est monté rigidement une charpente ou croisillon 3 qui repose normalement sur un élément de support et de guidage 4 du piston, audessus du cylindre 2. Toutefois, si on le désire, on peut faire monter le croisillon par des moyens connus   quelconaues   et par exemple par un fluide sous pression contenu dans le cylindre au-dessous du piston, la pression étant fournie de toute manière appropriée quelconque et par exemple par une pompe hydraulique et par un accumulateur (non montrés sur le dessin).

   Pour faire tourner le croisillon on a relié rigide- 

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 ment à la partie supérieure du piston 1 un mât 6 qui se prolonge vers le haut en passantà travers un engrenage 7 logé dans un carter 8 monté sur un support convenable 9 qui peut être fixé aux poutres 11 du plafond du local dans lequel est logé l'appareil, ainsi qu'on l'a montré sur les figures 2 et 4. Le mât est monté à cannelures dans l'engrenage 7 de manière à permettre audit mât de se déplacer verticalement à travers le dit mécanisme et à être mis en rotation par le dit engrenage qui est entraîné à son tour par une vis sans fin 12, commandée par un moteur 13, à l'aide d'un réducteur de vitesse 14. 



   L'appareil faisant tourner le croisillon est relié à un interrupteur 15 qui arrête toujours la rotation du croisillon, lorsque celui-ci se trouve en position convenable par rapport à un certain nombre de cuves placées au-dessous du croisillon. Dans le cas où le mât, dans sa position la plus élevée, fait saillie au-dessus du toit du local, il peut être enfermé dans un tube 16 et protégé par celui-ci. 



   Quoique l'appareil qui vient d'être décrit puisse   être utilisé   pour le traitement d'objets métalliques de formes et de types divers, il convient en particulier pour le décapage et le traitement des bobines 21 de bandes de métal montrées schématiquement sur le dessin par des traits interrompus. 



  A cet effet, il suffit de disposer de trois cuves de traitement, dont l'une', 17, contient un bain de décapage, tandis que la cuve 18 contient de l'eau de rinçage froid et la cuve 19 de l'eau de rinçage chaude. Comme on l'a montré sur la figure 1, ces cuves sont placées à la même distance du piston 1, les cuves 17 et 19 étant, de préférence, placées l'une en regard de l'autre, tandis que la cuve 18 est placée entre elles et à l'opposé du poste 22 de chargement et de déchargement. Lorsqu'on dispose de trois cuves de traitement et du poste 22, il . 

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 est désirable que le croisillon comporte'quatre supports de bobines de ruban, de telle sorte que le croisillon puisse supporter une bobine dans chaque cuve pendant qu'une bobine est prélevée du poste par le croisillon ou déposée sur le dit poste. 



   En conséquence, le croisillon comporte de préférence quatre paires de poutres horizontales 23 dirigées radialement, à partir du piston, à des intervalles de 90 . Sur les extrémités extérieures de chaque paire de poutres sont montés des paliers 24 dans lesquels tourne un arbre 26, chacun de ces arbres est mis en rotation à l'aide d'un réducteur de vitesse 27 relié convenablement à l'arbre et à un moteur 26 disposé sur une poutre transversale 29 fixée à la paire voisine de poutres principales. Sur les extrémités, faisant saillie, de chaque arbre 26 sont montées des roues à chaîne 31 aqxquelles sont suspendues des chaînes sans fin 32, comme on le voit sur la figure 3. 



   Les boucles inférieures de chaque paire de chaînes supportent un organe destiné à servir de support à la bobine, et tel qu'un mandrin 33 qui affecte, de préférence, une forme tubulaire et qui est muni près de chaque extrémité d'une gorge annulaire 34 dont la paroi intérieure comporte une rangée d'évidements 36 (Fig.6) destinés à recevoir, comme une roue à chaîne, les maillons successifs d'une des chaînes 32. 



   Dans ces conditions, la rotation de l'arbre 26 sur le croisillon sera transmise, par les chaines, au mandrin et à la bobine qu'il supporte. 

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   Une particularité caractéristique de l'invention consiste dans le fait que les bains de traitement des cuves sont amenés rapidement en contact avec la surface toute entière du ruban dont sont formées les bobines; c'est pourquoi lesdites bobines sont à enroulement lâche, de telle sorte que lorsqu'elles sont supportées par les mandrins les parties inférieures de leurs spires sont écartées les unes des autres et que les bains circulent positivement à travers les bobines et entre les spires écartées pendant que les dites bobines sont animées d'un mouvement de rotation..

