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Arcizans-Avant

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Arcizans-Avant
Arcizans-Avant
Vue du village.
Blason de Arcizans-Avant
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves
Maire
Mandat
André Vergé
2020-2026
Code postal 65400
Code commune 65021
Démographie
Gentilé Arcizannais
Population
municipale
390 hab. (2021 en évolution de +0,52 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Population
agglomération
6 791 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 42° 59′ 19″ nord, 0° 06′ 18″ ouest
Altitude Min. 480 m
Max. 2 724 m
Superficie 15,04 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Argelès-Gazost
(banlieue)
Aire d'attraction Argelès-Gazost
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de la Vallée des Gaves
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Arcizans-Avant
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Arcizans-Avant
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Arcizans-Avant
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Arcizans-Avant

Arcizans-Avant est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le gave d'Azun et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Arcizans-Avant est une commune rurale qui compte 390 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle est dans l'agglomération d'Argelès-Gazost et fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. Ses habitants sont appelés les Arcizannais ou Arcizannaises.

Géographie

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Localisation

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Carte
Carte interactive d’Arcizans-Avant
  • Limite communale
  • Mairie

    La commune d'Arcizans-Avant se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe à 31 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 2 km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Lau-Balagnas (1,4 km), Saint-Savin (1,6 km), Arras-en-Lavedan (1,8 km), Argelès-Gazost (1,8 km), Préchac (2,7 km), Gez (2,8 km), Adast (2,8 km), Uz (2,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Arcizans-Avant fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays de rivière de Saint-Savin, de part et d’autre du gave de Cauterets[4].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Communes limitrophes d’Arcizans-Avant[5]
    Argelès-Gazost Lau-Balagnas
    Arras-en-Lavedan Arcizans-Avant Saint-Savin
    Cauterets

    Hydrographie

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    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le gave d'Azun, le Bacherou, le Bayou, Rioutou, le ruisseau d'Anapéou, le ruisseau d'arribancie, le ruisseau de Banciole, le ruisseau du Pouy et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le gave d'Azun, d'une longueur totale de 29,1 km, prend sa source dans la commune d'Arrens-Marsous et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Ayros-Arbouix, après avoir traversé 10 communes[8].

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 183 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982[14] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 031,4 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 23 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

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    Table d'Orientation dessinée par Georges Ledormeur au sommet du pic du Cabaliros.

    Espaces protégés

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    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 5]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[23],[24],[25].

    Réseau Natura 2000

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    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros »[27], d'une superficie de 3 703 ha, présente une végétation caractéristique de la haute montagne pyrénéenne sur calcaire et substrats siliceux[28].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[29], les « massifs du Cabaliros et du Moun Né » (7 764 ha), couvrant 11 communes du département[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 8],[29], le « val d'Azun et haute vallée du Gave de Cauterets » (35 378 ha), couvrant 22 communes dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[31].

    Au , Arcizans-Avant est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Argelès-Gazost[Note 9], une agglomération intra-départementale regroupant treize communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 10],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, dont elle est une commune du pôle principal[Note 11],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].

    Occupation des sols

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    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,2 %), forêts (15,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (15,3 %), prairies (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %), zones urbanisées (2,4 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    La fontaine-lavoir.

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 283[I 6].
    Parmi ces logements, 56,4 % sont des résidences principales, 39,9 % des résidences secondaires et 3,7 % des logements vacants.

    Risques naturels et technologiques

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    Voies de communication et transports

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    Cette commune est desservie par la route départementale D 13.

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Arcizans-Avant au sud d'Argelès-Gazost

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[33] qui rapporte les dénominations historiques du village.

    Dénominations historiques :

    Étymologie : nom d'homme latin Arcisius et suffixe pluriel anos (= les domaines d’Arcisius).

    Nom occitan : Arcisans Abans.

    Le château en 2023.