   Comme on l'a montré sur les figures 2 et 3 cette circulation est réalisée, de préférence, à l'aide d'une palette ou hélice 37 qui se prolonge vers le bas, dans le bain de traitement, à l'extrémité de chaque cuve dans laquelle il est actionné par l'intermédiaire d'un mécanisme 38 monté sur un support 39, placé au-dessus de la cuve, et à l'aide d'un moteur 41 disposé sur une des extrémités du support. 



   L'hélice rotative met le bain en mouvement, mais pour diriger la circulation sur une trajectoire nettement déterminée sur laquelle est disposée la bobine, on place dans la cuve, de préférence, une pièce tubulaire 42 incurvée vers le haut, l'extrémité de sortie de cette pièce étant disposée au voisinage d'une des extrémités de la bobine, tandis que l'extrémité d'entrée de cette pièce entoure l'hélice 37 (fig. 3). L'espace entre l'extrémité de sortie de la pièce tubulaire et les côtés 

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 de la cuve est fermé par une plaque verticale 43, de telle façon que le bain ne puisse pas circuler le long du côté du tube, mais soit obligé de passer à travers celui-ci.

   On n'a pas disposé de telles plaques au voisinage de l'entrée du tube; on n'a pas prévu en ce point la plaque en question afin de réduire le tourbillonnement dans le tube, tourbillonnement qui pourrait entrainer de l'air et diminuer la vitesse de circulation du bain et aussi en vue de permettre au bain de circuler librement vers les extrémités d'entrée des ajutages d'amenée de vapeur 46 du type connu montés dans la partie inférieure de la plaque 43 de part et d'autre du tube 42, dans les cuves de décapage et d'eau chaude où ces ajutages sont destinés à maintenir la température du bain.

   Du fait qu'on donne à l'extrémité d'entrée du tube 42 des dimensions moindres que celles de l'extrémité de sortie on peut utiliser une hélice plus petite et consommer moins de puissance que dans le cas où les deux extrémités auraient les mêmes   dimensions..Pour   contribuerdirigerle bain dès qu'il quitte le tube, on peut subdiviser l'extrémité de sortie en segments, à l'aide d'ailettes 47 fixées au tube et le coupant. 



   On diminue dans des proportions considérables le tourbillonnement du bain à l'extrémité opposée de la cuve en incurvant son fond en 48, en vue d'éviter le changement de direction à angle droit. 

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   Les bobines de métal en ruban 21 .sont, de préférence, amenées au poste 22 de chargement et de déchargement et à partir de celui-ci par un système transporteur fonctionnant par gravité. Quoique les transporteurs puissent être disposés de toute manière convenable et de manière à correspondre aux conditions particulières du lieu, telles que la forme du bâtiment dans lequel l'appareil est logé, on a montré 'sur la figure 1 un transporteur de constructions compacte.

   Dans ce dispositif, les bobines de ruban à enroulement lâche sont amenées de toute manière convenable à l'extrémité supérieure d'une table inclinée 51, formée par des ripeurs, table disposée à angle droit à l'extrémité supérieure d'une table 52 à rouleaux fonctionnant par gravité et du type en V, cette table à rouleau étant placée .sur le même alignement que le mandrin 33 .se trouvant sur le poste de chargement.Lorsque les bobines successives roulent de haut en bas sur les ripeurs pour venir se placer sur la table à rouleaux, elles sont arrêtées par une pièce de garde 53, après quoi la bobine se déplace axialement sur les rouleaux 54.de la table à rouleaux jusqu'au moment où elle est arrêtée 'sur la table réceptrice 56 au po.ste de chargement, par une pièce de garde 57.

   Comme on l'a montré sur la figure 1, la table réceptrice se'trouve dans le prolongement de la table 52 à rouleaux,quoi qu'elle en soit ;séparée; cette table réceptrice est susceptible d'être basculée latéralement autour d'un support 58 par tout moyen approprié et par exemple à l'aide d'un cylindre 59 à fluide -sous pression (voir   fig.2).   



   Lorsqu'une bobine non traitée vient reposer sur la table réceptrice 56, le mandrin 33 est déplacé vers et à l'intérieur de la bobine, par   :{.'appareil   de chargement 

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 prévu au pied de la table. Quoique cet appareil de chargement puisse être de toute forme appropriée à l'insertion d'un mandrin, dans la bobine, on a montré sur les figures 1 et 5 un chargeur simple et efficace comportant un chariot 61, mobile vers la table, ou à partir de celle-ci, sur des rails 62.

   A l'extrémité avant du chariot on a disposé une paire de montants verticaux 63, placés à un certain intervalle l'un de l'autre, et entre lesquels on a prévu un bloc 64, susceptible d'être déplacé verticalement à   l'aide   d'une chaîne 66, passant sur une poulie 67 et se prolongeant vers le bas, pour aboutir à un tambour rotatif 68 monte sur le chariot qu'on fait tourner à l'aide d'une vis sans fin   69,  entraînée par un moteur 71. Sur le bloc 64 fait saillie vers l'avant un piston 72 qui est destiné à pénétrer dans une des extrémités du mandrin tubulaire pour le supporter. Afin d'éviter que le poids du mandrin ne fasse basculer le bloc, on l'a muni de roues 73 destinées à venir en prise avec les côtés avant et arrière des montants.

   Lorsqu'une bobine est sur le point d'être reliée au croisillon qui a été abaissé, les chaînes 32 du support vide se prolongent jusqu'au voisinage du fond de la bobine, à ses deux extrémités, de telle façon que le mandrin faisant saillie sur le piston du dispositif de chargement pénètre dansles boucles de la chaîne, lorsque ce piston est déplacé en avant et à   1-'intérieur   de la bobine par le chari.ot 61. 



   Après que le mandrin a été placé convenablement par rapport à la bobine et aux   chines,   le piston est abaissé par le bloc jusqu'au moment où le poids du mandrin est supporté par les chaînes ayant   pénétra   dans les gorges 34, après quoi le chariot est   ranené   en haut, pour retirer le 

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 piston du mandrin. Ensuite, après que le croisillon est monté, le mandrin du poste de chargement libère la bobine de la table réceptrice, avant qu'elle soit amenée à la cuve de décapage 17. 



   Chaque fois qu'une bobine est transportée du poste de chargement vers la cuve de décapage une autre bobine est transportée par le croisillon de la cuve à eau chaude 19 à la table réceptrice 56 qui devient., alors, le poste de déchargement. Pour sortir le mandrin de la bobine, ainsi décapée, le dispositif de chargement est déplacé en avant jusqu'au moment où le piston 72 pénètre dans le'mandrin. 



  Ledit piston est alors soulevé par la chaîne   66,   en vue de libérer le mandrin des chaînes   32,   après quoi le dispositif de chargement est ramené vers le haut, pour retirer le mandrin de la bobine et des boucles de la chaîne. Le cylindre 59 fait basculer alors la table réceptrice de manière à 1-'éloigner du piston 1 et la bobine décapée roule de la table pour descendre ensuite le long   d'un   jeu de ripeurs 74 et être acheminée ainsi, de préférence, dans une chambre de séchage. La chambre de séchage établie conformément à l'invention est montrée sur les figures 1, 2, 7, 8, 9 et est constituée de préférence par une enveloppe 76 dont les deux côtés opposés sont munis de portes coulissant verticalement.

   Dans la partie inférieure de la chambre est disposé un cadre 78 sur les extrémités duquel sont montées deux paires de paliers 79 dans   lesquels   sont supportés deux rouleaux parallèles 81 et 82 (fig.8). Les extrémités du rouleau 81 'se prolongent vers l'extérieur au-delà des paliers 79 et pénètrent dans des paliers 83 montés rigidement sur le socle de l'enveloppe. Le côté du cadre 78 qui est le plus rapproché du poste de chargement peut être soulevé 

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 ou abaissé par des moyens connus quelconques et par exemple par un cylindre 84 contenant du fluide sous pression (figure 7), l'axe de pivotement du côté de cadre précité se confondant avec l'axe du rouleau 81.

   Avant qu'on ne fasse rouler en bas une bobine traitée sur les ripeurs 74 et dans la chambre 76, on abaisse, à l'aide du cylindre 84, le côté du cadre qu'il supporte, de telle façon que lorsque la bobine roule sur les rouleaux, le rouleau 81 qui occupe une position plus haute forme dispositif d'arrêt pour la bobine. Le cadre du rouleau est alors amené dans une position horizontale par le cylindre et les deux porte, de la chambre ou enveloppe sont fermées. La bobine est mise en rotation sur les rouleaux par les rouleaux eux-mêmes, le rouleau 81 étant entraîné par le moteur 86 à une extrémité de la chambre,   tandis   que l'autre rouleau est entraîné par le promier, à   l'aide   d'une chaîne 87 et des roues à chaîne 88. 