    Histoire du château

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    Lors de la guerre de Cent Ans, les troupes anglaises menées par Édouard de Woodstock, dit le Prince Noir, prennent le château. Devenu sa demeure, il sert de base aux Anglais pour envahir l'Aquitaine. Mais la construction de cette forteresse remonte à 1120, lorsque le seigneur d'Arcizans régnait sur les terres alentour. Après des siècles de sommeil et quatre ans de travaux, le château est à nouveau habité. Lors de la restauration, la famille a tenu à respecter au maximum l'ancien plan du castrum. Les vieilles pierres éparpillées ont donc lentement retrouvé leur place initiale.

    Cadastre napoléonien d'Arcizans-Avant

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    Le plan cadastral napoléonien d'Arcizans-Avant est consultable sur le site des Archives départementales des Hautes-Pyrénées[34].

    Politique et administration

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    Liste des maires

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    La mairie en 2017.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1959 Etienne Saint-Martin    
    1959 1965 Georges Lavedan    
    1965 1983 François Borreil    
    mars 1983 mars 2014 André Pujo PS Suppléant de la députée Chantal Robin-Rodrigo (2002-2007)
    mars 2014 en cours André Vergé SE Cadre secteur privé

    Rattachements administratifs et électoraux

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    Historique administratif

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    Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Arribèra de Saint-Savin, canton de Saint-Savin (1790), Argelès (depuis 1801)[35].

    Intercommunalité

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    Arcizans-Avant appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en janvier 2017 et qui réunit 46 communes.

    Services publics

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    Population et société

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    Démographie

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    Évolution démographique

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    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38]. En 2021, la commune comptait 390 habitants[Note 12], en évolution de +0,52 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
    Évolution de la population  [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    462414494419413422448440441
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    419402435425410413388365332
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    327306274273269442225222212
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    206185192200258298352367394
    2021 - - - - - - - -
    390--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    L'entrée du nouveau cimetière.

    Enseignement

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    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[41].

    En 2018, la commune compte 171 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 406 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 160 [I 7] (20 420  dans le département[I 8]).

    Taux de chômage
    Division 2008 2013 2018
    Commune[I 9] 5,5 % 2,8 % 5,1 %
    Département[I 10] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
    France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 240 personnes, parmi lesquelles on compte 79 % d'actifs (74 % ayant un emploi et 5,1 % de chômeurs) et 21 % d'inactifs[Note 14],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie du pôle principal de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost[Carte 3],[I 12]. Elle compte 47 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 179, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,7 %[I 13].

    Sur ces 179 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 33 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,1 % les transports en commun, 1,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Culture locale et patrimoine

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    L'église Saint-Martin en 2017.

    Lieux et monuments

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    Le monument aux morts municipal.

    Personnalités liées à la commune

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    Héraldique

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    Blason Blasonnement :
    D'azur au château d'argent maçonné de sable et ajouré du champ posé sur une motte isolée de sinople soutenue d'une paire de ciseaux ouverts aussi d'argent, au chef du même chargé d'une étoile de six rais d'or* accostée de deux corneilles de sable becquées et membrées de gueules[44]
    Commentaires : Officiel
    * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives.

    Bibliographie

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    Articles connexes

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    Liens externes

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    Sur les autres projets Wikimedia :

    Notes et références

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    Notes et cartes

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    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
    10. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Argelès-Gazost comprend une ville-centre et douze communes de banlieue.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
    13. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Arcizans-Avant » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Références

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    Site de l'Insee

    [modifier | modifier le code]
    1. a b et c Insee, « Métadonnées de la commune ».
    2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    3. « Unité urbaine 2020 d'Argelès-Gazost », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    6. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Arcizans-Avant
    7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Arcizans-Avant » (consulté le ).
    8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Arcizans-Avant » (consulté le ).
    10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
    11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Arcizans-Avant » (consulté le ).
    14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

    Autres sources

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    1. Stephan Georg, « Distance entre Arcizans-Avant et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Arcizans-Avant et Argelès-Gazost », sur fr.distance.to (consulté le ).
    3. « Communes les plus proches d'Arcizans-Avant », sur villorama.com (consulté le ).
    4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 330-333.
    5. Carte IGN sous Géoportail
    6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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