   Au cours .de la rotation de la bobine les parties supérieures de ses spires s'écartent les unes des autres et de l'air est soufflé   transversalement   au ruban et entre les spires écartées par des ventilateurs électriques 89 (fig.7) montés dans des ouvertures aménagées à l'une des extrémités de la chambre 76. Après avoir quitté la bobine les courants d'air s'échappent de la chambre 76, par la partie supérieure d'une partie 91 en retrait, prévue à   1-'extrémité   de la chambre qui est opposée à celle, dans laquelle sont logés les ventilateurs.

   On accélère le   séchage   des bobines en chauffant l'air qui y est insufflé par exenple en plaçant un radiateur 92, en forme de grille, ou un autre dispositif analogue (eg.9) devant chaque ventilateur et en faisant passer de la vapeur ou tout autre fluide chauffant à travers ladite grille, de manière à chauffer 

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 l'air au cours de son passage à travers ladite grille. 



   Après qu'une bobine a été entièrement séchée on ouvre la porte de la chambre qui est la pluséloignée du pos- te de chargement et le châssis porte-rouleaux est basculé vers le haut à l'aide du cylindre 84, jusqu'au moment où la bobine quitte les rouleaux pour venir se placer sur l'ex- trémité supérieure d'une table inclinée 93, d'où elle est amenée (par ladite table inclinée) à la partie supérieure, d'une table 94 à rouleaux, cette table fonctionnant par gravité et étant disposée perpendiculairement à la table 93, comme on l'a montré sur les fig. 1 et 2.

   Tout près de l'ex- trémité inférieure de la table à rouleaux précitée on a disposé une table de transmission 96 (fig. 1) qui est analogue à la table réceptrice 56 et qui peut être basculée latéralement à l'aide d'un cylindre 97 contenant un fluide,   sous pression ; cylindre est indiqué en traits interrompus   sur la figure 1. Lorsqu'on fait basculer la table précitée, la bobine,placée sur elle se met à rouler; elle passe ainsi sur les ripeurs inclinés 98 pour arriver ensuite dans une chambre de traitement à l'huile 99 du même type général que le séchoir décrit précédemment, cette chambre compor- tant des portes 101 coulissant verticalement. 



   Cette chambre est montrée sur les fig.   1,   10, 11 et
12 et comporte également dans sa partie inférieure un châs- sis basculant 102, sur lequel sont montés deux rouleaux
103 et 104 entraînés par un moteur 106 et destinés à faire tourner la bobine pendant qu'elle est dans ladite chambre, en vue d'écarter les unes des autres les parties   successi-   ves de ses spires. Pendant que la bobine tourne, de l'huile est projetée transversalement au ruban, entre les spires écartées de celui-ci par exemple à l'aide d'un bac 107 -ponté .sur une des parois extrêmes de la chambre et compor- 

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 tant sur sa paroi intérieure un grand nombre   d'orif'ces     108.   



  Comme c'est la partie supérieure de la bobine qui présente un plus grand nombre de surfaces aux jets d'huile, on peut donner au bac d'huile une forme généralement triangulaire, la partie la plus large du bac étant la partie supérieure, ainsi qu'on l'a montré sur la figure 10. L'huile est refoulée dans ledit bac d'un puits 109, placé dans la partie in-   férieure   de la chambre 99, à l'aide d'une pompe 111 et de conduits 112 et 113 et la pression déterminée dans le bac par la pompe à huile refoule l'huile du bac à travers les orifices de celui-ci, sous forme de gouttelettes qui recouvrent le ruban entre les spires de la bobine. 



   Après que la bobine a été entièrement revêtue d'huile, le châssis à rouleaux 102 est basculé par le cylindre 114 à fluide sous pression, en vue de faire rouler la bobine en dehors de la chambre 99 et de la diriger sur les ripeurs inclinés 116, sur lesquels elle continue à rouler jusqu'au moment où elle aboutit à un point d'où elle peut être enlevée par une grue ou autre engin approprié en vue du stockage. 



   Pour se servir de l'appareillage qui vient d'être décrit on amène des bobines de ruban de métal en.roulé de manière à présenter des spires lâches à la table 51 à ripeurs, table de laquelle les bobines roulent en bas pour aboutir à la table 52 à rouleaux, qui les transporte unc à une à la table réceptrice 56. Lorsqu'une bobine est au repos sur la table réceptrice, le dispositif de chargement est déplacé vers ladite bobine pour introduire   dans  la bobine et dans les chaînes 32 un mandrin 33. Lorsque le chargeur a été retiré on envoie du fluide sous pression dans la partie inférieure du cylindre   2,   afin de soulever 

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 le croisillon et toutes les bobines qu'il supporte au-dessus de la table réceptrice et des cuves de traitement.

   Le mécanisme 7 monté sur le mât 6 déplace alors le croisillon d'un angle de 90 , grâce à quoi la nouvelle bobine est amenée à une position au-dessus de la cuve de décapage, tandis que les deux bobines précédentes sont immobilisées au-dessus des deux autres cuves et que la bobine ayant quitté la cuve 19 à eau chaude est acheminée vers le poste 22. Après cette opération on abaisse le croisillon pour immerger trois des bobines dans les bains respectifs des cuves placées audessous du croisillon et pour déposer la bobine restante sur la table réceptrice 56.

   Le mandrin de cette dernière bobine est alors retiré par le chargeur et on fait basculer la table pour amener la bobine par roulement dans la chambre de séchage:
Pendant que la bobine décapée est enlevée du croisillon les bobines plongées dans les cuves respectives sont mises en rotation par les moteurs 28 placés -sur le croisillon et à l'aide des mandrins qui les supportent,, tandis que les hélices 37 font circuler les bains des cuves respectives à travers les bobines et entre leurs spires écartées. En même temps que les bobines sont traitées dans les cuves une nouvelle bobine est amenée sur la table réceptrice et reçoit le mandrin qui a été retiré de la bobine précédente. 



  On soulève à nouveau le croisillon et on le fait tourner d'un angle de 90  et le cycle   d'opéràtions   recommence. 



  Pendant ce laps de temps la bobine placée dans la chambre de séchage a séché et elle est acheminée par les tables voisines à la chambre de traitement à l'huile,tandis que la bobine suivante est enlevée du croisillon et qu'on la fait rouler vers la chambre de .séchage. 

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   On voit, d'après ce qui précède, que les bobines sont traitées parfaitement dans les cuves, dans la chambre de séchage et dans celle de traitement à l'huile en raison du fait qu'on réalise une circulation positive des fluides de traitement transversalement aux surfaces des rubans entrainés d'un mouvement de rotation et entre les spires écartées de ces rubans. La rotation active le processus en raison du fait que de nouvelles surfaces se présentent   continuellement   devant le fluide de traitement pour subir son action. Malgré le grand nombre d'opérations réalisées efficacement et en peu de temps par l'appareillage objet de l'invention, son encombrement est relativement peu important, sa construction n'est pas très compliquée et son coût n'est pas très élevé. 



   Sur les figures 13 à 16 on a montré une variante de l'appareillage pour le traitement à l'huile des bobines. 



  Comme le mode de réalisation décrit précédement, cette variante comporte une chambre 121 à portes 122, coulissant verticalement, placées. aux côtés opposés de la chambra elle comporte également deux rouleaux   123   montés sur des tourillons dans un châssis 124 susceptible   d'être   basculé et monté au-dessus d'un puits 126. Les rouleaux sont   entraînés   par un moteur 127, à l'aide d'un réducteur 128. 



   A l'une des extrémités de la chambre est relié un boîtier 131 servant de chambre d'arrosage 132. Dans les parois latérales du boîtier sont montés des ajutages de pulvérisation 133 disposés de préférence en quinconce, ainsi qu'on l'a montré sur la fig.16, de telle sorte que les gouttelettes d'huile provenant de ces ajutages sont distribuées à peu près uniformément dans toute la   chambre.   



  Les ajutages sont reliés à une source convenable d'air comprimé et l'huile est amené à ces ajutages à l'aide de con- 

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 duits 134, à partir d'un réservoir d'huile 136 placé sur la partie supérieure du boîtier 131. Pour amener l'huile pulvérisée dans la chambre d'arrosage, à l'intérieur d'une bobine de ruban à spires lâches, bobine mise en rotation à l'aide de rouleaux 123, on a monté dans des ouvertures placées dans la paroi extrême de la chambre un certain nombre de ventilateurs électriques 137 de préférence au nombre de trois, ces ventilateurs étant disposés de la manière indiquée sur la fig. 15. Ces ventilateurs aspirent l'huile pulvérisée de la chambre 132 et l'insufflent entre les spires écartées de la bobine rotative.

   L'huile qui s'écoule (dans le puits) de la bobine et du bottier 132, à travers le conduit d'écoulement 138 est ramenée dans le réservoir d'huile par une pompe 141, par l'intermédiaire d'un conduit   139.   



   L'extrémité opposée de la chambre comporte une ouverture qui se trouve sur le même alignement que la bobine et dans laquelle est monté un aspirateur 142 destiné à aspirer de la chambre 121 l'excès d'huile pulvérisée. L'aspirateur refoule de préférence l'air chargé d'huile dans un compartiment en forme de boite 143 dans lequel sont montées des plaques à chicanes 144 chavauchant les unes sur les autres et qui sont destinées à recueillir l'huile qui s'écoule ainsi à travers les orifices 146 prévus dans le fond de la dite pièce pour pénétrer dans une cuvette 147. Cette cuvette est reliée au puits par un conduit 148. L'huile qui passe à travers les chicanes avec l'air qui la véhicule vient frapper contre une plaque 149 à grande inclinaison d'où s'écoule continuellement une nappe d'eau provenant d'un réservoir 151 alimenté par un conduit perforé 152.

   La nappe d'eau élimine par lavage l'huile contenue dans l'air qui la véhicule et l'eau et l'huile s'écoulent comme liquide résiduaire à travers 

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 le tuyau d'écoulement 153. L'air qui est alors sensiblement débarrassé d'huile s'échappe à travers le registre 154 prévu à la partie supérieure de la chambre. 



   Dans la variante montrée sur la fig. 17, les cuves pour le traitement des bobines 156, 157 et 158 sont disposées l'une à côté de l'autre et suivant une ligne droite, au lieu d'être placées en cercle, tandis que les postes de chargement et de déchargement sont placés aux extrémités opposées de l'installation. Des bobines 159 de ruban de métal à spires serrées sont déroulées par un appareil de déroulement 161; le ruban passe ensuite par un dispositif combiné de cisaillement et de soudure 162 et par des rouleaux de pincement 163 pour aboutir à un dispositif 164 de type connu pour la préparation des bobines à spires lâches.

   De cette dernière machine, les bobines sont amenées par roulement sur des ripeurs inclinés 166 qu'elles descendent en roulant pour arriver à un poste de chargement 167 où chaque bobine successive est enlevée par un chariot suspendu à un engin de levage approprié, tel qu'une grue ou transporteur monorail, destiné à les transporter à l'extrémité opposée de l'appareil. 



   Comme on l'a montré sur la figure 19, le chariot comporte, de préférence, une poutre horizontale 168 sur laquelle sont articulées les extrémités supérieures de deux bras 169 dirigées vers le bas et dont les extrémités inférieures sont bifurquées de manière à laisser des intervalles 171 dans lesquels sont montées des roues à chaînes 172 calées sur des arbres 173 tournant dans lesdits bras. L'extrémité inférieure de chacun de ces arbres supporte un mandrin plein 174 qui pénètre dans la bobine, en vue de la supporter.

   En vue de saisir ou de libérer une bobine, les mandrins pleins sont rapprochés ou éloignés les uns des autres, de toute manière convenable et par exemple par un mécanisme à genouillère 176 

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 relié aux bras et à la poutre 168 et commandé par une barre 177 susceptible de coulisser sur la partie supérieure de la poutre précitée. 



   Pour supporter rigidement la poutre 168 au-dessus de chaque cuve, afin que la bobine portée par ladite poutre puisse être immergée dans le bain de la cuve, on a disposé au-dessus des cuves un châssis 178 sur la partie supérieure duquel, et au-dessus de chaque cuve, sont fixés deux manchons ou douilles 179 destinés à recevoir les extrémités de la poutre. La rotation de la bobine dans les cuves est assurée par les mandrins pleins qui sont déplacés angulairement par les roues à chaîne 172 entraînées par les chaînes sans fin 181, à partir des roues 182 clavetées sur un arbre 183 qui tourne dans des paliers 184 qui font saillies sur la poutre de support et sont dirigés vers le bas.

   Une des extrémités de cet arbre comporte des dents 186 susceptibles de venir en prise avec des dents complémentaires 187 prévues sur l'extrémité d'un manchon d'embrayage 188 monté à cannelures sur l'extrémité intérieure d'un arbre 189 entraîné à l'aide d'un réducteur de vitesse 191 par un moteur 192 placé à l'extérieur de la cuve. Lorsque le chariot porte-bobine est abaissé pour être introduit dans la cuve, les dents 186 se trouvant dans le même alignement que les dents 187, le manchon d'embrayage est déplacé en avant de manière à mettre en prise les deux dentures et on fait démarrer le moteur, après quoi l'arbre 183, les mandrins pleins et la bobine se mettent à tourner. 



  Le manchon d'embrayage peut être amené en position de fonctionnement et hors de celle-ci par tout moyen approprié et de préférence à l'aide d'un piston   193   relié à la partie inférieure de l'embrayage et actionné par du fluide sous pression contenu dans un cylindre 194 monté sur un support 196, au- 

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 dessous de l'arbre 189. Le fluide comprimé peut être admis au cylindre de toute façon appropriée, automatiquement ou ' autrement. Si l'on désire, on peut utiliser le poids du chariot, lors de la descente, pour mettre le piston 193 en mouvement; on peut obtenir le même résultat en se servant d'une cellule photo-électrique éclairée d'un rayon de lumière qui est masqué par le chariot lorsque celui-ci est abaissé. 



   Chaque cuve de traitement comporte des moyens pour faire circuler le bain obligatoirement entre les spires   ^car-   tées de la bobine animée d'un mouvement de rotation dans la dite cuve. Quoique le dispositif pour assurer la circulation du bain puisse être identique à celui décrit précédemment dans son application à la première forme d'exécution de l'invention, on a montré sur la figure 19 une variante de dispositif de circulation qui se prête en particulier à l'u- tilisation dans le cas de cuves de dimensions importantes des- tinées au traitement des bobines de grandes dimensions. Dans ce mode de réalisation deux hélices 197 placées à l'une des extrémités de la cuve pénètrent dans le bain par leur partie inférieure et sont entraînées par deux moteurs 198, montés sur des supports appropriés 199.

   Ces hélices sont placées l'une à côté de l'autre et le bain de circulation est dirigé à l'intérieur de la bobine par deux pièces tubulaires 201 incurvées dans leur partie supérieure et placées également l'une à côté de l'autre; les extrémités de sortie de ces pièces tubulaires se trouvent au voisinage de l'une des ex- trémités de la bobine, tandis oue les hélices sont placées dans les orifices d'admission des mêmes pièces tubulaires. On dispose de préférence entre celles-ci un ajutage 202 d'amenée de vapeur en vue de chauffer le bain. Grâce à l'utilisation de deux hélices et de deux pièces tubulaires le bain tout entier   @   

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 est mis en mouvement sur toute la largeur de la cuve ;   circule ainsi à travers la bobine, tout en la suivant dans   ses déplacements. 



   Après qu'une bobine a été traitée dans les diverses cuves, elle est   am enée,   par le chariot qui la supporte, dans une chambre de séchage 203 de construction convenable quelconque et les mandrins pleins sont écartés en vue de libérer la bobine. Lorsque la bobine est sèche on la fait rouler à partir de la dite chambre sur une table inclinée 204, d'où elle est conduite soit à une chambre de traitement à l'huile, soit au magasin. 



   Après sa libération de la bobine, le chariot est transporté de la chambre de séchage à un point voisin du poste de chargement, où il peut être déposé temporairement sur un châssis 206, tandis que le chariot qui la précède im-   médiatement   prélève une bobine sur le poste de chargement. On comprendra que plusieurs chariots sont en service simultanément, de telle sorte que des bobines peuvent être introduites en même temps dans les diverses cuves et dans la chambre de séchage. 



   REVENDICATIONS ---------------------------
1.- Procédé pour traiter une bobine ou couronne de ruban de métal dans un bain de décapage ou autre, caractérisé en ce qu'on oblige le bain à circuler à travers la bobine et entre ses spires.

Claims (1)

  1. 2.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'on fait tourner la bobine dans le bain en même temps qu'on fait circuler le bain à travers la bobine.
    3.- Procédé suivant la revendication 1, caractérisé en ce qu'ona préparé une bobine à spires lâches formée par <Desc/Clms Page number 22> le ruban en métal, on fait supporter la dite bobine dans un bain de traitement, une partie des spires de celle-ci étant écartées, on fait tourner la bobine dans le dit bain, de manière à écarter les parties successives de ses spires et on oblige le bain à circuler transversalement au ruban entre les spires ainsi écartées.
    4. - Procédé suivant la revendication 3, caractérisé en ce qu'après le traitement dans le bain on sort la bobine du bain ; fait circuler de l'air chaud entre les spires en vue de chauffer la bobine et on projette de l'huile entre les dites spires, en vue de revêtir d'huile le ruban.
    5. - Appareil pour le traitement de bobines ou couronne de métal à l'aide d'un fluide, caractérisé en ce qu'une bobine de métal est supportée dans une cuve contenant un bain de décapage ou autre et le bain est obligé de circuler à travers la bobine.
    6. - Appareil suivant la revendication 5, caractérisé en ce que la bobine subit une rotation dans le bain.
    7. - Appareil suivant la revendication 5, caractérisé en ce qu'il comporte une hélice disposée dans la cuve contenant le bain de décapage ou autre, de même qu'unconduit se prolongeant à partir de la dite hélice pour aboutir à un point voisin d'une des extrémités d'une bobine supportée dans la dite cuve en vue de diriger et de faire circuler le bain à travers la bobine.
    8. - Appareil suivant la revendication 7, caractérisé en ce qu'il comporte deux pièces tubulaires disposées l'une à côté de l'autre, tout près de l'une des extrémités de la bobine, l'orifice de sortie de ces tubes étant placé en regard de la dite extrémité de bobine, tandis que leurs orifices d'entrée sont dirigés vers le haut, de manière à recevoir chacun une hélice. <Desc/Clms Page number 23>
    9.- Appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 5 à 8, caractérisé en ce que la bobine est supportée par un mandrin disposé à l'intérieur de la dite bobine et écarté du fond de la cuve, un dispositif de support étant prévu pour faire tourner le mandrin.
    10. - Appareil suivant la revendication 9, caractérisé en ce qu'il comporte une paire de bras écartés dans le sens horizontal, articulés par leurs extrémités supérieures à une poutre et comportant chacun un mandrin plein saillant vers l'intérieur et tourillonné dans leur extrémité inférieure, lesdits mandrins étant destinés à pénétrer à l'intérieur de la bobine et à la supporter, tandis qu'un arbre horizontal rotatif est supporté par la poutre et un dispositif de commande pour cet arbre est monté au voisinage de la cuve, l'arbre étant relié aux mandrins pour produire la rotation de la bobine.
    11.- Appareil suivant la revendication 9 ou 10, caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif porte-mandrins destiné à transporter les mandrins et la bobine entre un poste de chargement et de déchargement et une cuve; et un chariot placé au voisinage dudit poste et mobile axialement par rapport aux dits mandrins; ainsi qu'un dispositif monté sur le dit chariot et susceptible d'être relié au mandrin pour le retirer des bobines traitées et pour l'introduire dans des bobines non encore traitées.
    12.- Appareil pour sécher une bobine humide constituée par un ruban à spires lâches, suivant le procédé spécifié à la revendication 4, caractérisé en ce que la bobine est supportée de manière à pouvoir tourner et elle est associée à un dispositif pour diriger un courant d'air transversalement au dit ruban, entre les spires de la bobine. <Desc/Clms Page number 24>
    13.- Appareil pour appliquer de l'huile sur les surfaces d'une bobine à spires lâches, suivant le procédé spécifié à la revendication 4, caractériséen ce que la bobine est placée sur un support rotatif, pendant que de l'huile est projetée transversalement au dit ruban et entre ses spires.
    14. - Appareil suivant la revendication 12 ou 13, caractérisé en ce que la bobine est supportée par une paire de rouleaux montés à rotation dans une chambre appropriée et elle est destinée à recevoir de l'air ou de l'huile dirigé en jet, transversalement au ruban, entre ses spires successives,pendant que les rouleaux précités tournent en faisant tourner ainsi la bobine.
    15. - Appareil suivant la revendication 14, caractérisé en ce que les deux rouleaux sont montés dans un châssis susceptible de basculer et destiné à recevoir la bobine des dits rouleaux et à la décharger sur ceux-ci.
    16. - Appareil suivant l'une ou l'autre des revendications 5 à 11, caractérisé en ce qu'un courant d'air, de préférence d'air chauffé, est dirigé transversalement par rapport au ruban, entre les spires de la bobine, en vue de sécher celle-ci à sa sortie du bain.
    17. - Appareil suivant la revendication 16, caractérisé en ce qu'il comporte un dispositif pour projeter de l'huile transversalement à la bobine séchée et entre les spires de celle-ci.
    18. - Appareil suivant la revendication 16 ou 17, caractérisé en ce que la bobine reçoit un mouvement de rotation au cours du séchage et du traitement à l'huile.
    19. - Procédé et appareil pour traiter à l'aide d'un fluide des bobines ou couronnes de métal, en substance comme c'est décrit ci-dessus avec référence au dessin annexé.
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